vendredi, 02 septembre 2016
À quand l’ouverture de l’hôpital psychiatrique « Allah Akbar ? »
D’après La Dépêche du Midi, un jeune adjoint de sécurité prénommé Valentin, âgé de 23 ans, a été sauvagement agressé au couteau, mardi 30 août en début d’après-midi, dans un commissariat de Toulouse, rue du Rempart-Saint-Étienne, par un individu qui a tenté de l’égorger.
L’homme a préparé certainement son attaque avec soin puisqu’il est entré dans le bureau en prétextant un dépôt de plainte avant de sauter sur le jeune policier pour essayer de lui prendre son arme. Une lutte s’en est ensuivie. Voyant qu’il n’arrivait pas à s’emparer du pistolet, il a sorti un couteau de cuisine et a frappé le jeune auxiliaire à la gorge. Heureusement, des collègues se sont jetés sur l’assaillant et l’ont neutralisé. Ils ont pu, alors, secourir la victime qui, gravement blessée, a été transportée à l’hôpital.
L’agresseur arrêté, âgé de 31 ans, est d’origine algérienne, a-t-on appris de source syndicale policière. Il aurait attaqué l’adjoint de sécurité, d’après la même source : « Parce qu’il représente la France. » Vous avez remarqué : les deux mots tabous – terroriste et islamiste radical – n’ont été prononcés ni par les policiers ni par les journalistes. Ceux-ci auraient pu au moins se poser la question. Eh bien, non, la seule chose que Luc Escoda, du syndicat Alliance, a précisé est que em> »l’individu faisait apparemment une fixation sur la DGSI » et « pourrait présenter des troubles psychiatriques ».
Ainsi, sans la moindre enquête, perquisition au domicile de l’agresseur, sans avoir interrogé ses proches, sans avoir vérifié le contenu de son ordinateur, sans avoir fait la liste de ses contacts sur son smartphone, les autorités de ce pays savent a priori que notre agresseur est un cinglé, un maboul, comme on dit dans le Midi. France Info va même plus loin en affirmant : « Selon une source du ministère de l’Intérieur, l’attaque n’a pas de caractère terroriste. »
Le ministère de l’Intérieur n’arrête pas de mettre en garde la population sur de futurs et possibles attentats, et quand une action y ressemble, les médias et l’État commencent par dire : « Ne vous trompez pas, ce n’est pas du tout un acte terroriste ! »
On va bientôt nous expliquer que cet Algérien venait de lire un article sur la DGSI, qu’il se promenait par hasard dans le quartier, qu’il a trouvé un couteau sur le trottoir près du commissariat et s’est demandé ce qu’il pouvait bien en faire, et là, brusquement, il a disjoncté, le Docteur Jekyll du Maghreb est alors devenu un Mister Hyde toulousain.
Moi, en tout cas, je constate une chose : c’est le nombre considérable de musulmans qui présentent des troubles psychiatriques. Entre celui qui a écrasé une douzaine de piétons à Dijon, celui qui s’est attaqué au planton d’un commissariat, celui qui a coupé la tête de son patron et l’a accrochée sur un grillage – j’arrête ma liste là, faute de place -, il y a véritablement de quoi remplir tous les lits d’un hôpital psychiatrique.
Aussi, je me permets de demander aux autorités de ce pays : à quand l’ouverture d’un hôpital « Allah Akbar » ?
J.-P. Fabre Bernadac
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