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dimanche, 12 novembre 2017

Islam, immigration, terrorisme : « La guéguerre des sociologues »

Les disputes incessantes entre les « analytiques » et les « combatifs », notamment sur l’islam en France, l’immigration, la religion et le terrorisme, offrent un spectacle affligeant, estime Michel Guerrin, rédacteur en chef au « Monde ».

C’est une guerre intellectuelle dont les protagonistes s’envoient du mépris en guise de roquettes. Le champ de bataille est celui de la sociologie et les acteurs des sociologues. Les deux camps s’affrontent sans dialoguer. Leurs joutes sont pourtant passionnantes, par des livres, articles ou interventions dans les médias, qui sont deux façons d’analyser la société. Tous les sujets y passent. Mais ils ne voient pas la même chose. Mais alors pas du tout.

D’un côté, il y a les sociologues scientifiques ou analytiques, qui disent laisser leurs convictions au vestiaire pour décrypter la société. De l’autre, les sociologues engagés ou critiques, pour qui nos institutions sont d’abord une machine à fabriquer des puissants et des faibles, des oppresseurs et des opprimés. A les écouter, les scientifiques seraient les complices de la droite, les autres de la gauche radicale.

L’opposition est vieille comme la sociologie. Mais elle revient au galop. C’est le seul camp analytique qui rouvre les hostilités. Gérald Bronner et Etienne Géhin viennent de signer Le Danger sociologique (PUF, 244 p., 17€), qui fait polémique (« Le Monde des Livres » du 6 octobre). Le prochain numéro de la revue Le Débat, en librairie le 23 novembre, contient un dossier dont le titre est du même tonneau : « La sociologie au risque d’un dévoiement ». Les contributeurs sont Bronner et Géhin, Dominique Schnapper, Olivier Galland, Pierre-Michel Menger et Nathalie Heinich. Un colloque devait prolonger en décembre le débat – il a été ajourné.

Ces auteurs s’inquiètent du poids pris par la sociologie engagée à l’université ou ailleurs, notamment chez les jeunes chercheurs. Ils sont effarés par la façon dont sont menées les enquêtes, la façon dont « les combattants » font parler les statistiques, manient le sophisme, font l’impasse sur les questions qui dérangent leurs convictions, oublient de citer des publications qui les contredisent. […]

Le Monde

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Soumission à l'islam : le clergé cherche-t-il à faire des chrétiens des martyrs ?

 

De Polydamas sur Twitter :

"Donc, je connais bien un fils de chrétien d'Orient. On parlait de la situation de la région et il m'explique un peu les choses : les chrétiens, jusqu'il y a peu, étaient encore majoritaires dans certains pays d'Orient, quoi que dominés par l'islam. Comment se fait il qu'ils aient complètement disparu ? Des amis se sont rendus dans des camps de chrétiens, justement avec SOS Chrétiens d'Orient et étaient étonnés de leur passivité face à l'islam. Par passivité, j'entends les choses suivantes :

  • refus de s'entraîner militairement ;
  • refus de construire des infrastructures minimales utiles pour une population ;
  • refus de s'impliquer dans une dimension de conflit.

Et donc, alors que de nombreux musulmans, qui les entourent, qui les mettent en plus ou moins esclavage, ont juré qu'ils disparaîtraient, les mecs perdent du temps sur l'essentiel. Pourquoi ne se battent-ils pas ? Pourquoi ne veulent ils pas s'entraîner ? 

Réponse : parce que le clergé local les y incite ! Surtout, pas de vagues ! En fait, le clergé chrétien oriental est corrompu, tous partis et toutes chapelles confondues, jusqu'à la moelle. Mon ami a une jolie expression : « Rome est la capitale de la vertu par rapport au clergé oriental. » Même chez les chrétiens identitaires, les phalanges libanaises, on mélangeait sans complexe argent, drogue, mafia, clergé et armement. A la guerre comme à la guerre. Au Liban, il est connu que tel ou tel père a des dividendes sur telle ou telle boutique, qu'il prend sa dîme sur les revenus et chiffres d'affaires de celle-ci et pas forcément pour payer les messes. Bref, oui, c'est le bazar. OK, ce n'est pas exemplaire.

Et bien, de l'autre côté, c'est pareil. Sauf que la tournure que ça prend est bien plus dramatique : le clergé oriental est carrément soumis à l'islam ! Le pire est que c'est encouragé par les curés et pères chrétiens ! Pourquoi ? Parce que les martyrs sont la semence du christianisme, voilà pourquoi ! Les prêtres orientaux utilisent le noble appel du martyr pour soumettre leurs ouailles à l'islam. C'est absolument immonde et dégueulasse ! Ce qui est de l'ordre de l'appel personnel, de la relation entre Dieu et son fils, est transformé en mission collective pour un peuple entier. Folie ! Sous prétexte qu'il faille "témoigner", qu'il faille porter sa croix, le clergé oriental, bien soutenu par l'occidental, en vient à nier le besoin de survie des peuples. A tout minimiser. Cette injonction paradoxale est proprement monstrueuse : « Soyez martyrs, sinon vous n'êtes pas chrétiens ! » MAIS C'EST FAUX ! Le martyr n'impose aucunement d'être idiot, de ne pas se battre, de ne pas survivre, au contraire ! 

Et à ceux qui diront que je raconte n'importe quoi, je les invite à se reporter à cette interview et plus précisément, la fin

DOImvjyW0AAbUJH

Bref, en politique, il faut mettre les curés de côté et faire ce qui est juste. Sinon, c'est comme Ste Jeanne d'Arc : « Évêque, c'est par toi que je meurs ! »"

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Allemagne : la persécution des réfugiés chrétiens est passée des camps à la rue…


La persécution des réfugiés chrétiens par des réfugiés musulmans, n’a pas cessée en Allemagne. Elle est tout simplement passée des camps à la rue… L’article ci-dessous du Journal Chrétien est une adaptation en français d’un article paru sur Breibart (Londres) le 9 novembre.

La situation est différente aujourd’hui en Allemagne pour les demandeurs d’asile chrétiens comparativement aux années précédentes, a expliqué le pasteur Gottfried Martens, responsable d’une église libre à Berlin à Breitbart. Pourtant, la persécution des chrétiens, principalement ceux d’origine musulmane, se poursuit belle et bien. Elle s’est seulement déplacée. « Beaucoup de réfugiés qui se trouvaient dans des camps de réfugiés il y a un an ont maintenant des maisons privées », a déclaré Martens, affirmant que les attaques contre les chrétiens se déroulaient maintenant dans les rues ou dans les stations de métro.

Au cours de l’année écoulée à travers le pays, il y a en effet eu plusieurs attaques contre des chrétiens dans la rue, y compris le meurtre d’une femme afghane à Prien am Chiemsee, que la police a associé à un motif religieux. La mère de quatre enfants de 38 ans a été poignardée à mort en mai [en fait le samedi 29 avril] par un demandeur d’asile musulman afghan, et alors que la police soupçonnait un motif religieux, l’église protestante locale a nié que cet acte avait quelque chose à voir avec la religion.

En septembre, une autre agression a eu lieu à Berlin, où un homme afghan converti de 23 ans, qui portait une croix autour du cou, a été battu par de jeunes hommes dans une partie de la ville peuplée de migrants.

Ado Greve de l’organisation Open Doors, qui a publié un rapport exhaustif l’année dernière sur la violence contre les chrétiens, a déclaré : « Ceux qui sont attaqués ne veulent généralement pas attirer l’attention et sentent souvent qu’ils ne reçoivent pas assez d’aide de la part des autorités. La police ne peut répondre qu’à des cas spécifiques. »

Rosemarie Götze, connue sous le nom de Sœur Rosemarie, ne pense pas que la situation se soit améliorée pour les chrétiens dans le quartier berlinois de Neukölln, où l’attaque contre le converti afghan a eu lieu a expliqué Breitbart. Plusieurs membres de la communauté chrétienne dont elle est responsable disent craindre les agressions : « Ils ont peur de continuer à être agressé ou que les familles qui sont encore à l’étranger puissent apprendre qu’ils sont devenus chrétiens ».

Selon le journal Die Welt, un réfugié iranien à Berlin a notamment été menacé par un parent proche à l’étranger parce qu’il s’était converti de l’islam au christianisme. Il a même reçu un SMS de son pays sur lequel il a pu lire : « Je vais te tuer si je te trouve ».

Source : Journal Chrétien, 9 novembre (merci A. M. pour ce signalement)

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« Blacklisté par les médias », le père d’un soldat tué par Merah parle : « Le vivre-ensemble est un concept con »

Très critique vis-à-vis de l’islam, le père d’Abel, jeune militaire de 25 ans tué à Montauban par Mohamed Merah, en mars 2012, refuse le cirque médiatique de la bien-pensance Vous avez perdu votre fils, Abel, le 15 mars 2012, lors des attentats de Montauban et de Toulouse, et pourtant on ne vous a pas beaucoup […]

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« Stop aux prières de rue » à Clichy : une centaine d’élus d’Île-de-France vent debout !

Vendredi, pour les musulmans, est jour de prière à la mosquée ou à la maison.

Et parfois dans la rue, à même le macadam ou le pavé, comme c’est le cas depuis mars à Clichy-la-Garenne, banlieue parisienne qui jouxte la capitale. Bien qu’ayant à leur disposition une grande mosquée, rue des Pavillons pour être précis, quelques centaines de musulmans font de la résistance, refusant la mosquée de Clichy, pour occuper une rue face à la mairie de Clichy et y proclamer leur foi par haut-parleurs interposés.



Nuisance sonore, difficultés pour circuler… On peut comprendre l’exaspération des habitants. Comment ne pas voir une laïcité à sens unique ? Le Conseil d’État oblige la mairie de Ploërmel à abattre la croix qui domine la statue de saint Jean-Paul II, vient de refuser à Robert Ménard l’autorisation d’installer une crèche dans sa mairie de Béziers et reste silencieux aux appels du maire de Clichy outré de cette entorse sonore, visible et bien peu respectueuse de la laïcité.

Le préfet du 92 est même allé plus loin, en encadrant de policiers – et donc en officialisant tacitement – cette prière dite de rue, qui n’est d’ailleurs pas unique sur le sol français. Cette pratique a déjà été vue dans nombre de grandes villes.

 Mais, au fait, pourquoi le maire avait-il fait fermer la mosquée An-Nour ? Pour cause d’insalubrité et parce que la mairie voulait récupérer ce local pour en faire une médiathèque pour le bien commun de tous les citoyens. Le maire Rémi Muzeau avait hérité de la précédente municipalité socialiste cette « grande mosquée de Clichy » avec qui avait été signé, par l’intermédiaire de l’association musulmane UAMC, un bail précaire auquel il a mis fin à l’échéance.

L’UAMC avait protesté en affirmant que le maire leur avait promis la construction d’une mosquée ; promesse tenue, puisqu’il a inauguré la mosquée des Trois-Pavillons tenue par une autre association cultuelle musulmane. Querelle de minaret ? Peut-être, mais parce que les habitués de la mosquée évacuée en mars dernier trouvent la mosquée trop éloignée du centre-ville, ils se rebellent donc à coups de prières de rue. 

C’est pour protester contre cette bataille de rue qu’une centaine d’élus de la région parisienne avec, à leur tête, Valérie Pécresse sont venus défier les prieurs en chantant quelques « Marseillaise » pour couvrir les haut-parleurs musulmans et de nombreux Allaouh Akbar qui leur étaient adressés.


Derrière la banderole « Stop aux prières de rue », ces élus conduits par Valérie Pécresse, auxquels s’étaient joints quelques centaines de protestataires, n’ont pas réussi à faire stopper l’iman prêcheur. Mais cette révolte est la première manifestation destinée à protester contre ces provocations qui, au travers de la religion, n’ont qu’une idée en tête : s’imposer dans la rue. Il semblerait que le succès de cette protestation improvisée soit un premier pas visant à forcer le timide ministre de l’Intérieur à réagir.

 Mais les journalistes de BFM TV – qui s’en étonnera ? – avaient une tout autre version de cette manifestation.

Floris de Bonneville

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