mardi, 22 mars 2016
Combrit (29). Des migrants imposés et attendus fin mars
Le Finistère n’en finit pas d’accueillir des « migrants » : après Fouesnant, Kerlaz, Pleyber Christ, c’est à Combrit, à proximité de Fouesnant d’ailleurs, que certains sont attendus en fin de semaine.
La petite commune de 3800 habitants n’a – comme c’est désormais le cas partout – pas été consultée sur l’accueil de ces musulmans d’Afrique Noire (Erythrée).
L’information de leur venue nous a été confirmée directement par un employé de la municipalité de Combrit, une municipalité qui se félicite de cet accueil au sein des bâtiments de l’école publique du village (il y a également une école privée dans la commune ).
« Ils ne seront sans doute pas nombreux, il faut être solidaire » nous explique un habitant, joint par téléphone, qui n’était pas au courant de leur arrivée mais qui s’en félicite. « Mais qu’est-ce qu’ils ont, les Bretons, à vouloir à tout prix accueillir des immigrés, sans arrêt ? » s »énerve Jean-Paul, un Lyonnais qui possède une maison secondaire dans la région de Bénodet – à côté de Combrit. « On voit bien qu’ils ne savent pas ce que c’est le « vivre ensemble » imposé. Demain, vos grandes villes vont devenir comme Lyon, comme Paris ou Marseille si ça continue comme cela. Et ils le regretteront . Ils pourront remercier la presse qui les aura bien rééduqué ».
L’État a manifestement décidé que la Bretagne – qui était jusqu’ici plus préservée que d’autres régions d’une présence immigrée parfois conflictuelle dans les grandes métropoles françaises – devait devenir une terre d’immigration. Il est vrai qu’il est d’ailleurs aidé parfaitement dans sa tâche par tout un réseau politique et associatif subventionné ou bien simplement « solidaire des autres » et idéologiquement engagé, qui travaille avec acharnement au changement de visage de la région.
Dernier exemple en date à Vern Sur Seiche, où les élus socialistes ont voté la mise en berne du drapeau européen samedi 19 mars pour protester contre la politique migratoire en France et en Europe jugée….trop ferme.
Seul Emeric Salmon, conseiller régional FN, accompagné de sympathisants, s’est levé et a pris la parole afin de faire part de son opposition à cette décision symbolique. L’élu en a profité pour réclamer la préférence nationale pour les Français.
Si les réseaux sociaux semblent largement témoigner d’une hostilité à l’immigration et d’une colère contre élus et militants qui l’organisent, sur le terrain, tout laisse à penser que les Bretons, dans leur ensemble, sont très largement favorables à toujours plus d’immigration.
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