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samedi, 25 novembre 2017

L'imam de Winterthour condamné à 18 mois avec sursis et dix ans d'expulsion

Le jeune Ethiopien, présenté comme ignorant par ses avocats, a été reconnu coupable d'incitation au crime ou à la violence après un prêche haineux

Le jeune requérant d'asile éthiopien qui avait tenu un prêche controversé dans la mosquée An'Nur de Winterthour (ZH) a été reconnu coupable d'incitation à la violence. Il écope de 18 mois de détention avec sursis et à une expulsion de 10 ans.

Le jugement a été rendu jeudi en fin de journée. L'imam a été reconnu coupable d'incitation au crime ou à la violence, de représentations de la violence et d'activité rémunérée sans autorisation.

Le Tribunal de district de Winterthour a presque entièrement suivi le Ministère public qui avait requis une peine de 18 mois avec sursis ainsi que l'expulsion pendant 15 ans. La défense avait quant à elle plaidé pour un acquittement.

Lors d'un prêche le 21 octobre 2016, le jeune homme avait notamment déclaré que les musulmans qui ne priaient pas dans la communauté devaient être «bannis, rejetés, évités et calomniés jusqu'à ce qu'ils y reviennent». Et que s'ils persistaient, ils devaient être tués, même s'ils priaient chez eux.

Pour la procureure Susanne Steinhauser, il ne faisait aucun doute que les propos tenus par le prévenu devant environ 60 fidèles lors de la prière du vendredi à la mosquée An'Nur représentaient un appel à la violence délibéré. Il avait de manière intentionnelle choisi les passages controversés de son prêche.

Lire également: Un imam de Winterthour inculpé pour appel au meurtre

A cela s'ajoutent trois photos et une vidéo que le prévenu avait enregistrées sur son téléphone portable ou partagées sur Facebook. Elles montrent des scènes violentes, comme le meurtre de plusieurs hommes par noyade ou des parties de corps humains découpés.

Pour la procureure, l'imam de 25 ans a mis en danger la sécurité publique. 

Une voix agréable

A l'inverse, l’avocat de l’imam avait présenté son client comme un «jeune homme ignorant» et demandé l’acquittement de tous les chefs d’accusation.

A la mosquée An’Nur de Winterthour – soupçonnée d’être mêlée aux départs de djihadistes en Syrie et fermée depuis – le prévenu s’était fait remarquer parce qu’il connaissait par cœur le coran et qu’il priait régulièrement. Comme en plus il avait une voix agréable, les responsables lui avaient demandé de conduire les prières quotidiennes et le prêche du vendredi lorsque l’imam d’alors est rentré en Italie, a relaté Me Urs Vögeli devant le tribunal.

Lire: La mosquée An’Nur à Winterthour fermera dans un mois

Selon lui, son client, qui n’était arrivé en Suisse que quelques mois auparavant et y avait demandé l’asile, s’est senti mis sous pression par la mosquée, ce qui l’a fait accepter. «Il n’a jamais cherché ce travail», a affirmé l’avocat.

Le prévenu a également cité des propos du prophète disant que les musulmans qui se tiennent éloignés de la communauté doivent être brûlés dans leurs maisons. Il a ajouté que ceux qui regroupent les cinq prières quotidiennes devaient également être punis.

Textes trouvés sur internet

Il n’avait alors jamais encore tenu un prêche pour la prière du vendredi. Le jeune homme a recherché des textes de prêche et en a finalement combiné deux.

Me Vögeli a fait valoir que les passages incriminés du prêche n’incitent pas à la violence, comme le prétend le Ministère public. Ceux qui décrivent des actes violents sont des citations du prophète et ne peuvent, en tant que tels, pas être pris au pied de la lettre. 

Enfin, concernant le reproche d’avoir exercé une activité payée sans autorisation, la défense a souligné que le prévenu avait reçu 600 francs comme cadeau de la mosquée An’Nur. Aucun contrat de travail n’existe et le prévenu n’a pas réclamé de salaire.

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A Bologne, l’islam s’invite à la table des curés !

Exit les saints : ce dimanche 19 novembre 2017, au Vatican on fête la première « journée mondiale des pauvres » instituée par le pape François. Comme un reproche à l’Église d’avant Bergoglio ! Comme si avant lui saints, papes, prêtres, simples fidèles s’étaient désintéressés des petits et des humbles… Ignorance des médias du système qui décrivent ses actions bergogliennes envers les indigents comme une nouveauté dans l’histoire de l’Église, sans que le principal intéressé ne démente ces âneries historiques.

En ce jour médiatisé, le Vatican a reçu 1500 pauvres à table dans la salle Paul VI. Le pape François a présidé ce déjeuner. 2000 autres pauvres ont été répartis dans d’autres infrastructures romaines, séminaires et collèges pontificaux. Des déjeuners semblables ont eu lieu dans d’autres paroisses italiennes.

Mais à Bologne, cela a provoqué une rébellion chez de nombreux prêtres. En effet, l’archevêque Zuppi a profité de cette journée mondiale des pauvres pour la coupler avec une autre initiative de son invention : « Reçoit à déjeuner un étranger ». Et a demandé à ses curés de recevoir les clandestins du centre d’accueil de Bologne. Parce que pour lui le futur de Bologne s’écrit avec l’accueil de migrants :

« Les murs ont été abattus parce que la ville voulait grandir : s’il n’y a pas d’accueil il n’y a pas de futur. »

Il semblerait que de ce futur melting-pot, ses prêtres n’en veulent pas. Sur les 90 du diocèse, seule une vingtaine a répondu positivement. Les autres s’y sont opposés :

« Cela peut-être une belle initiative mais il faut se demander quel sens cela a d’accueillir un musulman à l’église » ,

explique au Corriere della Sera don Antonio Rota de la paroisse du Sacré-Cœur.

« Ce n’est pas facile de mettre ensemble deux mondes religieux. »

Ce refus laisse éclater une réalité migratoire que les bien-pensants humanitaristes veulent occulter mais dont les curés bolognais sont bien conscients : les migrants sont majoritairement des musulmans ! Et brise l’utopie inter-religieuse conciliaire : faire « vivre ensemble », dans la pratique, simples fidèles catholiques et migrants musulmans « c’est difficile » comme dirait Hollande…

Francesca de Villasmundo

Source

 

L'imam de Winterthour condamné à 18 mois avec sursis et dix ans d'expulsion

Le jeune Ethiopien, présenté comme ignorant par ses avocats, a été reconnu coupable d'incitation au crime ou à la violence après un prêche haineux

Le jeune requérant d'asile éthiopien qui avait tenu un prêche controversé dans la mosquée An'Nur de Winterthour (ZH) a été reconnu coupable d'incitation à la violence. Il écope de 18 mois de détention avec sursis et à une expulsion de 10 ans.

Le jugement a été rendu jeudi en fin de journée. L'imam a été reconnu coupable d'incitation au crime ou à la violence, de représentations de la violence et d'activité rémunérée sans autorisation.

Le Tribunal de district de Winterthour a presque entièrement suivi le Ministère public qui avait requis une peine de 18 mois avec sursis ainsi que l'expulsion pendant 15 ans. La défense avait quant à elle plaidé pour un acquittement.

Lors d'un prêche le 21 octobre 2016, le jeune homme avait notamment déclaré que les musulmans qui ne priaient pas dans la communauté devaient être «bannis, rejetés, évités et calomniés jusqu'à ce qu'ils y reviennent». Et que s'ils persistaient, ils devaient être tués, même s'ils priaient chez eux.

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La Cour de cassation pose des conditions à l’interdiction du voile en entreprise

En mars dernier, la Cour de justice européenne rendait un arbitrage fébrilement attendu, qui s’est avéré lourd de conséquences pour les femmes voilées revendiquant un droit au travail ô combien légitime, mais que la société environnante s’escrime à leur dénier, recroquevillée dans sa frilosité anti-voile : les magistrats, humant l’air du temps, ont en effet estimé que les employeurs avaient carte blanche pour proscrire les signes religieux au sein de l’entreprise.

Quelques mois plus tard, en ce mercredi 22 novembre, la Cour de cassation, tout en s’appuyant sur la jurisprudence de la Cour de justice européenne, a rendu un jugement plus nuancé dans l’affaire de Asma.B. Cette ingénieure d’étude française revêtue d’un hijab, dont l’apparence extérieure n’avait ni été un frein à son embauche en 2008, ni posé de problème particulier au sein de la société de conseil qui l’avait recrutée, s’est brutalement retrouvée sur la sellette après qu’un client s’en soit offusqué.

Il aura suffi que cet individu très remonté se plaigne, non pas de son incompétence ou de son absence de rigueur, mais du voile qui lui entourait le visage, pour que la jeune femme soit confrontée à un cruel dilemme : retirer le voile de la discorde ou prendre la porte. Limogée pour faute en 2009, sans autre forme de procès, après avoir refusé un dévoilement sous la contrainte – son patron arguant que son voile dérangeait aussi certains de ses collègues – Asma.B, vivant cette mesure discriminatoire comme une terrible injustice, avait alors saisi les prud’hommes.

Ce fut peine perdue, puisque le conseil des prud’hommes, puis la cour d’appel de Paris, loin de trancher en sa faveur, ont rejeté ses demandes.

Dans son arrêt rendu mercredi, notablement moins hermétique, la Cour de cassation a estimé que les désirs du client de Asma.B de ne plus la voir voilée n’étaient pas des ordres, et ne pouvaient en aucun cas être considérés «  comme une exigence professionnelle essentielle et déterminante  », de nature à entraîner un licenciement en cas de refus de s’y soumettre.

En outre, l’ordre donné à la jeune ingénieure d’enlever son voile était purement oral et n’avait pas été gravé dans le marbre d’un règlement intérieur ou d’une note de service. Le caractère discriminatoire du limogeage de la jeune femme ne fait donc pas l’ombre d’un doute.

Un employeur peut désormais édicter un règlement intérieur ou une note de service prévoyant que les salariés n’ont pas le droit de porter des signes religieux ou politiques sur leur lieu de travail, mais en respectant deux conditions essentielles : la première impose que cette clause soit « indifférenciée », en d’autres termes qu’elle ne vise pas qu’une seule religion, toujours la même… ;  la deuxième, que cette règle interne ne s’applique qu’aux salariés ayant un contact avec la clientèle.

Parmi les précieux garde-fous instaurés par la Cour de Cassation, le licenciement abusif qui scelle le sort de la salariée voilée, jugée récalcitrante, ne pourra pas être décidé sans avoir envisagé, au préalable, la possibilité d’un reclassement, par exemple.

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Beauvais : Thomas Joly, numéro 2 du Parti de la France, conda

Le tribunal avait pris quelques semaines pour délibérer. Jugé le 9 novembre dernier, Thomas Joly, le Beauvaisien secrétaire général du Parti de la France, a été condamné, ce mardi, à 2 mois de prison avec sursis et 2 000 € d’amende pour diffusion de message violent accessible à un mineur. Le procureur avait requis 4 000 € d’amende en plus de deux mois de prison avec sursis. En 2015, le secrétaire général du parti d’extrême droite avait ainsi diffusé sur son blog des photos d’otages décapités — le photographe James Foley et le chef d’entreprise isérois Hervé Cornara — par les terroristes de l’Etat islamique afin de dénoncer la « barbarie islamiste ». Sur Twitter, Thomas Joly annonce « faire appel de ce jugement politique ». La décision du tribunal correctionnel de Beauvais sera sûrement scrutée de près alors que l’immunité parlementaire de Marine Le Pen a récemment été levée. La présidente du Front national devrait prochainement être entendue par la justice pour avoir publié, sur Twitter, des photos d’une victime du groupe Etat islamique.

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Appel à la violence: l'imam dit ne pas avoir compris ses propos

L'imam de la mosquée An'Nur, accusé d'appel à la violence, a dit jeudi devant le tribunal de district de Winterthour (ZH) ne pas avoir compris les propos qu'il a tenus lors de son prêche. Un rapport d'expert constate qu'il maîtrise parfaitement l'arabe classique.

L'accusation se base sur un enregistrement du prêche incriminé effectué par une personne privée le 21 octobre 2016 à la mosquée An'Nur de Winterthour, a indiqué la procureur devant les juges. A la suite d'une perquisition, les enquêteurs ont également trouvé la version écrite du prêche dans l'ordinateur de l'imam.

Ce dernier, un ressortissant éthiopien de 25 ans, a nié avoir été imam de cette mosquée. Il a en revanche reconnu avoir prêché le 21 octobre. Il n'a pas voulu s'exprimer devant les juges sur le contenu de son prêche.

Selon l'acte d'accusation, le prévenu a déclaré que les musulmans qui ne priaient pas dans la communauté devaient être "bannis, rejetés, évités et calomniés jusqu'à ce qu'ils y reviennent". Et que s'ils persistaient, ils devaient être tués, même s'ils priaient chez eux, rapporte l'acte d'accusation.

Le prévenu a également cité des propos du prophète disant que les musulmans qui se tiennent éloignés de la communauté doivent être brûlés dans leurs maisons. Il a ajouté que ceux qui regroupent les cinq prières quotidiennes devaient également être punis.

 Représentations brutales de meurtres

Le Ministère public reproche aussi à cet imam d'avoir "liké" et partagé sur Facebook des représentations brutales de meurtres. L'Ethiopien, requérant d'asile, est en outre accusé d'avoir travaillé pendant quatre semaines sans disposer des autorisations nécessaires et d'avoir ainsi violé la loi sur les étrangers.

Le Ministère public demande une peine de 18 mois avec sursis et une expulsion de 15 ans. Le prévenu a été arrêté le 2 novembre 2016 et se trouve depuis en détention préventive. Requérant d'asile, sa demande a entre-temps été rejetée.

Quinze ans est la durée maximale d'une expulsion dans le cas des délits reprochés au prévenu. Si une expulsion est prononcée, le renvoi pourrait s'avérer difficile. En effet, la Suisse n'a pas d'accord de réadmission avec l'Ethiopie.

Quand Wallerand de Saint-Just se positionne à gauche de… Manuel Valls en matière d’immigration

 

Lien direct vers le Tweet

Le pape décapité sur une affiche de propagande islamiste

Après avoir menacé le Vatican d’un bain de sang pour Noël, la Wafa Media Foundation (agence de propagande de l’État Islamique) vient de diffuser une affiche montrant le pape François décapité. Ce photomontage montre un djihadiste masqué tenant un couteau de la main droite et posant la gauche sur la tête décapitée du pape François, sur un fond de bâtiments en ruines et de véhicules transportant des djihadistes armés. Pour qu’aucun doute ne subsiste, un cartouche noir porte la légende « Jorge Maria Bergoglio ». Nous avons décidé de ne pas montrer cette affiche sur ce blogue, mais nous la tenons à la disposition de ceux qui nous en feront la demande ici.

Source : International Business Times, 20 novembre

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Appel à la violence: l'imam dit ne pas avoir compris ses propos

L'imam de la mosquée An'Nur, accusé d'appel à la violence, a dit jeudi devant le tribunal de district de Winterthour (ZH) ne pas avoir compris les propos qu'il a tenus lors de son prêche. Un rapport d'expert constate qu'il maîtrise parfaitement l'arabe classique.

L'accusation se base sur un enregistrement du prêche incriminé effectué par une personne privée le 21 octobre 2016 à la mosquée An'Nur de Winterthour, a indiqué la procureur devant les juges. A la suite d'une perquisition, les enquêteurs ont également trouvé la version écrite du prêche dans l'ordinateur de l'imam.

Ce dernier, un ressortissant éthiopien de 25 ans, a nié avoir été imam de cette mosquée. Il a en revanche reconnu avoir prêché le 21 octobre. Il n'a pas voulu s'exprimer devant les juges sur le contenu de son prêche.

Selon l'acte d'accusation, le prévenu a déclaré que les musulmans qui ne priaient pas dans la communauté devaient être "bannis, rejetés, évités et calomniés jusqu'à ce qu'ils y reviennent". Et que s'ils persistaient, ils devaient être tués, même s'ils priaient chez eux, rapporte l'acte d'accusation.

Le prévenu a également cité des propos du prophète disant que les musulmans qui se tiennent éloignés de la communauté doivent être brûlés dans leurs maisons. Il a ajouté que ceux qui regroupent les cinq prières quotidiennes devaient également être punis.

 Représentations brutales de meurtres

Le Ministère public reproche aussi à cet imam d'avoir "liké" et partagé sur Facebook des représentations brutales de meurtres. L'Ethiopien, requérant d'asile, est en outre accusé d'avoir travaillé pendant quatre semaines sans disposer des autorisations nécessaires et d'avoir ainsi violé la loi sur les étrangers.

Le Ministère public demande une peine de 18 mois avec sursis et une expulsion de 15 ans. Le prévenu a été arrêté le 2 novembre 2016 et se trouve depuis en détention préventive. Requérant d'asile, sa demande a entre-temps été rejetée.

Quinze ans est la durée maximale d'une expulsion dans le cas des délits reprochés au prévenu. Si une expulsion est prononcée, le renvoi pourrait s'avérer difficile. En effet, la Suisse n'a pas d'accord de réadmission avec l'Ethiopie.

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4 Maghrébins de Roubaix à papiers français, rejugés en Turquie pour viol sur mineure

Quatre « zissus de la diversité », des Maghrébins possédant des papiers français et colonisant les quartiers de Roubaix, en villégiature en Turquie , ont tentés de faire découvrir leur conception du « vivre-ensemble » à une jeune fille mineure dans un hôtel de Bodrum à l’été 2016.

Mal leur en a pris : ils sont actuellement détenus là-bas, très justement condamnés à 13 ans de prison pour avoir violé collectivement la jeune victime anglo-américaine d’origine marocaine.

En effet, les quatre envahisseurs (Fayçal, Belkacem, Malik, Rabah) avaient profité d’une soirée, dans une chambre de l’hôtel de Bodrum, pour avoir des relations sexuelles, tour à tour, avec la jeune fille dont la famille était en vacance au même endroit.

Selon la version peu crédible des agresseurs, la victime auraient eu des relations sexuelles avec chacun d’entre eux de façon consentie alors qu’ils ne savaient pas qu’elle était mineure… C’est en sortant de la chambre qu’elle aurait été surprise par son grand frère qui a alerté ses parents qui auraient appelé la police.

Le 8 juin dernier, les quatre colons avaient donc été condamnés à 13 ans de prison pour viol. Mais leur avocat, Me Ahmet Kiraz, a fait appel, et le mois dernier le jugement a été cassé. Un nouveau procès aura donc lieu.

Ils seront rejugés le 14 décembre prochain et en attendant, ils restent en détention près de Bodrum, où ils avaient passé leurs vacances en août 2016.

Message aux Turcs : gardez-les et faites en ce que vous voulez.

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Sud-Éducation sous la coupe du PIR islamo-gauchiste d’Houria Bouteldja : l’AGRIF porte plainte

L’organisation par le syndicat de gauche Sud-Éducation d’un stage soi-disant « antiraciste » mais d’apartheid anti-blanc révèle combien il n’est plus désormais qu’une courroie de transmission du PIR (Parti des Indigènes de la République) d’Houria Bouteldja et de son conseiller idéologique Saïd Bouamama.

Ce stage a pour but essentiel « la lutte contre l’islamophobie ». On sait ce que cela recouvre en réalité : une active propagande d’islamophilie.

Sud et le PIR assortissent cela de la provocation délibérée d’une « formation » d’un apartheid séparant les enseignants blancs des non-blancs.

Depuis bientôt 10 ans (première plainte le 13 février 2008), l’AGRIF a été la seule association à porter devant la justice les propos racistes d’Houria Bouteldja, traitant les Français de « sous-chiens », et les écrits de son mentor Saïd Bouamama ainsi que les paroles de son rappeur Saïd Saïdou sous les titres de « Nique la France ».

Tous ceux qui, ministres et députés, sous les gouvernements de messieurs Sarkozy et Hollande, avaient juré de ne pas laisser passer pareilles éructations racistes, n’ont finalement rien fait. Seule l’AGRIF a agi et attend pour le 10 janvier 2018 l’arrêt contre « Nique la France » de la Cour d’appel de Lyon devant laquelle la Cour de cassation a heureusement renvoyé l’arrêt cassé de la Cour d’appel de Paris.

Le « stage » Sud-PIR d’apartheid raciste montre combien madame Bouteldja, devant les tribunaux, se moquait cyniquement du monde en osant prétendre que ses catégories de « blancs » et de « non-blancs » ne correspondaient pas du tout à la réalité d’une discrimination raciale que la loi devrait punir mais à une classification idéologique.

Tout simplement, dans sa dialectique islamo-gauchiste elle n’a cessé à la fois de classifier tous les musulmans dans les « non-blancs » et de ranger avec ces derniers les non-blancs non-musulmans.

Le pire, c’est que le PIR a désormais noyauté et dirige des syndicats et autres associations avec l’appui politique de la mouvance mélenchonienne. On est là devant l’aveuglante évidence de ce que l’AGRIF n’a cessé la première de formuler et de clamer : « L’idéologie antiraciste n’est qu’un racisme en sens contraire ».

Naturellement, l’AGRIF va déposer plainte contre le syndicat raciste anti-blanc « Sud-Éducation ».

Source

 
 
 

Comment répondre aux mensonges sur les prières de rue ?

 


- Comment répondre aux mensonges sur les prières de rue ? -

ARGUMENTAIRE XII


Afin de vous donner les armes pour triompher dans les débats en société ou en famille, Les Identitaires vout proposent sur leur site une série d'argumentaires traitant des grandes questions d'actualité.

Le douzième d'entre eux démonte l'affirmation mensongère suivante :


« Nous prions dans la rue car il n'y a pas assez de mosquées. »


Lire l'argumentaire.


 

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Les prières de rue, pas forcément liées à un manque de lieux de culte

L’affaire des prières de rue de Clichy-la-Garenne jette une lumière vive sur des problèmes qui restent rares en France et seraient liés à un conflit de légitimité entre associations musulmanes.

La question des prières de rue est épineuse : difficile d’y répondre par l’alternative licite/illicite. Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a précisé dimanche que les rassemblements seraient désormais interdits à Clichy-la-Garenne après des tensions avec des élus locaux.

1. Que dit la loi ?

Le cadre juridique abritant l’exercice de sa religion, liberté fondamentale, est plutôt conciliant. "Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi", proclame la déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789.

 

Quant aux "manifestations extérieures d’un culte" mentionnées par la loi de 1905 séparant les Eglises et l’Etat, elles sont généralement soumises à déclaration préalable en mairie ou en préfecture.

"S’il n’y a pas eu déclaration préalable, la prière est interdite. Mais s’il y en a eu, il faut que le maire ou l’autorité de police démontre qu’il y a un problème d’ordre public pour l’interdire", explique le président de l’Observatoire de la laïcité, Jean-Louis Bianco.

2. Y en a-t-il tant que ça ?

Les tensions autour de prières de rue sont-elles fréquentes ? "Par rapport au nombre de lieux, c’est très minoritaire", relativise Didier Leschi, auteur de "Misère(s) de l’islam de France" (Cerf).

Les frictions sont souvent liées à des situations particulières. Avant Clichy (Hauts-de-Seine), les prières de rue de Lagny (Seine-et-Marne) ont fait parler d’elles après la fermeture fin 2015 de la mosquée locale, jugée "radicale".

Des prières débordant des mosquées sont tolérées si elles ne gênent pas la circulation, par exemple quand la salle est saturée. "C’est souvent très limité dans le temps, au moment de l’Aïd", note Didier Leschi.

3. Est-ce vraiment en raison d’un manque de lieux ?

Le secrétaire général du Conseil français du culte musulman (CFCM), Abdallah Zekri, met en avant la nécessité de nouvelles mosquées. Estimant à 1,25 million le nombre de musulmans se rendant régulièrement dans une mosquée en France, ce responsable pense qu’il faut 600 000 mètres carrés pour leur permettre de prier dignement, contre 300 000 mètres carrés de surface existante.

Il faut donc doubler le nombre de lieux si on veut garder des "mosquées de proximité", fait valoir ce dirigeant, qui préfère "que les personnes prient chez eux plutôt que d’aller se prosterner dans les caniveaux, ce qui est indigne d’une religion".

"On a maintenant environ 2 600 lieux de culte décents, ce qui n’est pas loin de répondre aux besoins", observe Jean-Louis Bianco. Didier Leschi estime même que, en comptant les salles de prière dans les foyers de travailleurs migrants, le nombre de lieux avoisine les 3 000. Soit presque un doublement en vingt ans.

4. Quel rôle des dissensions intracommunautaires ?

A Clichy, le maire fait valoir qu’une mosquée du nord de la commune peut accueillir les fidèles priant dans la rue, ce qu’ils contestent, arguant qu’elle est exiguë. Pour Didier Leschi, le conflit repose surtout sur des "dissensions entre associations musulmanes", l’une à la tête du lieu fermé par la mairie, l’autre gérant la salle où elle veut les regrouper.

"La vision qu’ont beaucoup de personnes ne tient pas compte des problèmes de différences nationales : la 'oumma’ ", la communauté des croyants, sur le terrain, "ça n’existe pas", selon cet expert. Le dossier de Clichy lui rappelle celui de Montfermeil (Seine-Saint-Denis), marqué il y a quelques mois par "une opposition entre une association de sensibilité turque et une maghrébine".

Source

Sartrouville (78) : violences urbaines suite à la fermeture administrative de la mosquée salafiste

Film : la persécution des chrétiens aujourd’hui dans le monde

Raphaël Delpard, romancier et cinéaste français, vient de réaliser un film documentaire sur La persécution des chrétiens aujourd’hui dans le monde, cette éradication sournoise et violente qui touche 210 millions de femmes, d’hommes et d’enfants dans 50 pays… Enrichis de nombreux témoignages de rescapés, ce film de 90 minutes doit être vu et connu de tous. En attendant la vidéo de ce film, qui devrait être commercialisée en janvier prochain, vous pourrez le découvrir à Paris mais dans une seule salle, celle du Lucernaire (53 rue Notre-Dame-des-Champs, 75006 Paris). Prochaine séance : mercredi 22 novembre à 20 h 30. Il est fortement recommandé d’arriver au moins un quart d’heure avant la séance : beaucoup de personnes n’ont pu voir le film au jour choisi parce que la salle était déjà pleine avant le début de la projection. Ne ratez pas ces rares occasions et informez votre carnet d’adresses.

Ci-dessous, la bande annonce du film :

Les tribulations d’un commerçant français à Marseille