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dimanche, 29 janvier 2017

Législatives : Metayer-Robbes, candidat du Parti de la France au Havre

Politique. Jean-Yves Metayer-Robbes, candidat du « Parti de la France » aux prochaines législatives, espère incarner « la nouvelle droite nationale ».

 
La victoire de Donald Trump, la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, la défaite d’Alain Juppé. Tous ces faits annoncent une année « anti-système », selon Jean-Yves Metayer-Robbes, candidat du Parti de la France - mouvement d’extrême droite - aux élections législatives dans la 7e circonscription de Seine-Maritime. Le candidat voit dans ces événements la volonté des citoyens d’assister à un renouvellement de l’offre politique dont il souhaite profiter pour « libérer la France de la pression exercée par la pensée unique » et s’opposer aux « multiples facettes de la stratégie guerrière du djihad pour tenter de conquérir le monde ».


Immigration zéro


Sur le plan politique, le Parti de la France - qui parraine la campagne de M. Metayer-Robbes, reste proche du Front national (FN) canal historique, notamment des « Comités Jeanne » de Jean-Marie Le Pen, et du mouvement catholique intégriste Civitas - se revendique de la « nouvelle droite nationale ». Son action s’inscrit dans le rejet du FN de Marine Le Pen dont il juge le discours économique « trop à gauche ». Sans être anti-européen, le mouvement se prononce en faveur d’une « Europe des patries ». Jean-Yves Metayer-Robbes souhaite contribuer, entre autres, à la diminution de la pression fiscale, la baisse des charges pour les entreprises, l’arrêt total de l’immigration, le rétablissement de la peine de mort pour les terroristes et la suppression de l’aide médicale d’État pour les étrangers. Le candidat entend ainsi incarner une « reconquête du pouvoir politique » face « au système » et à l’islam politique. « Je ne suis pas libre de venir m’installer chez vous sans y avoir été invité », précise le candidat « libéral-protectionniste » en faisant référence à l’immigration en France. Il fustige « un manque de courage politique et intellectuel » contemporain dont le corollaire serait, selon lui, une certaine timidité des représentants élus à défendre « nos héritages culturels, nos racines chrétiennes et la lutte contre l’immigration massive ».

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