Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 31 mars 2016

Les États-Unis totalement submergés par l’immigration non-blanche

Traduction de l’article de New Observer.

dune-croix-celtique.png

Les immigrés non-blancs arrivés aux États-Unis depuis 1970, et leurs descendants, constituent désormais plus de 25 pourcents de la population dans six États, et plus de 15 pourcents de la population dans 16 États – pour un total de près de 61 millions d’envahisseurs. La part de la population blanche aux États-Unis est pendant ce même temps passée de 84 pourcents à moins de 62 pourcents.

L’étendue de l’invasion non-blanche a été étudiée dans une nouvelle analyse de la composition raciale de la démographie américaine conduite par le Centre pour les Études sur l’Immigration (CIS) (en), qui a remis en question la capacité du pays à absorber le flux migratoire dans les écoles et le marché du travail.

Selon les nouvelles cartes interactives établies par le CIS, il n’y avait aucun État en 1970 avec une population immigrée enregistrée représentant plus de 15 pourcents de sa population totale.

C’est aujourd’hui le cas d’un tiers d’entre eux : Californie, Nevada, Texas, Floride, New York, New Jersey, Washington, Arizona, Illinois, Maryland, Géorgie, Virginie, Massachusetts, Rhode Island, Delaware et Oregon. [ndt : en particulier, .]

Et la population des immigrés et de leurs enfants dépasse les 25 pourcents dans six États : Californie, Nevada, Texas, Floride, New York et New Jersey. [ndt : On remarque ici que les les États plus peuplés sont aussi les plus envahis.]

La Californie, par exemple, est passée de 13 pourcents d’immigrés en 1970 à plus de 37 pourcents l’an dernier. Le Texas est quant à lui passé de 5 pourcents à 25 pourcents au cours de la même période.

Faisant référence à leur analyse précédente évaluant à 61 millions le nombre d’immigrés légaux et clandestins ainsi que de leurs enfants, les experts ont écrit : « Ces nombres représentent une rupture totale avec l’histoire récente des États-Unis. En 1970, il y avait seulement 13,5 millions d’immigrés et enfants d’immigrés dans le pays, représentant un résident américain sur 15. »

Mais depuis 2000, le nombre d’immigrés a augmenté de près de 18,4 millions ; et désormais près d’un habitant sur cinq du pays est un immigré.

Sur ces 61 millions, il y a un nombre d’immigrés clandestins estimé à 15,7 millions.

Le nombre d’immigrés légaux et de leurs enfants est lui de 45,3 millions, soit environ les trois-quarts des 61 millions. Cela illustre une fois de plus que l’immigration légale venant du Tiers-Monde est en fait une menace tout aussi importante si ce n’est supérieure à l’immigration illégale.

« Ces nombres soulèvent des questions profondes qui sont rarement posées : Combien d’immigrés peuvent être assimilés ? Quelle est la capacité d’absorbtion de nos écoles, de notre système de santé, de notre infrastructure, et de notre marché du travail ? Quel est l’effet sur l’environnement et la qualité de vie de l’augmentation significative de la densité de population du pays ? » écrit Steven Camara, directeur de recherches du CIS.

« Avec 45 millions d’immigrés et enfants d’immigrés légaux déjà présents, est-ce logique de continuer à admettre plus d’un million de nouveaux résidents permanents par an ? », ajoute-t-il.

« Le nombre d’immigrés et d’enfants d’immigrés a augmenté six fois plus vite que la population totale du pays de 1970 à 2015 – 353 pourcents contre 59 pourcents. »

Cette augmentation a été « rien de moins que stupéfiante », écrit Camara, fournissant trois exemples :

-en Géorgie, cette population a augmenté de 3.058 pourcents (de 55.000 à 1,75 million), 25 fois plus vite que la population totale de l’État.

-au Nevada, elle a augmenté de 3.002 pourcents (de 26.000 à 821.000), 6 fois plus vite que la population totale de l’État.

-en Caroline du Nord, elle a augmenté de 2.937 pourcents (de 47.000 à 1.43 millions), 30 fois plus vite que la population totale de l’État.

Il est extrêmement clair qu’à moins que cette croissance soit non seulement stoppée, mais inversée, les États-Unis vont être à majorité non-blanche bien plus tôt que ce qu’affirmaient les précédentes prédictions.

Cela se produira en dépit de l’augmentation du nombre de blancs en Amérique. Les chiffres sont de 169,6 millions en 1970 et 196,8 millions en 2010 – auxquels il faut retirer environ 1,5 millions d’arabes en 2010, qui sont officiellement comptés comme blancs.

L’augmentation de la population blanche est largement surpassée par celle de la population non-blanche, essentiellement alimentée par l’immigration légale, qui est la première menace pour le statut des États-Unis comme pays développé.

On rappellera que les problèmes causés par les immigrés latino-américains, africains, indiens… sont largement le fait de leur nature raciale. De ce fait, aucune sorte d’intégration n’est viable. Leurs nombres sont suffisamment élevés pour leur permettre de former des communautés isolées ce qui rend le phénomène d’autant plus visible.

Source : Blanche Europe

 

Les commentaires sont fermés.