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lundi, 20 juin 2016

Salah Abdeslam en soirée, ou l’islamo-racaille la plus typique

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Médias et journalistes n’en reviennent toujours pas : Salah Abdeslam aurait passé la nuit du 13 au 14 novembre dans une cage d’escalier de la cité Vauban à Châtillon (Hauts-de-Seine). Daphné Bürki y a même consacré une partie de « La Nouvelle Édition » du 16 juin, jugeant l’anecdote incroyable.
 
Que se serait-il donc passé ce soir-là, en plus des funestes attentats islamistes ? L’Obs nous révèle que Salah Abdeslam serait arrivé aux alentours d’une heure du matin au 9e étage d’une tour de la susmentionnée cité Vauban, cherchant « un endroit calme pour manger et se reposer ». Il aurait alors fait la rencontre de trois jeunes adolescents, dont un certain « Tom », lycéen rebaptisé par le journaliste qui a recueilli son témoignage. Les quatre hommes auraient rapidement sympathisé autour d’un dîner improvisé constitué de produits de la marque américaine McDonald’s, et de quelques joints de cannabis pour la digestion.
 
Le dénommé « Tom », interrogé par L’Obs, admet même que Salah Abdeslam « avait l’air d’un mec normal, qui n’a rien à faire. On a commencé à discuter, il était sympa, alors il est resté avec nous. » Le récit de cette petite sauterie, typique des nuits d’errance de la jeunesse des quartiers dits « populaires », a plongé en émoi toute la sphère médiatique. Pour les amateurs de complots, ce serait la preuve qu’on nous ment, que Salah Abdeslam ne serait qu’un leurre.

Quoi ? Comment ? Salah Abdeslam aurait attendu d’être exfiltré vers la Belgique en mangeant des frites et en fumant des joints de cannabis, après les attentats du Bataclan ? Quoi ? Comment ? Salah Abdeslam serait passé pour un mec normal parmi des squatteurs quotidien de cages d’immeuble ? Quoi ? Comment ? Salah Abdeslam aurait trouvé refuge dans son milieu naturel, une zone de non-France connue pour être un bastion de l’économie parallèle générée par le trafic de drogue ? Quoi ? Comment ? Salah Abdeslam n’aurait montré aucune émotion en regardant, sur un téléphone mobile, les images des attentats ? Impossible, vous n’y pensez pas.
 
Pour le journaliste lambda, cela n’est pas possible qu’un meurtrier de masse puisse être une banale racaille, comme on en croise tous les jours en allant faire ses courses ou en empruntant les transports en commun. Ceux qui me lisent régulièrement savent que les terroristes qui ont frappé en France correspondent pourtant très précisément à ce portrait-robot. Ils sont quasiment tous des islamo-racailles issues des quartiers « populaires », déculturées et transformées en véritables États dans l’État.
 
Ils se ressourcent en l’islam des origines pour se purifier, retrouver ce qu’ils pensent être au plus profond d’eux-mêmes, essentiellement. Ils sont des déracinés qui ne connaissent que l’infraculture la plus crasse et la religion. Ils entendent nous soumettre, conquérir cette terre qu’ils pensent leur revenir de droit. Oui, ils aiment le McDonald’s, le rap, le foot et fumer du shit. Allez faire un tour dans la rue, vous les verrez. Des centaines de milliers de personnes ressemblent à Salah Abdeslam.

Certains ne commettront, fort heureusement, jamais d’actes terroristes. D’autres resteront de simples rieurs, amusés par la terreur que suscitent ces attaques. Parmi eux, quelques-uns, plus convaincus, plus haineux, plus méchants, franchiront le pas de la révolte armée.
 
Je n’ai rien appris avec cette anecdote. Vous non plus. Espérons que les « sachants » officiels en tireront une leçon : un jour, le lumpenprolétariat immigré fera plus que nous mener une guerre de basse intensité, il souhaitera en finir totalement avec l’ère coloniale.

Gabriel Robin

Source : Boulevard Voltaire

 

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