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mardi, 28 novembre 2017

Nantes. «Sales putes de Blancs ! » La manifestation contre l’esclavage en Libye tourne à l’émeute ethnique

« Sales putes de Blancs! ». Les Nantais auront eu  ce samedi 25 novembre en fin d’après-midi, un bel aperçu de la société multiculturelle apaisée et du vivre-ensemble triomphant. Près de 250 personnes, presque toutes d’origine africaine, ont fait une manifestation sauvage et bloqué les transports en commun au coeur de Nantes, à Commerce puis jusqu’à Chantiers Navals vers 18h00. Pendant ce temps, la police était presque complètement absente et plusieurs personnes (blanches) ont été lynchées par les manifestants.

Un rassemblement devait avoir lieu à 14h au Mémorial contre l’esclavage pour protester contre l’esclavage des Noirs en Libye, une problématique ancienne qui retrouve actuellement de l’attention médiatique après que CNN ait filmé des marchés aux esclaves dans l’arrière-pays de Tripoli, notamment à Sabratha. Un appel d’artistes et de personnalités noires et antillaises a été diffusé dans la presse française de gauche pour interpeller l’UE, accusée de ne rien faire. En filigrane, ils entendaient déplacer le terrain de la contestation contre la politique migratoire de l’UE, accusée de ne pas  ouvrir totalement les vannes à l’immigration issue des pays africains.

La manif de la « diaspora noire » tourne à l’émeute

A Nantes, le rassemblement du 25 novembre était précédé de réunions préparatoires lancées par la « diaspora noire », sur l’Ile de Nantes (le 21), aux Dervallières (le 22) et au Chêne des Anglais (le 23). Elles ont été organisées avec le soutien de l’extrême-gauche anarcho-autonome qui mène actuellement un combat pour que les migrants soient logés par l’État et la municipalité nantaise en occupant des salles dans la faculté.

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