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dimanche, 08 mai 2016

God Save the Queen!

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Voilà, c’est fait ! Un musulman d’origine pakistanaise dirige Londres. Pour conquérir cette capitale occidentale, nul besoin de violences, non, juste la soumission confortable d’Occidentaux culpabilisés, lobotomisés et émasculés, pensant (si l’on peut dire) qu’un maire musulman protégera Londres du terrorisme, qu’il n’est pas mauvais pour la City et les affaires d’être du côté des pétrodollars et que, de toute façon, en cas de charia incompatible avec la fête tous azimuts, ils se tireront sous d’autres cieux où ils pourront continuer à brûler leur existence sans avenir, sans valeur et sans dieu, si ce n’est celui du Veau d’or, des plaisirs et de la mort libératrice d’une vie vide.

Et à quand Paris ? Demain, à moins que l’instauration de cette terre d’islam « à deux étapes du Tour de France » comme disait Grand Charles, parvienne à ouvrir les yeux de nos politicos-bobos qui n’ont trouvé, pour résister au terrorisme islamique, qu’à trinquer en terrasse ou planter leurs choux place de la République, monôme grotesque et pitoyable d’adolescents de tous ages en quête de leur Mai 68.

Heureusement, il y a François, pape des temps modernes qui enfourche gaillardement tous les poncifs politiquement écolo-franc-maçon-compatibles, qui veut faire l’ange et qui fait la bête ; qui accepte, lui, le vicaire du Christ et successeur de Pierre, de se pavaner avec un hochet, une décoration européenne baptisée « Charlemagne » récompensant son engagement pro-migratoire ! Quand on pense que cet empereur a combattu vigoureusement les Sarrasins qui menaçaient la chrétienté…

Mais « même le diable porte pierre ». Jamais on a connu le temps où le printemps n’a effacé l’hiver, comme dit la ritournelle ! Jeanne d’Arc, patronne de la France dont la fête officielle est célébrée le 8 mai, Jeanne est venue de nulle part, dans une France encore plus défaite qu’aujourd’hui.

Le désespoir est une absurdité, surtout en politique où l’inconstance et la déraison ne pèsent rien devant la force des choses et la volonté de quelques-uns.

Pierre Lours

Source : Boulevard Voltaire

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