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mercredi, 01 novembre 2017

Peut-on encore critiquer l’islamisation de la France ?

C’est indéniable, l’islamisation de l’Europe, voire du monde, est en marche.

La Turquie d’Erdogan le revendique, ainsi que le Qatar, l’Arabie Saoudite, l’Iran et de nombreux autres pays musulmans plus ou moins intégristes.

Nous sommes prévenus et le « grand remplacement » est inéluctable, si nous ne réagissons pas fermement et rapidement.

En 2050, la France sera majoritairement musulmane (grâce au ventre de leurs femmes, comme l’affirme Erdogan).

Il existe malheureusement en France des lois islamo-gauchistes tendant à pénaliser « l’islamophobie ».

Si on veut donc partir en guerre contre l’islamisation forcée de notre pays, on risque au mieux de se faire condamner, au pire d’être éliminé par un « fou d’Allah ».

Ne rien faire peut aussi nous faire condamner pour « non-assistance à pays, donc à personnes, en danger » !

Il y a donc un choix à faire et comme, dans les deux cas, on risque une condamnation, faire « l’autruche » n’étant pas dans ma nature, je dois opter pour ce qui m’évitera la honte devant mes petits-enfants et le respect de nos ancêtres qui se sont battus pour que nous héritions d’une démocratie laïque.

C’est donc un cri d’alarme que j’adresse à nos gouvernants qui nous parlent de situation de guerre contre un ennemi qui s’est clairement identifié et qui veut notre « soumission » !

Cela commence par une affirmation de nos valeurs et de leur acceptation par tout musulman désirant vivre dans notre pays. C’est à eux de s’adapter et non l’inverse.

C’est également un strict respect de notre pacte social qu’il faut exiger.

Il est consternant de constater le mépris de certains pour nos institutions et l’abus caractéristique de notre protection sociale, tant dans le respect du personnel soignant que dans l’utilisation outrancière des services hospitaliers (chacun peut constater par lui-même le fait que, représentant moins de 10 % de la population, ils sont bénéficiaires de presque la moitié des consultations en service d’urgence).

Nous sommes en droit de nous interroger sur le bien-fondé de cette pénalisation du discours dit « islamophobe », alors qu’il n’est finalement que de l’autodéfense et nous devons refuser tout accord « type Munich » !

Mais, en y réfléchissant bien, n’est-ce pas consciemment et par grande lâcheté que ces « faiseurs de loi » ont agi ? ça leur donne une excuse pour ne pas se révolter, comme pour le remboursement de notre dette colossale – ce sera à nos petits-enfants de le faire à notre place !

Triste France !

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