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mercredi, 08 novembre 2017

Creil: la première agence de finance islamique a ouvert

Lu dans Le Courrier Picard:

La première agence franchisée de Noorassur, premier réseau de France en épargne et assurance islamique a été inaugurée à Creil le 27 octobre.

Le prénom Noor (ou Nour) signifie lumière en arabe. Cette notion, Sonia Mariji la fondatrice de NoorAssur, premier réseau français de finance islamique, y tenait. « C’était très important d’utiliser cette notion de lumière, elle a une connotation forte. C’est le contraire de l’obscurité, la lumière c’est joyeux », souligne-t-elle. Et la lumière, vendredi 27 octobre, était dirigée vers la ville de Creil dans l’Oise, pour l’inauguration de la première agence franchisée du groupe en Picardie. Lire la suite

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Tariq Ramadan : et maintenant des mineures

 

Images-8Une semaine à peine avant qu'une plainte pour viol ne soit déposée contre Tariq Ramadan, Jean-Michel Olivier, enseignant et écrivain suisse, prix Interallié en 2010 pour L'Amour nègre, publiait sur sa page Facebook un texte sur Tariq Ramadan, son ancien collègue de collège, à Genève.

« Nous avons travaillé dans le même collège et collaboré souvent ensemble. Jusqu'à ce qu'il se fasse virer pour les raisons que vous savez… »

Quatre de ses anciennes élèves témoignent. La plus jeune, alors âgée de 14 ans, affirme avoir refusé de coucher avec Tariq Ramadan. Une autre ancienne élève, aujourd'hui mère de famille, reconnaît avoir été « abusée et violentée ». Les autres témoignages recueillis dans La Tribune de Genève vont dans le même sens.

Tariq Ramadan n'aura fait que reproduire la vie de son idole, Mahomet.

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Comment pourrions-nous donc contrer l'islamisme sans nous voir accusés de porter atteinte au Coran ?

 

Écrivain algérien vivant toujours dans son pays, Boualem Sansal est interrogé dans le numéro de novembre du mensuel La Nef. Extrait :

Couverture297"[...] Je tiens à alerter sur ce qui, à mon avis, est le problème numéro 1 de notre époque : l’islamisation conquérante dont l’islamisme est une composante forte. J’ai assez étudié la montée des idéologies en Europe dans les années 1930 pour voir une grande similitude entre ces deux phénomènes. L’histoire se répète. Hier comme aujourd’hui nous voyons sans croire, nous entendons sans comprendre, et ainsi, peu à peu, la société bascule dans la nouvelle idéologie.

La différence est qu’avec l’islamisme, on a affaire à une idéologie religieuse, alors que les précédentes étaient athées. N’est-ce pas plus redoutable ?

L'islamisme est une doctrine totalitaire, il ne vise pas que la prise de pouvoir, il entend transformer le monde et le soumettre définitivement à la charia. Il est d'autant plus dangereux qu'il puise sa raison d’être et ses arguments dans un livre, le Coran, que les musulmans, unanimement, considèrent comme étant la parole de Dieu, indiscutable et éternelle. Comment pourrions-nous donc contrer l'islamisme sans nous voir accusés de porter atteinte au Coran et indigner toute l’Oumma ? C'est en ce sens que le problème est un défi redoutable pour nous. Les islamistes le savent et en font le cœur de leur stratégie de conquête. [...]

Dans votre essai Gouverner au nom d’Allah, paru en 2013, vous regrettiez « le silence assourdissant » des intellectuels musulmans. À présent, vous constatez qu’un nombre croissant d’entre eux sont décidés à œuvrer en vue d’une émancipation de la pensée islamique. Faut-il y voir un signe encourageant ?

Dans leurs pays, les intellectuels musulmans qui se livrent à ce combat courent de grands risques : ils sont dénoncés, condamnés ou assassinés ; en Occident, le politiquement correct prôné par une certaine élite leur impose le silence au motif, selon elle, que la dénonciation de l’islamisme pousse à l’amalgame et stigmatise les musulmans, fait le jeu de l’extrême droite et, à terme, provoquerait la guerre civile. Il y a d’autres raisons en arrière-plan : les marchés que représentent les pays musulmans, la culpabilité avec laquelle cette élite s’autoflagelle en espérant on ne sait quelle rédemption ou quelle retombée électorale.

Mais, à bien voir, les intellectuels musulmans sont très timorés dans leur critique, quand ils ne font pas carrément l’impasse sur, précisément, ce qui dans l’incréé et intouchable Coran pose problème, quand ils compensent leur peu de hardiesse par un discours qui enjolive exagérément l’islam et, par là, conforte les islamistes ainsi que les élites occidentales qui, par aveuglement ou pusillanimité, se sont persuadées que magnifier l’islam fait reculer l’islamisme. Or, le refus de la critique et du débat mène droit à la catastrophe. En outre, les échecs et les excès de la modernité et de la démocratie sont si nombreux (consumérisme, inégalités, injustices, pollution, etc.) que celles-ci ne peuvent plus offrir une alternative alléchante. Si bien que combattre les promesses délétères et éteindre l’incendie que la Nahda a allumé aux quatre coins du monde paraît aujourd’hui réellement au-dessus de nos forces.

La Tunisie, avec ses projets de loi favorables à la femme, est souvent présentée comme à l’avant-garde dans ce domaine. Qu’en pensez-vous ?

La situation de la femme régresse dramatiquement dans tous les pays musulmans, y compris et surtout en Tunisie où, dans la période bourguibienne, elle avait obtenu de nombreux droits. Mais cela ne doit pas faire illusion : là comme ailleurs, hommes et femmes vivent sous le joug d’un système archaïque violent. La régression est plus forte dans ce pays, comme si les conservateurs voulaient faire payer à la Tunisienne les droits acquis en violation de la tradition patriarcale et de la charia. Cela explique peut-être le succès du salafisme en Tunisie, comme pour empêcher à jamais le retour de ces bidaâ (innovations impies). Il faut savoir que le monde arabe, uni par l’islam sunnite, exerce sur les États membres une police vétilleuse. Quand l’un d’eux se permet une bidaâ, il est vite rappelé à l’ordre et, en cas d’entêtement, on lui appliquera des sanctions telles que l’assassinat (cf. le sort réservé au président égyptien Sadate), le coup d’État, la mobilisation des mosquées et des foules, qui l’amèneront tôt ou tard à résipiscence. [...]

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Brexit : les étrangers indésirables commencent à partir

 

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Allemagne. 9,23 milliards d’euros pour les demandeurs d’asile

07/11/2017 – 06h00 Berlin (Breizh-info.com) –  C’est un chiffre qui fait grincer des dents dans le pays d’Angela Merkel. Le montant des prestations sociales versées en Allemagne aux demandeurs d’asile au titre de l’année 2016 s’élève à 9,23 milliards d’euros.

Il faut souligner au passage que les coûts à partir de 2015, année des premières arrivées massives de migrants, n’ont pas été comptabilisés avant 2016. Un « oubli » qui ne manquerait pas d’entraîner une révision à la hausse de ces 9,23 milliards d’euros s’ils étaient pris en compte : selon les différentes sources, ce sont entre 1 et 1,5 millions de demandeurs d’asiles qui sont arrivés en Allemagne en 2015.

Réactions dans la classe politique

Le montant résulte d’une enquête menée par l’Office fédéral de la statistique sur la loi sur les prestations pour les demandeurs d’asile. Face à la polémique suscitée par ces chiffres que le quotidien allemand Bild a révélé le 31 octobre, les réactions politiques se sont succédées ces derniers jours.

Du côté des partis hostiles à l’immigration, on réclame des mesures plus sévères contre les demandeurs d’asile déboutés qui retardent ou empêchent délibérément leur expulsion. Une première étape vers la réduction des coûts.

Quant au ministre de l’Intérieur Markus Ulbig (CDU), il a déclaré au journal Bild : « Je considère le versement automatique d’argent de poche aux personnes obligées de quitter le pays comme une fausse incitation ! ».

Puis le ministre a poursuivi sur la nécessité pour les réfugiés de prouver leur impossibilité de quitter l’Allemagne : « Ceux qui ne quittent pas notre pays doivent activement démontrer pourquoi ils ne peuvent pas le faire. Les autorités décideront alors de la poursuite du versement des prestations sociales. »

Dans le Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, le ministre de l’intégration de la région, Joachim Stamp (Parti libéral-démocrate), a déclaré qu’un cadre réglementaire plus strict serait demandé. Mais il a également affirmé que son parti (FDP) veut créer « de meilleures perspectives pour que des personnes bien intégrées puissent rester dans le pays ».

Prestations en natures et restrictions ?

Tandis qu’Angela Merkel est toujours perçue dans son pays comme une promotrice de l’accueil des migrants, d’autres membres de son parti se montrent plus prudents. C’est notamment le cas de Lorenz Caffier, le ministre de l’Intérieur du Land de Mecklembourg-Poméranie-Occidentale. Ce dernier a fait remarquer qu’il est déjà possible de réduire les prestations sociales en cas de mauvaise conduite de la part des demandeurs d’asile déboutés.

De son côté, Joachim Herrmann, ministre bavarois de l’Intérieur, s’est prononcé en faveur de règles plus strictes. Il a exigé que les demandeurs d’asile concernés ne reçoivent que des prestations en nature. Il est par ailleurs membre de la CSU (Union chrétienne-sociale en Bavière).

Après l’épisode des élections législatives au mois de septembre dernier qui a vu l’AfD (Alternative pour l’Allemagne) entrer au Bundestag, la question migratoire est prise très au sérieux. Au point de voir les anciens promoteurs de l’accueil sans restriction des migrants effectuer des virages à droite. Pour ne pas dire des pirouettes.

Crédit photo : wikipedia (cc)
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La Licra écrit à Jean-Luc Mélenchon après les propos de Danièle Obono

Le nouveau président de la Licra, Mario Stasi, a écrit lundi à Jean-Luc Mélenchon pour lui demander de « clarifier publiquement sa position et celle de son parti » à l’égard du Parti des indigènes de la République (PIR). Il vise ainsi la députée de la France insoumise, Danièle Obono, qui a refusé de condamner les propos de la porte-parole du PIR, Houria Bouteldja, dimanche sur Radio J.

L’avocat Mario Stasi a pris lundi la tête de la Licra, succédant à Alain Jakubowicz, et immédiatement écrit à Jean-Luc Mélenchon pour lui demander de clarifier ses positions après les déclarations controversées de la députée Danièle Obono, a-t-on appris auprès de l’association.

Celle-ci avait refusé de condamner les propos de la porte-parole du parti des Indigènes de la République, Houria Bouteldja. Le politologue Thomas Guénolé, également membre de la France insoumise, avait quant à lui dénoncé ces propos en mars 2016 dans l’émission Ce soir ou jamais sur France 3.

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Rennes (35) : Mustapha Laabid, député LREM, crée la polémique avec des tags anti-police reflétant, selon lui, « l’expression urbaine »

Mustapha Laabid, député la République en marche de Rennes crée la polémique sur les réseaux sociaux. Depuis hier et sans explication, l’élu a mis en ligne sur sa page Facebook plusieurs photos de tags aperçus dans les rues de Rennes et mettant en cause aussi bien la maire de la ville que la police. Plusieurs […]

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