Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 28 janvier 2018

Un quartier musulman de Nancy hostile aux policiers : attaques aux cris de « Allah Akbar »

Lu dans L’Est Républicain du 25 janvier 2018 (extrait):

« Attroupement, caillassage, provocations… Contrôle de police sous haute tension, mardi, dans un hall d’entrée squatté du bâtiment Cèdre bleu. Un renfort a été nécessaire pour sécuriser deux interpellations.(…) La situation reste sensible sur le HDL. Le week-end dernier, l’entrée n°19-Cèdre Bleu faisait déjà parler d’elle. Avec des portes jetées par la fenêtre d’un appartement situé au 4e étage. Une scène surréaliste accompagnée de cris « Allah akbar ». Lire la suite 

Source

Via Mayotte, 50 000 migrants étrangers pour La Réunion et l’Europe ?

par Francis Bergeron.

La petite île française de Mayotte est submergée par une migration économique d’une ampleur sans précédent. Un glissement de terrain survenu le 10 janvier en a fait prendre conscience au-delà des Mahorais eux-mêmes. Ce jour-là, une mère et ses quatre enfants, qui vivaient dans un bidonville du nord de l’île, ont trouvé la mort dans des conditions atroces, emportés par une coulée de boue. On savait que la population clandestine est considérable, à Mayotte, île accessible, au prix de mille dangers, d’ailleurs, par des bateaux venus d’Afrique, de Madagascar, mais surtout des îles comoriennes (celles qui avaient refusé de rester rattachées à la France lors du référendum de 1974).

Mais ce que révèle le drame du bidonville de Koungou, et ce que laissait déjà entendre la montée vertigineuse de la criminalité locale, c’est que 50 % des actuels habitants de l’île sont des migrants clandestins. Oui, vous avez bien lu : 50 % ! L’île compterait 250 000 à 300 000 habitants. Elle connaît la plus forte croissance démographique de tous les territoires français, car elle constitue une porte d’entrée impossible à fermer. 100 000 à 150 000 de ses habitants pourraient donc être des clandestins. Il en arrive près d’une dizaine de milliers supplémentaires chaque année.

Des photos cachées

Les Mahorais manifestent en masse contre l’immigration. Le grand remplacement, ils le vivent en direct, au quotidien, et ils n’en peuvent plus. Personne, ici, n’oserait écrire que ces manifestations sont racistes ou traduisent une lepénisation des esprits. En effet, ceux qui manifestent ne sont ni « d’infâmes colons blancs », ni des métropolitains de passage sur l’île. Ce sont les Mahorais de souche, qui ne supportent plus l’insécurité, l’insalubrité et la montée inexorable du chômage que provoque cet afflux massif de migrants. En novembre dernier, comme régulièrement ces dernières années, les autochtones de ce 101e département français avaient bloqué les services de l’immigration, demandant un « moratoire », c’est-à-dire qu’il soit mis un terme à l’accueil provisoire systématique des migrants, accueil qui, en fait, se prolonge indéfiniment. La préfecture ne leur avait donné aucun espoir : « On applique la loi : un étranger en situation irrégulière a le droit de demander un titre de séjour (…). Nous sommes dans un état de droit. »

Mais les photos de ces manifestations de masse anti-immigration, vous ne les avez pas vues dans les médias métropolitains, sans doute « pour ne pas faire le jeu du Front national ». Car ces manifestants, qui brandissent le drapeau français, sont tous noirs de peau.

Aussi le collectif des associations de Mayotte modifie-t-il aujourd’hui ses arguments : puisque l’état de droit oblige à accueillir cette population migrante massive, et puisque cette population vit à Mayotte dans des conditions risquées, comme l’a encore montré la mort de cette mère de famille et de ses enfants, pourquoi ne pas en envoyer 50 000 vers l’île de la Réunion, voire en Europe ? Mais évidemment, conclut le collectif des associations de Mayotte, il serait beaucoup plus simple et logique d’empêcher « la traversée de gens qui risquent leur vie ». Cette prétendue impossibilité de la part d’un pays qui est pourtant la cinquième puissance au monde semble prouver que, si le problème est à Mayotte, la solution, elle, est à Paris.

Article paru dans les colonnes du quotidien Présent.

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24  99

Source

Matteo Salvini s’engage à expulser 500 000 migrants clandestins

L’immigration sera-t-elle la question centrale des élections générales italiennes qui se tiendront le 4 mars prochain, après la dissolution du Parlement fin décembre ? C’est en tout cas le pari du responsable de la Ligue du Nord Matteo Salvini, dont la formation politique a conclu une alliance avec le parti de centre-droit de Silvio Berlusconi, Forza Italia. Pour sa campagne, Matteo Salvini table sur la montée d’un sentiment anti-immigration dans le pays pour gagner la majorité au Parlement.

Fort de son slogan «les Italiens d’abord», Matteo Salvini a promis dans les colonnes de La Repubblica d’expulser 100 000 migrants clandestins par an au cours de ses cinq années de mandat, si son parti accède au pouvoir. Il a fait remarquer que, sur les quatre dernières années, plus de 600 000 migrants étaient arrivés en Italie, et s’est donc engagé à en renvoyer un demi-million.

«En Italie, il y a trop d’immigrés clandestins qui se baladent et sèment le désordre, je ne peux plus le supporter», a-t-il lancé sur le même thème lors d’une émission politique sur la chaîne La7, le 23 janvier. «Il y a ceux qui se servent d’avions pour amener des migrants en Italie. Je les utiliserai pour les ramener chez eux», a-t-il encore affirmé, dans une autre phrase choc.

Si la question de la politique migratoire italienne est centrale dans le programme de la Ligue du Nord, cette dernière compte s’appuyer sur d’autres arguments pour convaincre les électeurs. Parmi ceux-ci, Matteo Salvini a soutenu que «la révision des traités européens» était bel et bien prévue dans le programme, afin que les principes de la constitution italienne puissent «prévaloir sur ceux de Bruxelles et Berlin».

« J’ai le devoir de changer ces règles, parce que mon pays vient en premier », a conclu Matteo Salvini, dans une expression qui n’est pas sans rappeler la rhétorique de Donald Trump, pour lequel il a toujours affiché un soutien clair.

Lire aussi : Les pays du sud de l’UE tentent d’afficher leur unité face à la crise migratoire

Extrait de: Source et auteur

Suisse shared items on The Old Reader (RSS)

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24  99

Source

L’annulation de la condamnation de Zemmour ne règle pas le problème de l’invasion migratoire

Suite à la décision de la Cour de cassation, annulant sa condamnation, Eric Zemmour déclare dans Valeurs Actuelles :

Hqdefault« J’aimerais rappeler que c’est pour cette interview qu’i-Télé m’a viré en 2014. A l’époque, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve incitait les gens à aller faire des manifestations devant chez moi et une députée PS avait demandé que je quitte la France. » 

« Trois ans plus tard, la cour de Cassation reconnait que cette affaire était un grand n’importe quoi. Le problème, c’est que le jugement politique et médiatique est tombé bien avant. C’est le péché mortel de la démocratie française : la judiciarisation des débats ».

« L’annulation de ma condamnation par la cour de Cassation ne règle rien. Ni le problème de l’invasion migratoire que j’évoquais sur le fond, ni celui de cette judiciarisation. Quand la réalité devient impossible à cacher, la machine judiciaire permet de mettre des coups d’arrêt à ceux qui la décrivent. Je rappelle que le maire de Grigny m’attaque aujourd’hui en justice parce que j’ai dit que la borne de Grigny n’était plus en France. »

Source

« Plus de 50 % des détenus terroristes déja condamnés sont censés sortir de prison d’ici à 2020 »

INTERVIEW  Figarovox (extrait)- Menacé de mort, épuisé psychologiquement, David Thomson, lauréat du prix Albert-Londres, pensait avoir tourné la page de la question djihadiste. Il révèle les raisons de son silence et de son exil aux États-Unis et alerte une nouvelle fois sur le danger que représente le retour des combattants français de Daech.

« Aujourd’hui, tout le monde a malheureusement compris le danger. Cette fois, le problème est différent. La démocratie ne lutte pas à armes égales avec le djihadisme. Les djihadistes ont la mémoire longue et opèrent patiemment sur le temps long, surtout quand ils sont en prison. C’est moins le cas de la justice française. On estime que plus de 50 % des détenus terroristes déja condamnés sont censés sortir de prison d’ici à 2020. Sur le court terme, l’intensité de la menace terroriste est donc moins forte en France ; je crains que cela ne soit pas le cas sur le long terme.(…) N’oublions pas les précédents, comme celui du Belge Oussama Atar, parti rejoindre le premier djihad irakien, condamné en 2005 à dix ans de prison en Irak. Se présentant comme repenti et malade, il avait bénéficié en Europe d’une vaste campagne de soutien conduisant à sa libération anticipée. Il a ensuite regagné le djihad en Syrie pour devenir un des coordinateurs des attentats du 13 novembre. Je pourrais citer des dizaines d’autres exemples comme celui-ci. Lire l’entretien complet sur Le Figaro

Se procurer l’excellent livre-enquête Les Revenants sur Amazon

Sur le même sujet lire  70 condamnés pour terrorisme sortiront de prison dans les deux ans (JDD)

Source