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jeudi, 22 septembre 2016

Bernard Cazeneuve : « Tout pour les migrants, rien pour les sans-dents ! »

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En bon technocrate, Cazeneuve pensait avoir résolu le problème de Calais… lors de sa huitième visite. Lui qui avait promis, lors de la septième, que la jungle, diminuée en surface de moitié, serait réduite à 2.000 clandestins… Manque de chance, quelques semaines plus tard, il y en avait 10.000, et le plus grand bidonville d’Europe était au bord de l’explosion.

Notre inimitable ministre de l’Intérieur avait donc décidé d’organiser, dans toute la France, un véritable coup d’État migratoire. Cela consistait à répartir 12.000 illégaux, en fixant un quota par régions : 1.484 pour la Nouvelle-Aquitaine, 1.006 pour les Hauts-de-France, 1.175 en PACA, etc. Charge aux préfets, qui avaient ordre de contourner les maires, de se débrouiller dans leur département pour répartir dans les villes et villages les nouveaux venus, en fonction des lieux disponibles : anciennes casernes, écoles fermées, lieux publics réquisitionnés, voire parfois châteaux !

Malheureusement, la propagande a beau raconter partout qu’en période de chômage de masse, de déficit qui s’aggrave et de risques extrêmes d’attentats islamistes, ces migrants – majoritairement hommes seuls musulmans — sont une chance pour la France, cela ne passe toujours pas dans l’opinion. Plus grave : la résistance s’organise, contre ce qui est considéré comme un coup de force socialiste contre le vivre ensemble à la française.

Ainsi, le 7 septembre, à Forges-les-Bains, petite ville de l’Essonne de 3.700 habitants, une réunion avec les autorités locales a regroupé 500 personnes, très en colère qu’on puisse leur imposer 91 Afghans et Soudanais, âgés de 18 à 40 ans.

À la grande fureur du préfet de l’Île-de-France Carenco, le lieu prévu pour accueillir ces nouveaux venus a même été partiellement incendié.

 

À Saint-Denis-de-Cabanne, petit village de 1.300 habitants situé près de Roanne, le sous-préfet venu expliquer aux habitants les bienfaits de l’accueil temporaire – ben voyons – de 80 migrants a été conspué et a vu un pétard exploser à ses pieds, lors de son départ précipité. Le procureur de la République ne pouvait laisser passer un tel affront. Il a décidé d’ouvrir une information judiciaire pour incitation à la haine raciale !

À Allex, petite ville de la Drôme de 2.000 habitants, c’est carrément dans le superbe château de Pergaud que les autorités ont décidé d’installer 50 clandestins. Devant la colère du Collectif pour la sauvegarde d’Allex (CSA), le maire a décidé, à la grande fureur du préfet, d’organiser un référendum local – que les gauchistes locaux disent illégal – le 2 octobre prochain.

Du vendredi 23 septembre – rassemblement parisien à 19 heures au Trocadéro – au samedi 8 octobre – manifestation dans les rues de Montpellier par la Ligue du Midi -, une Quinzaine « Sauvons notre pays, refusons l’invasion migratoire » est organisée, partout où cela est possible, par des gens aussi différents que le SIEL, la Ligue du Midi, Viviers Bleu Marine, Riposte laïque, Civitas, Résistance républicaine et d’autres associations plus locales. À ce jour, quinze initiatives sont programmées.

Partout s’exprime massivement, dans les réunions publiques et sur les marchés, le refus du coup d’État migratoire de Cazeneuve.

Abandonnés par un pouvoir dont la politique se résume à « Tout pour les migrants, rien pour les sans-dents », les Français des zones rurales commencent à comprendre que seule leur mobilisation leur permettra de préserver leur mode de vie.

Qu’ils s’organisent au plus vite, car ces 12.000 migrants de Cazeneuve ne sont que les premiers d’une longue série, et tous les villages sont menacés par la folie immigrationniste de nos dirigeants…

Pierre Cassen

Boulevard Voltaire

 

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