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lundi, 13 novembre 2017

Complète réussite de la conférence-débat de NATION !

La conférence-débat organisée ce samedi 11 novembre à Bruxelles fut un TRES GRAND succès !

Au point que le local ou il se déroulait était bien trop petit pour accueillir les dizaines de personnes venues écouter les orateurs qui, pour rappel, étaient Alain Escada, Roland Hélie, Thomas Joly, Frédéric Renson,et Hervé Van Laethem.

Outre l’affluence, on se souviendra aussi du déplacement des participants de la gare vers le local aux cris de « On est chez nous » ou encore « Nous voulons, nous sommes la résistance nationale ». Déplacement sous lourde surveillance policière mais qui s’est déroulé sans incidents. Il s’agissait en effet ici de militants identitaires et solidaristes et pas de « racailles » du type de celles qui ont dévasté le centre de Bruxelles, le soir même.

Au niveau de la conférence-débat en elle-même, elle fut aussi une réussite, tant au niveau technique (ainsi un écran permettait de la suivre en direct dans une autre salle) qu’au niveau des orateurs qui ont tous défendus avec brio et talent leur point de vue.

A l’issue de la conférence, l’ensemble du public a d’ailleurs manifesté sa satisfaction…la soirée de camaraderie durant fort tard 

Tous les jours un peu plus, le Mouvement NATION démontre qu’il est la seule force patriotique dynamique et structurée de Belgique francophone !

PS : Un grand merci à tous : ceux qui ont mobilisé, ceux qui ont réalisé le travail audio-visuel, ceux qui ont tenus les stands, ceux qui ont fait le service d’ordre, ceux qui on collé la semaine précédente, ceux qui sont montés de garde, ceux qui ont fait le service…et tous les autres que nous aurions oublié ; cette réussite fut la vôtre !

D’AUTRES PHOTOS SUIVRONT TRES BIENTOT !

Emeutes à Bruxelles : une autre forme de terrorisme ?

NATION condamne bien entendu les véritables émeutes ethniques provoquées par des bandes de jeunes d’origine immigrée.

NATION marque son soutien aux 22 policiers blessés et espère qu’ils se souviendront de qui les agresse, la prochaine fois que leurs chefs leur demanderont d’arrêter des militants identitaires manifestant sans violence.

A la vue des témoignages repris à la télévision, il semble que les commerçants visés l’ont été en fonction de leur non-appartenance à la communauté maghrébine. Serait-ce le début de l’épuration ethnique du quartier Lemonnier ?

D’autre part, la police parle de groupes organisés venus pour la casse. On peut raisonnablement se demander si certains activistes islamistes ne seraient pas en train d’organiser une nouvelle forme de terreur dans nos villes !

Quoi qu’il en soit, ce qui s’est passé hier montre bien que le « multiculturel », ça ne marche pas. Ce sont des jeunes issus de la QUATRIEME génération d’immigration qui se sont rendus coupables de ces violences.

Cela montre aussi qu’il est plus que temps que nos concitoyens marquent leur refus du chaos et de la violence en faisant émerger électoralement une force politique identitaire, résolue et qui n’aura pas peur du politiquement correct ! Cette force, c’est NATION !

Épernon (28) : Mohamed condamné à 6 ans de prison pour le meurtre d’Érick

Mohamed Boukayouh a été condamné à 6 ans de prison ferme, pour les violences ayant entraîné la mort d’Erick Mosnier, le 3 février 2012, à Epernon. Des conflits de voisinage pourraient être à l’origine de la rixe. Il est arrêté à la sortie de l’audience et placé en détention. L’une des questions que vont se […]

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Caserta (It) : un migrant met le feu au centre d’accueil, un responsable lui tire dessus

D’abord un migrant tente de mettre le feu au centre d’accueil, puis un des membres du consortium qui gère la structure ouvre le feu avec le canon et le blesse en tirant à la bouche. (…) Des heures de panique ont eu lieu à Aversa, dans la province de Caserte, où dans le centre d’accueil […]

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Toulon le 29 novembre : L'Islam un défi pour l'identité chrétienne

 

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Manifestation patriotique en Pologne

 

Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont participé samedi à Varsovie à une marche patriotique à l'occasion de la Fête de l'Indépendance, commémorant la renaissance de l'Etat polonais en 1918. Le mot d’ordre officiel et rassembleur était «Nous voulons Dieu». Pour comprendre ce mot d’ordre, il faut savoir que les milieux nationalistes qui organisent cette marche sont majoritairement catholiques. Les participants sont majoritairement catholiques et affichent des positions patriotiques, conservatrices et pro-vie.

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Le retour des djihadistes est une hérésie qui pourrait nous coûter cher

Imaginons un instant que Salah Abdeslam soit jugé en Arabie saoudite ou en Afghanistan. Admettrions-nous cette aberration sans broncher ? Sans doute pas. Aussi, cette question de plus en plus prégnante du retour des djihadistes sur le sol national n’a pas lieu d’être : ils doivent être jugés dans les pays où ils ont commis leurs atrocités, à savoir la Syrie et l’Irak ; peu importe le sort qui leur sera réservé.

« Interrogé à ce sujet par France 2 mercredi 8 novembre, puis par des journalistes lors d’une conférence de presse ce jeudi 9 novembre à Dubaï (Émirats arabes unis) sur [leur] sort » (Valeurs actuelles), Emmanuel Macron a eu une réponse pour le moins laconique : « Il y en a qui peuvent revenir sans qu’ils soient rapatriés, il y en a qui peuvent être rapatriés, et il y en a qui seront jugés avec leurs familles, dans certaines circonstances, dans les pays où ils sont, en particulier l’Irak. »

Quant aux femmes – nombre d’entre elles ayant volontairement rejoint les rangs de Daech – et leur progéniture, chaque situation sera examinée « au cas par cas en fonction de la situation », a encore déclaré le Président français, ajoutant que « tout ce qui a été commis fera l’objet d’un jugement », nettement plus clément chez nous, où la peine de mort est abolie.

L’autre avantage, pour les djihadistes combattants qui ont – et auront, d’ici là – réussi à rentrer en France, c’est que notre pays n’extrade pas ses ressortissants. D’où, certainement, le vœu de ces fanatiques – entraînés à se battre et à haïr notre mode de vie occidental – d’être jugés par des tribunaux français car, au bout du chemin, ce sera la perpétuité toute relative, dans le pire des cas, et l’assurance d’être traités avec humanité dans les prisons françaises.

Mais ça, c’est en théorie puisque, « selon les chiffres du gouvernement datant de fin octobre, tous les djihadistes revenus en France n’auraient pas été mis en prison » (op. cit.). Pire : sur les 178 hommes revenus, 120 d’entre eux ont été écroués, et sur les 66 femmes, 14 d’entre elles. Et là, on ne parle pas de ceux qui pourraient être rapatriés ou qui seraient passés en dessous des radars des services concernés.

 Ces « citoyens » ne vont certainement pas abandonner leurs convictions par magie et l’on peut craindre qu’ils exporteront le djihad ici-même, sans compter les disciples qu’ils rallieront à leur cause.

Dans ce cas précis, ne pourrait-on pas nous asseoir sur notre bienveillance niaise, remettre ces assassins de masse aux autorités irakiennes et syriennes et les abandonner à leur sort ?

En ce qui concerne les enfants (une fois n’est pas coutume), j’abonde dans le sens d’Emmanuel Macron : « Ils font l’objet, d’ores et déjà pour ceux qui sont revenus et ceux qui reviendront, d’une procédure toute particulière et d’un suivi très particulier, en particulier sur le plan médical et psychiatrique. » À condition que leur garde soit définitivement retirée à des parents aussi mortifères.

Charles Demassieux

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Nicolas Dhuicq : « En psychiatrisant le terrorisme, on évite de poser les questions qui fâchent »

Vendredi après-midi, à Blagnac, près de Toulouse, un conducteur a foncé volontairement sur un groupe de personnes rassemblées devant une école de commerce. Interpellé par les forces de l’ordre, placé en garde à vue, l’individu est connu pour des antécédents psychiatriques.


Boulevard Voltaire a interviewé Nicolas Dhuicq, maire de Brienne-le-Château, mais aussi docteur psychiatre, au sujet de ce fait divers, de la situation de la psychiatrie en France. L’occasion, pour lui, de revenir sur cette idée, que l’on trouve notamment chez le ministre de l’Intérieur actuel, que le terrorisme serait une maladie comme une autre.

Le document audio en cliquant ici

Du sursis pour une tête de sanglier devant une mosquée

Deux jeunes habitants de Pont-de-Beauvoisin (Isère) ont été condamnés aujourd'hui à 3 et 6 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Bourgoin-Jallieu pour avoir accroché une tête de sanglier à la porte de la petite salle de prière musulmane de leur village.

Les deux jeunes de 20 et 22 ans étaient poursuivis pour provocation à la haine raciale en lien avec la religion. Les deux jeunes hommes avaient reconnu les faits en garde à vue puis lors de l'audience en septembre, plaidant une "mauvaise blague" sur fond de soirée trop alcoolisée.

Fin juillet, circulant dans une voiture avec trois autres amis, ils avaient percuté un sanglier. Après avoir ramassé l'animal mort, ils l'avaient dépecé et congelé la viande. Quant à la tête, l'un des prévenus avait proposé de la déposer devant la salle de prière qui, sans aucun signe ostentatoire, est toutefois connue de tous dans ce village de 3500 habitants du Nord-Isère.

Seul le jeune homme compère de 23 ans avait suivi l'idée, tandis que les trois autres s'étaient désolidarisés de l'entreprise. Au matin, des fidèles estomaqués avaient fait la sanguinolente découverte en venant pratiquer leur culte. L'enquête n'avait pas mis 48 heures pour retrouver les auteurs de cette provocation, un délit passible de cinq ans d'emprisonnement.

Outre la peine de prison avec sursis, les deux coupables devront verser 2000 euros à l'Association du Juste milieu, qui gère le lieu, et 2000 euros à l'association de défense des droits de l'homme-collectif contre l'islamophobie en France, qui s'étaient toutes deux constituées parties civiles. Ils devront aussi payer 1000 euros de frais de justice. Enfin, un communiqué exposant leur condamnation sera affiché à proximité de la porte de la salle de prière.