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samedi, 27 janvier 2018

Marseille : Algériens en colère à cause de la grève surprise d’Air Algérie

 

Source et Video

Bataclan : après Mohamed la crevure, Abdelkader l’enflure, Salah la raclure, Jawad la pourriture !

Bataclan : après Mohamed la crevure, Abdelkader l’enflure, Salah la raclure, Jawad la pourriture !

Jawad la pourriture.

C’est Aurore Bonnet, qui a perdu son mari au Bataclan, qui le dit.

« Ce monsieur, qui fait un drôle de personnage, j’aimerais bien que, tout simplement, il n’embobine pas les gens et que l’on se rende compte, que c’est vraiment… je suis désolé… une pourriture. Voilà »

http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/proces-de-jawad-be...

 Mais qu’elle ne s’excuse pas, Mme Bonnet, « pourriture » étant bien le terme adéquat pour cette engeance surnuméraire sévissant sur notre sol.

Le Monde, qui chérit si bien ces cloportes malveillants et l’arrivée massive de nouvelles « chances pour la France » a crée une sorte de mémorial virtuel pour les victimes des attentats du 13 novembre 2015.

Pour le mari d’Aurore Bonnet, ancien chauffeur de bus devenu formateur à la RATP, on apprend que, parmi ses tueurs, figurait un ancien chauffeur de la régie de transport.

Raphaëlle Bacqué (auteur avec Ariane Chemin d’un ouvrage sur la communauté « attachante » de Trappes) précise évidemment que, pour Mme Bonnet, « la haine n’aurait aucune chance de l’emporter dans la famille » et qu’elle a participé « avec les enfants à un concert de rock pour se prouver qu’aucun terroriste ne peut anéantir une famille qui aime la vie ».

Après tout, c’est son choix.

Mais il est douteux que ce discours, les fleurs, les ballons et les bougies qui vont avec, ne fassent reculer les futurs candidats au « martyr ». C’est même le contraire : ils jouissent de nos faiblesses et de cette pathologie de l’amour inconditionnel de l’autre (souvent au détriment des siens).

Pourtant, si les médias leur donnaient voix au chapitre, de nombreuses victimes aimeraient crier, à leur tour, « vous aurez toute ma haine et on aimerait vous voir crever la gueule ouverte dans un océan de douleurs » (version légère)

Mais non, apparemment, ceux qui ont perdu un mari, une compagne, un enfant, un bras, une jambe, semblent tous mus par l’amour du prochain.

C’est vrai, les médias aiment le rappeler : les premières victimes du terrorisme sont avant tout musulmanes (à Nice, en Syrie, en Afghanistan…), alors ne nous plaignons pas.

Et puis, comme le dit si bien Pascal Boniface, de l’IRIS, ce n’est rien par rapport à l’alcoolisme, ce fléau si français de souche (La Croix).

Il y avait donc Mohamed la crevure, Abdelkader l’enflure, Salah la raclure, Yacine l’ordure, il y aura aussi Jawad la pourriture.

Ce qui les réunit, nonobstant leur amour de l’islam, c’est leur vie de merde. Une vie à voler, mentir, haïr, frapper, à pourrir celle des autres. C’est, paraît-il, la faute à l’État raciste et colonialiste.

Pourtant, ce même État leur a offert subsistance, logement, voire un emploi et de belles médiathèques pour devenir les futurs Victor Hugo de la pensée.

Jawad Bendaoud, lui, ne connaît ni Victor Hugo, ni Abdelhamid Abaaoud.

Qu’il accepte malgré tout de loger avec Chakib Akrouh et Hasna Aït Boulahcen. « Pour rendre service » dira-t-il, « parce qu’on me l’avait demandé ». Gentil et serviable le gars Bendaoud, cinq jours après les attentats du 13 novembre 2015 !

Filmé « à l’insu de son plein gré », le logeur de terroristes devient la risée de toute la France en affirmant en direct qu’il ne connait pas ses hôtes.

En revanche, la police et la justice connaissaient bien Jawad : dealer notoire, meurtrier de son « ami » (à la feuille de boucher, comme c’est délicat…), violent et ingérable en prison mais aussi « radical et prosélyte » […] Jawad Bendaoud, personnage ambigu, tantôt charmeur, tantôt violent ou impulsif, sera bien au cœur du procès qui s’ouvre ce mercredi. Récidiviste, il risque 6 ans de prison pour « recel de malfaiteurs terroristes« . (Le Dauphiné)

Deux autres frères de taqîya, Mohamed Soumah et Youssef Aït Boulahcen, comparaissent avec lui. Leurs interrogatoires se résument à « je suis innocent, j’t’i jure, sur la tête de la présidente Prévost-Desprez » (NDA : présidente de la XVIe chambre correctionnelle de Paris).

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/01/24/01016-...

https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/terrorisme/attaq...

Autre comique, bien français, lui, mais sorti du formol, Stéphane Peu, député PC de Seine-Saint-Denis (ce laboratoire de l’islam en marche), ex-maire de St-Denis, estime que sa ville a été « une victime directe du terrorisme» (Le Parisien). Pourrait-on aussi considérer que le 93, mais aussi la France, sont des victimes collatérales de la politique pro-immigrationniste du PC et de ses affidés ?

En ce qui me concerne, depuis les attentats de janvier et novembre 2015, je ne voterai plus jamais pour les partis traditionnels et j’attends l’homme ou la femme providentiels qui saura nous débarrasser définitivement de toutes ces « pourritures » qui encombrent les prisons.

Mais j’aurais bien une solution.

Puisque Madame Taubira voulait « vider les prisons » car « vides de sens » (Libération), je propose une peine alternative : un débarquement de tous ces assassins et leurs complices sur une quelconque île australe, sans eau ni pain noir, avec juste en lecture, peut-être, « Les châtiments » de Victor Hugo. Ils pourraient ainsi méditer sur l’expiation de leurs crimes au milieu des lapins et des choux de Kerguelen.

 Attention : si vos enfants affirment connaître Jawad, c’est qu’ils confondent avec Jabba, personnage du film « La guerre des étoiles ». Jabba le Hutt est, selon sa fiche wikipedia, « issu d’une puissante famille du crime organisé, il s’installe sur la planète Tatooine pour y fonder sa propre entreprise criminelle et vit notamment de la contrebande. Il est célèbre pour sa cruauté, son sadisme, son machiavélisme et ses nombreux vices ».

 Avec des petites lunettes, la bouche en cul de poule et des cheveux gominés, il pourrait effectivement ressembler à Jawad…

Source

Pour déminer la circulaire Collomb : Benjamin Stora va plancher sur la culture des migrants…

Les Français sont très largement pour, mais la gauche cacochyme est contre : la circulaire Collomb sur « l’accueil des personnes étrangères » la fait grimper aux rideaux.

Pour le mélencho-robespierriste Alexis Corbière, « Collomb fait du mauvais Sarko ». Comme toujours dans la nuance, il ajoute : « J’en ai ras le bol qu’on réduise le débat à : alors, le barbelé, on le met à quelle hauteur ? On en met un, on en met deux ? » (sur BFM TV). Quant au gros Julien Dray, il parle carrément de « rafles ». Que ne dirait-on pas pour exister…

Bref, à les entendre, vouloir savoir qui arrive dans les hébergements d’urgence caractériserait un crime contre l’humanité. Redisons-le : dans cette affaire, les Français sont à plus de 70 % derrière le gouvernement, mais qu’importe. Le jeu politique contraint à laisser aux oppositions l’illusion d’exister, si ce n’est de compter dans le jeu.

C’est dans cette optique, sans doute, qu’il faut considérer le hochet offert par le ministre de la Culture Françoise Nyssen à l’historien Benjamin Stora, « LE » spécialiste estampillé de la guerre d’Algérie et des histoires coloniales.

Un petit détour par sa fiche Wikipédia n’est pas inutile, fiche qui retrace son parcours depuis l’extrême gauche lambertiste et la fondation de l’UNEF jusqu’aux allées du pouvoir (après avoir assisté Ségolène Royal, il fut le conseiller de François Hollande avant et après son élection), et son ascension universitaire jusqu’au poste d’inspecteur général de l’Éducation nationale (depuis 2013) et, enfin, la présidence du Conseil d’orientation de la Cité nationale de l’histoire de l’immigration depuis août 2014.

Drôle d’histoire que celle de ce musée qui n’en est pas un. En effet, voulue par Chirac, puis entretenue par Sarkozy qui avait refusé de l’inaugurer, la Cité de l’immigration le fut par Hollande en décembre 2014, soit sept ans après son ouverture ! Installée dans l’ancien palais des colonies, à la porte Dorée (XIIe arrt.), conçue comme une « institution culturelle, pédagogique et citoyenne destinée à reconnaître et mettre en valeur la place des immigrés dans la construction de la France », le baratin institutionnel la décrit comme « un lieu d’histoire donnant à voir, à lire et à partager l’histoire de l’immigration en France depuis deux siècles ».

 Dans les faits, c’est surtout un improbable machin informe qui n’a jamais trouvé ni sa destination ni son public, sauf celui des écoles de banlieue qu’on y traîne de force et en rang par deux. Un lieu où l’histoire de l’immigration se résume surtout à la « galerie des dons », ce bric-à-brac improbable. Mais en quoi un couscoussier pendu à un fil à côté d’une statue nègre et d’un masque chinois en papier mâché parlent-ils aux immigrés de leur histoire et de leur culture ? Mystère… Ils n’en disent pas plus que ces vidéos de pauvres gens débarquant valise à la main, ces photos de « Pigeots » chargées jusqu’au ciel de matelas et de gazinières, ou les affiches d’Aznavour ou d’Enrico Macias qui tapissent les murs…

Qu’importe : on fait le job ! Et c’est ainsi que Benjamin Stora se retrouve, aujourd’hui, chargé par Mme Nyssen d’une mission, tout aussi fumeuse, de « coordination de l’action culturelle en faveur des migrants » dans les établissements nationaux. Selon le communiqué officiel, il doit faire avant l’été des propositions pour « développer l’accès des migrants aux arts et à la culture », permettre aux artistes et professionnels migrants de « poursuivre leur activité sur le territoire français » et « contribuer à l’évolution des regards portés par notre société sur les populations migrantes ».

Il y a huit jours, aux BIS de Nantes, le ministre demandait déjà aux théâtres publics de « réserver des places » aux migrants et d’« agir pour rendre à ces personnes le droit de vivre normalement, à côté des procédures, des démarches, des files d’attente ».

Et peut-être, aussi, le droit de s’inscrire comme intermittents du spectacle ?

Marie Delarue

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Angers Deux têtes de sangliers accrochées aux grilles de la future mosquée

Deux têtes de sangliers ont été accrochées aux grilles du chantier de la future mosquée d'Angers. Une procédure policière a été ouverte. L'acte est fermement condamné.

Les ouvriers ont quitté leur chantier mercredi à 18 heures. C'est en revenant sur les lieux pour commencer une nouvelle journée de labeur, le lendemain matin à 9 heures, qu'ils ont fait la macabre et écœurante découverte.

Accrochées sur les grilles du chantier de la future mosquée d'Angers, dans le quartier des Hauts-de-Saint-Aubin : deux têtes de sangliers fraîchement coupées.

Un acte "inacceptable"

Aussitôt prévenus par les ouvriers, les policiers se sont rendus sur place. Ils ont effectué les premières constatations d'usage et une procédure a été ouverte.

 L’association Falsafa, qui milite pour le vivre ensemble et lutte contre l’islamophobie, dénonce un acte « inacceptable ».

Article complet à lire dans "Le Courrier de l'Ouest" de ce vendredi 26 janvier 2018.

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Toulouse : ils offrent des sandwiches au porc à des "SDF français"

Une association identitaire a créé la polémique à Toulouse en distribuant aux SDF des sandwiches aux rillettes.

"Macron s'occupe des repas à Calais alors qu'il ne le fait pas pour nos SDF. Nous, nous essayons de compenser". Dans le journal Actu Toulouse, Nicolas Grigner vante les mérites de son association, Cercle souveraineté et identité toulousaine (CSIT), qui organise des maraudes dans Toulouse pour nourrir les sans-abri

Mais l'initiative de celui qui est également membre du Front national (FN) a une particularité : offrir en plat de résistance un sandwich aux rillettes au porc, explique le quotidien régional. Un détail qui, s'il peut paraître anodin, est troublant au regard du slogan de l'association : "Les nôtres avant les autres".

"C'est comme pendant la guerre les Français qui avaient faim ne réfléchissaient pas si c'était du lapin ou du chat", balaye cependant le frontiste Julien Leonardelli, interrogé par le journal. De son côté, Nicolas Gringer dénonce un procès d'intention malhonnête et nie tout accointance avec la "vraie" extrême droite, "celle qui tient des propos de haine et racistes tels que les néonazis ou le Parti de France".

Des explications qui ne semblent pas convenir à Laurence Arribagé, la secrétaire départementale de la fédération Les Républicains de Haute-Garonne. "Ignoble. Je condamne avec la plus grande fermeté ces agissements inhumains et cette instrumentalisation malsaine de la misère de nos concitoyens. Je demanderai l’exclusion immédiate de tout adhérent des Républicains (de Haute Garonne, ndlr) appartenant à ce mouvement", a tempêté l'élue sur Twitter.

Félix Roudaut

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