mardi, 21 novembre 2017
Finkielkraut l’affirme : #balancetonporc a été créé pour « noyer le poisson de l’islam »
Immortel au sein des « immortels » de l’Académie française, Alain Finkielkraut est éternellement égal à lui-même, nourrissant une obsession pathologique de l’islam qui lui fait déceler derrière le hashtag #balancetonporc ce que personne n’y avait vu, même parmi les plus islamophobes des faiseurs d’opinion ou de guerre (BHL en Libye) qui forment, avec lui, un cercle de clercs peu vertueux : un subterfuge pour « noyer le poisson de l’islam ». Renversant !!
Ce philosophe, défenseur inconditionnel de la politique d’apartheid d’Israël, qui alterne les grandes envolées lyriques avec les coups de sang tonitruants, qui loue les vertus du débat d’idées aussi longtemps qu’on ne lui oppose pas la contradiction étayée, serait-il frappé d’une complotite aiguë ? Il faut le croire si l’on en juge par son analyse du phénomène de la libération de la parole des victimes d’abus sexuels qu’il a livrée dans un entretien au FigaraVox.
Alain Finkielkraut, en plus de jouer les prophètes de malheur percevant un « péril vert » partout, insinue, sans jamais prononcer le mot qui fâche “complot”, que tout ce grand déballage n’est pas dû hasard, mais poursuivrait un sombre dessein caché.
« L’un des objectifs de la campagne #balancetonporc était de noyer le poisson de l’islam: oubliée Cologne, oubliée la Chapelle Pajol… et puis patatras, les noyeurs de poisson attrapent, bien malgré eux, un très gros poisson islamiste : #Tariqramadan », a-t-il commenté.
Après avoir fait fort en matière de théorie du complot, Alain Finkielkraut, coutumier des outrances verbales, n’y est pas allé avec le dos de la cuiller envers le site Mediapart : « Mediapart n’est pas un site d’information, c’est une secte fanatique ». On aimerait bien savoir dans quelle boule de cristal le philosophe, vénéré comme un oracle du parisianisme, lit de telles énormités proches du délire et… de la diffamation.
Source
Ce philosophe, défenseur inconditionnel de la politique d’apartheid d’Israël, qui alterne les grandes envolées lyriques avec les coups de sang tonitruants, qui loue les vertus du débat d’idées aussi longtemps qu’on ne lui oppose pas la contradiction étayée, serait-il frappé d’une complotite aiguë ? Il faut le croire si l’on en juge par son analyse du phénomène de la libération de la parole des victimes d’abus sexuels qu’il a livrée dans un entretien au FigaraVox.
Alain Finkielkraut, en plus de jouer les prophètes de malheur percevant un « péril vert » partout, insinue, sans jamais prononcer le mot qui fâche “complot”, que tout ce grand déballage n’est pas dû hasard, mais poursuivrait un sombre dessein caché.
« L’un des objectifs de la campagne #balancetonporc était de noyer le poisson de l’islam: oubliée Cologne, oubliée la Chapelle Pajol… et puis patatras, les noyeurs de poisson attrapent, bien malgré eux, un très gros poisson islamiste : #Tariqramadan », a-t-il commenté.
Après avoir fait fort en matière de théorie du complot, Alain Finkielkraut, coutumier des outrances verbales, n’y est pas allé avec le dos de la cuiller envers le site Mediapart : « Mediapart n’est pas un site d’information, c’est une secte fanatique ». On aimerait bien savoir dans quelle boule de cristal le philosophe, vénéré comme un oracle du parisianisme, lit de telles énormités proches du délire et… de la diffamation.
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17:50 | Lien permanent | Commentaires (0)
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