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vendredi, 16 septembre 2016

La Corse exemptée d’accueillir les « migrants » : faut-il montrer les muscles ?

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Devenue incontrôlable, la situation dans la jungle de Calais préfigure la tiers-mondisation progressive de la France. Evidemment, le gouvernement socialiste n’entend pas trouver de solution durable à ce chaos migratoire, qui prend les airs d’une conquête démographique par le sud du monde sur l’Europe occidentale.
 
Les Calaisiens n’en peuvent plus, régulièrement victimes des exactions causées par lesdits « migrants ». Ils prennent d’assaut les camions partant vers la Grande-Bretagne, charriant avec eux une insécurité qui a fait de Calais une zone de non-France abandonnée par les pouvoirs publics. Il suffit de taper « Calais » sur un moteur de recherche pour mesurer l’ampleur des dégâts.
 
Pas un jour sans que La Voix du Nord ne relate que la circulation a été perturbée par des « migrants » posant des barrages sur la rocade portuaire de la capitale de ces fameuses dentelles qui avaient fait sa richesse. La jungle compte, désormais, plus de dix mille habitants, se répartissant en divers « quartiers » improvisés selon leurs pays d’origine ou leurs religions respectives. Des témoins ont aussi rapporté avoir assisté à des viols, des bagarres ultra-violentes à l’arme blanche ou des trafics de drogues et d’armes.
 
Face à cette chienlit totale, les socialistes savent qu’ils ne peuvent pas rester éternellement bras croisés alors que les élections présidentielles de 2017 approchent à grand pas.

Ils ont donc décidé de « vider » la jungle de Calais de ses occupants indésirables, non pas pour les renvoyer chez eux – comme cela devrait être fait -, mais pour les répartir sur le territoire national. Faibles et indécis, tenus par les associations immigrationnistes qui pratiquent le chantage aux bons sentiments, les fous qui nous dirigent préfèrent encore planter les graines qui donneront des dizaines de jungles de Calais potentielles plutôt que de couper la mauvaise herbe à la racine.
 
Les consignes données aux préfets sont, à ce titre, édifiantes : « Afin d’accueillir les migrants de Calais et de la plaque parisienne, le schéma de mobilisation de places d’hébergement sur l’ensemble du territoire a été validé. » L’objectif est connu : faire émerger, d’ici à la fin de l’année 2016, plus de 12.000 places dans les « centres d’accueil et d’orientation » partout en France. Nous allons donc cacher la poussière sous le tapis…

 

Un seul territoire y échappera : la Corse. Pourtant, la répartition des envahisseurs dépendra « du critère démographique pondéré par les efforts faits par chaque région », ce qui pourrait laisser penser que la Corse devrait, elle aussi, participer à l’effort national d’accueil demandé par le gouvernement. Pourquoi y échappe-t-elle ? Tout simplement parce que les Corses savent montrer leurs muscles. L’exécutif essaierait-il de nous dire qu’il faut se manifester pour ne pas voir sa région envahie ? Preuve est faite qu’ils profitent de la passivité des Français pour mener les pires politiques. Il n’y a qu’en réagissant que nous pourrions les faire reculer.

Gabriel Robin

Boulevard Voltaire



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