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jeudi, 20 juillet 2017

Beaumont-sur-Oise (95) : un an après la mort d’Adama Traore, le combat de sa sœur Assa continue

Un an après la mort d’Adama Traore lors d’une interpellation de gendarmerie à Beaumont-sur-Oise,sa famille continue son combat pour dénoncer une bavure policière. En première ligne sa sœur, Assa, qui appelle à un rassemblement et à une marche samedi 22 juillet pour demander la condamnation des gendarmes.

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Italie. Milan: Un migrant poignarde un policier

Pétition au Président Macron : Fermez toutes les mosquées salafistes !

Le 14 novembre 2015, au lendemain de la vague meurtrière d’attentats islamistes qui ensanglantèrent notre pays – 130 morts, 413 blessés –, nous avions lancé une pétition destinée à François Hollande exigeant la fermeture de toutes les mosquées salafistes. Dans les mois qui suivirent, seule une poignée d’entre elles furent administrativement fermée. Le dernier en date de ces attentats, sur les Champs-Élysées le 19 juin 2017, fut commis par Adam Lotfi Djaziri, un islamiste salafiste, issu d’une famille salafiste, et proche des milieux salafistes de l’Essonne…

Notre première pétition, signée par 30 000 personnes, n’ayant pas obtenu (entièrement) satisfaction, nous en lançons une nouvelle à l’intention du Président Macron. Même en plein été, nous ne lâchons rien, jamais ! Signez et faites signer cette pétition ! Merci.

Monsieur le Président,

Aux cris de Allahou akhbar, des terroristes islamistes nous ont déclaré la guerre. Les Français, dans leur immense majorité, sont déterminés à mener cette guerre jusqu’à la victoire. Mais cela implique, en particulier, d’être capable de nommer l’ennemi et de le neutraliser – non seulement en Syrie et en Irak, mais aussi sur notre sol.

Or, selon des chiffres officiels, plus de 100 mosquées et lieux de prière salafistes sont installés en France. En invoquant une lecture littérale du coran, on y diffuse à longueur de jour des discours de haine contre la France, contre les Juifs, contre les chrétiens et contre les kafirs – mécréants. On y soutient ceux-là même qui nous font la guerre et l’on y appelle au djihad.

Il est inadmissible que de tels foyers de haine continuent leur œuvre malfaisante et puissent, directement ou indirectement, favoriser l’effusion du sang innocent de centaines de nos compatriotes. Vos prédécesseurs ont timidement pris des mesures et fait fermer une demi-douzaine de ces foyers de haine et de violence, mais aucune action d’envergure contre le salafisme n’a réellement été entreprise sur le territoire français.

Par conséquent, nous vous demandons, Monsieur le Président, de prendre les mesures qui s’imposent en faisant fermer ces mosquées et lieux de prière, expulser de France les imams étrangers qui y profèrent ces discours de haine, mettre les autres en prison, et placer sous séquestre les biens meubles et immeubles de ces officines extrémistes.

C’est la moindre des mesures à prendre dans la situation où nous nous trouvons et le moyen d’envoyer un message clair aux ennemis de la France : ils ne seront jamais chez eux chez nous.

Dans l’attente de votre action immédiate au service de la France, des Français et de la civilisation, nous vous prions de croire, Monsieur le Président, à notre totale détermination pour la défense de notre Patrie.

La pétition

Emeutes urbaines : le retour des barricades dans Paris

 

La police s'inquiète :

Images-4"Le guide des violences urbaines à Paris comporte désormais une nouvelle rubrique : les barricades. Lors du week-end du 14 Juillet, qui s'est révélé particulièrement «festif» dans la capitale en termes d'incendies de voitures, feux de conteneurs et tirs de mortiers, les forces de l'ordre ont constaté l'apparition d'un nouveau phénomène : la mise en place de barricades. Selon les rapports de police que nous avons pu consulter, près d'une dizaine de rues de Paris ont ainsi été momentanément entravées par des feux de poubelles et conteneurs lors des nuits des 13 et 14 juillet. Ces soirées dans les rues des populaires XVIIIe, XIXe et XXe arrondissements ont été particulièrement mouvementées. Les barrages ont souvent été repérés par la police à partir du visionnage des caméras du plan de vidéoprotection de Paris (PVPP) et ont fait l'objet d'intervention, donnant lieu à des interpellations.

Ainsi dans la nuit du 13 au 14 juillet, quatre mineurs ont été arrêtés vers 23 heures pour des dégradations après la mise en place de barricades dans les rues Charles-Lauth et Gaston-Darbou, dans le XVIIIe arrondissement. Les suspects avaient mis le feu à un conteneur de la Ville de Paris et tiré un mortier à l'arrivée des policiers. Autre interpellation, vers 1h30, rue des Envierges, dans le XXe arrondissement. Des jeunes du quartier avaient placé en travers de la voie publique plusieurs conteneurs avant de les incendier. Ils ont ensuite attendu les forces de l'ordre avec des tirs de mortiers et de fusées d'artifice puis ont pris la fuite. Les sapeurs-pompiers de Paris sont alors intervenus.

«Cette logique de guet-apens, avec des barricades de poubelles qui sont incendiées, c'est un phénomène que l'on connaît dans les cités. Mais au cœur de la capitale, c'est quelque chose de relativement inédit et de tout à fait inquiétant», observe Yvan Assiona, responsable du syndicat Alliance à Paris. Et le policier de préciser : «Il y avait eu des incidents de ce type à Paris lors de mouvements lycéens ou durant les manifestations contre la loi Travail. Mais jamais lors de la Fête nationale.»

Les barricades ont été encore plus nombreuses dans la capitale durant la nuit du 14 au 15 juillet. Là encore, plusieurs interpellations ont eu lieu. Cité Joseph-Python dans le XXe arrondissement, les policiers ont essuyé des jets de mortiers en arrêtant un jeune qui avait jeté des poubelles au milieu de la chaussée. Les forces de l'ordre ont répliqué en faisant usage de gaz lacrymogène et de lanceurs de balles de défense. «C'est un phénomène nouveau à Paris, constate un haut gradé de la sécurité publique dans la capitale. Avant, les jeunes nous tendaient des pièges et se sauvaient à notre arrivée. Mais aujourd'hui, comme dans les cités de banlieue, ils nous défient et vont à l'affrontement.»"

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Rennes : une adolescente se réveille avec un immigré dans son lit

 

C'est leur vivre-ensemble :

"Dans la nuit du 5 au 6 juillet, une adolescente a été réveillée par un cambrioleur. Ce dernier venait de s’allonger à ses côtés, dans son lit ! D’après la jeune femme, son agresseur aurait tenté de l’embrasser, avant de la gifler.

Les faits se sont déroulés dans le quartier de Maurepas, à Rennes. Le jeune homme se serait introduit par la fenêtre de l’appartement situé au premier étage, qui était restée ouverte. Il aurait alors visité le logement et commencé à dérober du matériel avant de se diriger vers la chambre de l’adolescente. Le cambrioleur avait en plus pris le soin de bloquer la porte de la chambre de la mère, qui vivait seule avec sa fille.

Après avoir tenté d’embrasser l’adolescente, le jeune homme lui aurait réclamé son téléphone portable. Face à son refus, il l’aurait giflé, avant de quitter les lieux. C’est grâce à une empreinte que les policiers ont réussi à identifier l’auteur du vol. Se déclarant mineur étranger isolé, ce dernier sera jugé en comparution immédiate mardi.

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Un policier devient amnésique après une agression

 

Victime du vivre-ensemble dans la France orange mécanique :

"À la suite d’une violente agression, un policier a presque entièrement perdu la mémoire, fin mai en Seine-Saint-Denis. Cyril aurait perdu 39 ans de souvenirs de sa vie : «Il sait au fond de lui qu’il est policier mais il ne se souvient de rien, il n’a reconnu que sa sœur», a expliqué au «Parisien»Christophe, un ami de Cyril. L’agresseur présumé a été arrêté mardi pour «violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique» ayant entraîné une infirmité permanente.

Le 30 mai dernier, la situation a dégénéré entre deux agents de la Brigade de Sécurité des Quartier et six jeunes d’une vingtaine d’années. Lors d’un simple contrôle d’identité près d’un square, les deux agents ont été encerclés par les individus, avant d’être caillassés, jetés à terre et roués de coups. «Leur bombe lacrymogène n’a pas fonctionné», a indiqué une source proche de l’affaire au «Parisien». Christophe a ajouté que «Cyril avait gardé sur le visage des empreintes de semelle pendant une semaine». Une fois les renforts arrivés, les agresseurs ont pris la fuite.

L’homme le plus touché des deux agressés a depuis presque tout oublié, mais quelques signes redonnent espoirs à ses proches : Cyril sait lire, écrire et conduire. Son amnésie devrait être réévaluée cet été."

Deux hommes ont été arrêtés les jours qui ont suivi, mais ils ont finalement été mis hors de cause. Il n’existait pas de charges suffisantes contre eux.

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Irak : une famille française dont le père est djihadiste veut revenir en France

 

Débat sur BFM TV avec :

  • Vincent Brengarth, avocat de la famille française arrêtée à Mossoul
  • Alain Marsaud, ancien magistrat, strictement opposé à leur retour en France
  • Régis Le Sommier, directeur adjoint de Paris Match

La video en cliquant ici

Voitures brûlées : c’est plus de 10 millions d’euros qui partent en fumée par an !

Vous êtes persuadé que les spécialités de l’Alsace sont la choucroute et le gewurztraminer, vous croyez que l’originalité du Nord, ce sont ses beffrois ?

Eh bien, vous vous trompez, et même, en allant plus loin, nous pouvons reprendre toutes les vieilles coutumes régionales pour, aujourd’hui, les écarter car le particularisme hexagonal de ces dernières années, c’est l’incendie volontaire de véhicules.

Chaque année, notamment le 31 décembre et le 14 juillet, dans toute la France, les voitures flambent. Ainsi, pour cette dernière fête nationale le soir des 13 et 14 juillet, le traditionnel feu d’artifice a été doublé par un autre feu : celui des automobiles. Le ministère de l’Intérieur a comptabilisé pas moins de 897 véhicules brûlés lors de ces deux nuits. Derrière ce chiffre, ce sont 368 personnes qui ont été placées en garde à vue.

Ce nombre est en très légère hausse par rapport à l’année 2016. L’an passé, 855 véhicules avaient pris feu mais, par contre, 577 personnes étaient mises en garde à vue. Le ministre devrait avoir honte d’un tel chiffre, honte de faire pire en ce domaine que l’année dernière, et surtout honte de ne pouvoir éradiquer un tel phénomène. Pourtant ce n’est pas le cas : « Le ministère estime, dans son communiqué, que l’importante mobilisation des forces de l’ordre a permis de limiter le nombre d’incidents. » Fermez le ban et circulez (c’est le cas de le dire), il n’y a rien à voir.

Seul bémol, dans cet aveuglement général, le porte-parole du ministre nous indique : « Au cours de plusieurs épisodes de violences urbaines, nos forces de sécurité ont été la cible d’agressions intolérables, dont les auteurs auront à répondre devant la Justice. Tout comme seront poursuivis les auteurs d’incendies de véhicules, évidemment toujours trop nombreux ». Résultat de ces « jeux interdits » : 13 fonctionnaires et militaires blessés, notamment à Sevran.

Le ministre n’est pas tout seul. Le Monde, vrai média du système, collectionne les œillères. Ainsi, début janvier 2017, écrivait-il : « Voitures brûlées à la Saint-Sylvestre : beaucoup de bruit pour rien » avec, comme extrapolation : « Pour les chercheurs spécialistes de la sécurité, le chiffre des voitures brûlées n’a aucun sens et ne témoigne ni du niveau d’insécurité ni de l’état des quartiers populaires. »

 

Le quotidien du soir est à bonne école car, d’après les dires de la Place Beauvau, la nuit du Nouvel An 2017 avait été « plutôt calme dans toute la France ». Plutôt calme voulant dire « sans incident majeur ». Car malgré ces termes lénifiants, 454 personnes avaient été interpellées au cours de la soirée, dont 301 placées en garde à vue. Quant au nombre de voitures brûlées, il avait augmenté par rapport à la soirée du Nouvel An 2016, passant de 602 à 650. Un chiffre que Le Roux, le fugace ministre de l’Intérieur, s’arrangea pour tempérer en parlant d’une « baisse de 20 % par rapport à 2011 ».

Mais la réalité est bien là, matérialisée en cendres. Pour ces trois nuits de l’année, ce sont plus de 1.550 voitures qui sont parties en fumée. Soit, si l’on prend le prix bas par véhicule de 5 000 € : 7.750.000 €. Sachant qu’à ce chiffre, il faut aussi ajouter les autres joyeusetés incendiaires quotidiennes, c’est à plus de 10 millions d’euros que s’élève cette nouvelle spécificité française concoctée par les racailles des quartiers.

Vous me direz : comment mettre fin à ce genre de sport « molotovien » ?

La réponse est simple : l’instauration de la tolérance zéro. Or, pour en arriver à cette solution, encore faut-il que les forces de l’ordre puissent pénétrer dans ces ghettos, où la loi de la République n’a plus court, et que les habitants les soutiennent.

Mais cela, c’est une autre paire de manches !

J.-P. Fabre Bernadac

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Fêtes au Bade-Wurtemberg : les Allemandes agressées sexuellement par les migrants

Depuis l’arrivée massive en 2015 de migrants musulmans, les femmes allemandes sont victimes d’agressions sexuelles en tous genres. Des fêtes populaires se déroulant au Bade-Wurtemberg, dans le sud de l’Allemagne, ont été dernièrement le théâtre d’attaques à caractère sexuel conduites par des migrants.

Dans la nuit du 15 au 16 juillet 2017, un millier d’adolescents et de jeunes adultes, pour la plupart issus de l’immigration non européenne, se sont rassemblés, à l’occasion d’une fête de cinq jours, dans un parc près d’un château à Schorndorf, une ville située à une trentaine de kilomètres de Stuttgart. Ces individus ont jeté des bouteilles contre la façade du bâtiment historique. Lorsque la police est entrée en action, les jeunes ont répliqué violemment. Les policiers ont dû faire face à des jets de bouteilles et à des dégradations sur des véhicules d’intervention.

Durant la nuit, des groupes constitués de trente à cinquante personnes se sont déplacés dans le centre de la ville, certains individus étant armés de couteaux. Des tirs de revolvers d’alarme ont également eu lieu. La police a envoyé des renforts afin de protéger la fête populaire. Quatre « réfugiés » sont impliqués dans des agressions à caractère sexuel.

Le maire social-démocrate (SPD) de Schorndorf a déclaré, ce lundi 17 juillet 2017 au matin, lors d’une conférence de presse : « Je suis le dernier à éviter une analyse claire. Mais il est aussi clair que lorsque le Bade-Wurtemberg compte environ 150.000 réfugiés, il y a tout naturellement une règle de trois et cela conduit aussi, au sein de l’espace très habité autour de Stuttgart, à plus de délit

Hasard du calendrier, le vernissage d’une exposition pro-migrants intitulée « La bonne volonté », de l’artiste Kai Rheineck, se déroule ce 17 juillet au sein de la Galerie Q à Schorndorf. Kai Rheineck présente des photos en noir et blanc illustrant la tristesse de l’architecture de centres pour demandeurs d’asile érigés rapidement.

 

À Schorndorf, où le pionnier de l’automobile Gottlieb Daimler a vu le jour, le choc est profond au sein de la population. Le mécontentement est grand à l’encontre des politiciens, de la presse qui ne fournit pas assez de détails sur les faits, des personnes qui continuent à faire la promotion de l’ouverture des frontières alors que la criminalité croît, et de la police qui ne sait plus protéger ses citoyens.

Des incidents ont également eu lieu lors de fêtes à d’autres endroits au Bade-Wurtemberg. Des individus à la peau sombre ont, à Reutlingen, attrapé une Allemande de 23 ans qui dansait et l’ont maintenue pendant qu’un autre individu de même origine a mis sa main dans la culotte de la victime. Lors d’un festival à Böblingen, des Afghans se sont battus et ont harcelé sexuellement des Allemandes.

Alors que, durant l’été 2015, les médias présentaient la population de Schorndorf comme accueillante envers les migrants, leur apportant de la nourriture et des vêtements, la presse allemande du système est désormais contrainte de relater les agressions quotidiennes dont sont victimes les Allemandes à travers le pays.

Lionel Baland

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