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jeudi, 29 septembre 2016

La France envahie ? Un problème démographique…

 

 



Peu de gens ont commenté les chiffres relatifs au dépistage de la drépanocytose pour l’année 2015. Pour ceux qui l’ignorent, la drépanocytose est une maladie génétique qui concerne ultra majoritairement les populations extra-européennes, notamment subsahariennes, indiennes et maghrébines. Les Européens et les personnes du Sud-Est asiatique ne sont quasiment pas concernés. Se caractérisant par l’altération de l’hémoglobine, elle concerne 50 millions d’individus dans le monde, ce qui en fait l’une des maladies héréditaires les plus répandues dans le monde et… la première en France.

En 2015, 73,40 % des nouveau-nés ont été concernés par le dépistage de la drépanocytose en Île-de-France, contre 54,15 % en 2005. En région Provence-Alpes-Côte d’Azur, ils étaient 52,39 % à être dépistés en 2015, contre 32,51 % en 2005. Région moins atteinte, la Bretagne ne comptait que 8,13 % de nourrissons testés, contre 3,47 % en 2005. Si l’on prend la France dans sa globalité, 38,85 % des naissances présentaient un risque lié à la drépanocytose. Ce qui signifie, en français courant, que quatre enfants sur dix nés en France en 2015 n’étaient pas d’origine européenne.

On constate aussi que le nombre de nouveaux-nés n’ayant pas de parenté européenne est en constante augmentation, dans des proportions importantes. Songez que nous sommes passés d’un enfant sur deux à trois enfants sur quatre en Île-de-France en à peine dix ans. 

À l’heure actuelle, ces chiffres sont les seuls qui nous permettent de mesurer à peu près correctement les changements de population à l’œuvre en France. Si vous avez eu des enfants, vous devez vous rappeler que la sage-femme vous a posé des questions pour déterminer si votre bébé devait être dépisté ou non. Ce protocole existe depuis environ 20 ans. Auparavant, ce test n’était pas proposé, la proportion de naissances concernées étant alors infime. Dans ces conditions, comment continuer à laisser rentrer des centaines de milliers d’immigrés légaux et illégaux tous les ans ? Pareillement, comment peut-on imaginer inclure, intégrer ou assimiler ces nouveaux arrivants ? Un enfant français d’origine européenne qui naît en Île-de-France cette année aura toutes les chances de s’assimiler aux populations majoritaires, et non l’inverse. Qui dit français d’ascendance européenne en minorité en France dit culture française autochtone traditionnelle devenue minoritaire dans certains quartiers, puis progressivement effacée.

 
Sans prise de conscience globale du problème, nous serons une communauté comme les autres en France, avant que l’Europe toute entière ne subisse le même sort. Pour que la communauté nationale puisse rester unie, il faut que la France reste française dans ses grands traits, a fortiori quand la démographie du Sud devient délirante. Il est temps de mettre un terme à l’immigration de peuplement. Il en va purement et simplement de notre salut en tant que nation. S’il n’y a plus de Français en France, et que les immigrés ne veulent pas embrasser la culture historique de notre nation, il n’y aura plus de France. Regardons attentivement ces chiffres : ils sont l’enjeu du siècle et la question politique fondamentale des années à venir.

 Gabriel Robin

Boulevard Voltaire 

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