Malgré le démantèlement de la "Jungle" en octobre dernier, entre 200 et 400 migrants, pour la plupart des jeunes, sont revenus à Calais, toujours dans l'espoir de gagner l'Angleterre.
En effet, la pression policière pour empêcher un nouveau camp d'émerger n'a jamais été aussi forte, a constaté sur place Le Parisien. Mais les migrants sont revenus.
« Avec l'expérience du démantèlement de Sangatte, on savait que les migrants reviendraient, mais on les attendait au printemps », détaille Amin Trouvé-Baghdouche, coordinateur pour Médecins du monde, au Parisien. « Là, c'est plus tôt que prévu. »
Samedi, un migrant âgé d’une vingtaine d’années et de nationalité éthiopienne est mort après avoir heurté un camion aux abords de Calais.
Il s’agissait du premier décès de migrant depuis le démantèlement de la "Jungle" de Calais.
Source
Pression policière
« On est toujours très vigilant à ce qu’il n’y ait pas de squat qui se reforme et à l’heure actuelle il n’y en a toujours pas », avait pourtant indiqué la préfecture du Pas-de-Calais.
En effet, la pression policière pour empêcher un nouveau camp d'émerger n'a jamais été aussi forte, a constaté sur place Le Parisien. Mais les migrants sont revenus.
« Avec l'expérience du démantèlement de Sangatte, on savait que les migrants reviendraient, mais on les attendait au printemps », détaille Amin Trouvé-Baghdouche, coordinateur pour Médecins du monde, au Parisien. « Là, c'est plus tôt que prévu. »
Samedi, un migrant âgé d’une vingtaine d’années et de nationalité éthiopienne est mort après avoir heurté un camion aux abords de Calais.
Il s’agissait du premier décès de migrant depuis le démantèlement de la "Jungle" de Calais.
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