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lundi, 01 janvier 2018

Sauf changement, les Blancs minoritaires d’ici 2060 en France avec 30 millions de musulmans..

 
 
 
 
 

 

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Si l’on ajoute les deux générations (immigrés et enfants d’immigés), cela donne un total de 13,5 millions, soit 20,4 % de la population. On a donc un peu plus d’un habitant sur cinq d’origine étrangère sur deux générations en 2015. On aimerait, ce qui n’est pas bien difficile à faire, que l’Insee donne la même information sur la France métropolitaine, pour laquelle j’ai fait trois estimations plus anciennes (1986, 1999, 2011), ce qui permettrait de donner une idée de l’évolution. Si l’on ramène les chiffres de l’Insee à la France métropolitaine, on a, à peu près, 13,2 millions de personnes d’origine étrangère sur deux générations (soit 20,5 %), à comparer à 12,1 millions quatre ans plus tôt et 9,8 millions en 1999, soit 19,2 % en 2011 et 16,8 % en 1999. La population d’origine étrangère sur deux générations aurait donc augmenté de 9 % entre 2011 et 2015, contre 2,6 ‰ seulement pour les natifs au carré.
Ce premier constat appelle plusieurs remarques.

En premier lieu, toutes les personnes considérées comme immigrées – nées de parents nés à l’étranger – ne sont pas nécessairement d’origine extra-européenne. Un certain nombre d’entre eux proviennent d’autres pays européens.

Ces chiffres ensuite n’intègrent pas les 3ème et 4ème générations d’immigrés, une lacune importante. Ils ne comportent pas non plus les migrants extra-européens des possessions coloniales françaises des Antilles, de Polynésie ou de Nouvelle Calédonie et d’ailleurs.

En outre, les chiffres officiels, par nature réalisés avec l’aval du gouvernement, ont une fiabilité relative en raison de leur dimension politique.

8,5 millions de musulmans en France déjà en 2016

L’expert des migrations Jean-Paul Gourévitch, moins réservé que son homologue Michèle Tribalat, a dressé un portrait assez net de la situation ethnique et religieuse de la démographie hexagonale. En 2016, il rapportait la présence en France de 8,5 millions de musulmans, pratiquants réguliers ou non (source). Soit 12% des 66 millions de personnes recensées dans le pays en 2016.

Sur ces 8,5 millions de musulmans, environ 4 millions forment le socle des pratiquants dont 150,000 adhéreraient à l’islam radical. Un chiffre à mettre en perspective avec les 19,000 activistes proches du djihadisme recensés par le gouvernement français (source).

Au moins 12 millions d’extra-Européens en France en 2017

Point important à rappeler : tous les migrants extra-européens ne sont pas musulmans même si ces derniers en représentent la majorité. Nombre de migrants extra-européens sont également des sub-sahariens ou, plus marginalement, des asiatiques. Il faut donc recouper les chiffres disponibles pour avoir un panorama de la démographie non blanche en France, qu’elle soit musulmane ou non.

Le nombre d’immigrés illégaux est évalué à 550,000 par Jean-Paul Gourévitch (source).

Il faut ajouter le nombre des migrants de l’intérieur. En 2008, Jean-Paul Gourévitch évaluait entre 700,000 et 900,000 les migrants allogènes des DOM-TOM en métropole (source).

Le nombre d’Asiatiques établis en France est généralement évalué à 1 million (source).

Le nombre de migrants d’Afrique Noire non-musulmans – chrétiens ou animistes – est difficilement chiffrable même si le nombre de noirs était évalué, toutes origines confondues, à 3 millions en 2008 par Jean-Paul Gourévitch.

La France compte donc au moins 11 millions d’extra-Européens dont 8,5 sont musulmans. Chiffre auquel il faut encore ajouter les subsahariens non-musulmans dont le nombre peut se situer entre 1 et 2 millions.

L’augmentation de la population française exclusivement due à l’immigration

La question que les lecteurs se poseront a trait à l’évolution future de la composition raciale du peuplement de l’Hexagone.

C’est bel et bien l’immigration qui explique la croissance de la démographie française, laquelle est passée de 50 millions en 1970 à 67 millions en 2017 – malgré un taux de natalité officiel inférieur à 2, soit celui du simple maintien de la population.

Puisque l’on sait qu’au début des années 70, la France comptait 1,3 millions d’extra-Européens en France (source) – ce qui était déjà énorme – on peut estimer que l’essentiel des 17 millions d’habitants supplémentaires qu’a reçu la France depuis 1975 sont d’origine immigrée dont une large part – les 12 millions d’extra-Européens précités – forment la majorité.

Une fois cette composition raciale à l’esprit, on comprend que le dynamisme français repose essentiellement sur le natalisme des populations non-blanches.

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