Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 02 avril 2016

Immigration: le débat est mort, la pensée unique règne

La-Dictature-De-La-Pensee-Unique.jpg

Plus la pression migratoire augmente, plus le débat disparaît. Les médias nous soumettent à une propagande en règle, pratiquent sans complexes un unilatéralisme inflexible, dans l’espoir de nous faire croire que personne, au fond, ne s’oppose à l’accueil de dizaines ou de centaines de milliers d’immigrants.


Ecoutez vos radios et vos télévisions, lisez vos journaux: jamais vous n’entendrez une voix qui dise non à l’immigration massive de requérants d’asile. Les personnes interviewées sont exclusivement et obligatoirement favorables à l’ouverture des frontières; les références uniques et incontournables sont Amnesty International, le HCR ou les politiciens du bon bord.


Au chapitre de la surenchère bien-pensante, une brochette de syndicalistes, d’artistes et d’intellectuels viennent d’exiger que la Suisse accueille d’un coup 50’000 immigrants, car la Suisses «est un pays riche». Et alors ? Il faut quand même prendre l’argent quelque part et, quand on sait que le budget de l’asile va doubler d’ici deux ans, et probablement décupler d’ici cinq ans, on ne peut pas, comme ça, par pur souci de se donner des airs de belle âme, exiger que les contribuables paient sans barguigner. Ni réclamer une augmentation de l’aide au développement, alors même qu’on sait que celle-ci a pour principal effet de stimuler l’émigration dans les pays les plus pauvres.


Et si on prenait les ressources nécessaires sur le budget de la culture ? Si les artistes qui, comme les réfugiés, vivent assez confortablement du travail des imbéciles qui paient des impôts,  faisaient eux aussi preuve de solidarité, et abandonnent leurs subventions au profit de plus pauvres qu’eux ?
Pure provocation, bien entendu, mais qui a le mérite de poser le débat au bon niveau. Les bien-pensants ont trop tendance à être généreux avec l’argent des autres. Or les autres – vous et moi – n’ont aucunement envie de se saigner aux quatre veines pour entretenir une foule profondément allogène, qui ne s’intègre pas, qui peine à travailler – la majorité des réfugiés ne travaillent pas, même après dix ans – et dont les enfants lanceront probablement dans vingt ans un mouvement Sharia for Switzerland, comme ils l’ont fait en Belgique, au Canada et ailleurs.


Nous sommes en guerre. Il est temps d’ouvrir les yeux. Il est temps de réaliser que le 99% des immigrants sont musulmans, et que cela va forcément bouleverser notre société pour toujours – c’est mathématique. Mais l’intelligentsia qui verrouille les médias et le monde politique s’accroche toujours au peace and love des hippies, croyant que c’est par l’amour et la tolérance aveugle que nous convertirons notre ennemi à nos valeurs. Quand donc comprendront-ils que ce sont précisément ces valeurs qui sont visées, et qui doivent être détruites ? Quand comprendront-ils que le but ultime est non pas de vivre en paix parmi nous, mais de nous remplacer, nous et nos maudites libertés, nos insupportables moeurs ?


Cela, vous ne l’entendrez pas sur la radio et la télé d’Etat qui, depuis belle lurette, ne sont plus là pour vous informer, mais pour vous mettre au pas, au cas où vous auriez encore des pensées coupables. Nos voisins français ont la chance de pouvoir encore entendre des dissidents sur les ondes, et c’est rassurant. Mais pas de ça chez nous !

Philippe Barraud

Source : Lesobservateurs.ch

Les commentaires sont fermés.