Pendant de nombreuses années, la Suède, avec sa politique généreuse en matière d’asile et d’immigration, se vantait d’être « une superpuissance morale et humanitaire ». Aujourd’hui, cette dernière fanfaronne moins… La criminalité liée aux migrants a simplement explosé, et plus particulièrement celle liée aux agressions sexuelles.
Par ailleurs, un récent rapport (révélé par NRK, un média norvégien) indique que 80 % des policiers suédois envisagent de démissionner, ne supportant plus les violences dont ils sont l’objet lorsqu’ils doivent intervenir dans des zones peuplées majoritairement par des migrants (tels des jets de grenades).
En parallèle de ces événements, un spot publicitaire est actuellement diffusé sur les chaînes de télévision suédoises.
En voici quelques extraits :
« Il n’y a plus de retour en arrière. La Suède ne sera plus jamais comme avant. »
« Il est temps de réaliser que de nouveaux Suédois vont venir avec leur culture, leur langue et leurs traditions, et il est temps de le voir comme une force d’impulsion positive. Ce “nouveau pays” forme un nouvel avenir.
Être suédois doit être accepté non plus comme une question de couleur de peau et lieu de naissance. Cela doit pouvoir être toi, moi et tous ensemble. »
« Ce ne sont pas uniquement les nouveaux Suédois qui doivent s’intégrer. Tout le monde doit s’intégrer, même les Suédois de souche. »
Cette campagne, dénommée « Det Nya Landet » (Le Nouveau Pays), a été créée par l’association Individuell Människohjälp (Secours individuel) qui, selon le journal suédois Fria Tider, recevrait des subventions publiques.
Cela fait maintenant des décennies que « la superpuissance morale et humanitaire » a fait du multiculturalisme sa religion d’État, l’inscrivant même dans sa Constitution. Pourtant, et jusqu’à présent, jamais il n’avait été aussi clairement dit aux Suédois qu´il leur fallait trouver une place sur la terre même de leurs ancêtres…
Quand on prête attention à ce qui se passe en Suède, on peut, à mon sens, facilement deviner l´avenir de l’Europe. Ainsi, je ne peux m´empêcher de penser à Raphaël Lemkin, et plus précisément au terme et concept de « génocide » qu´il élabora et sur lequel je conclurai afin de laisser aux lecteurs évaluer la pertinence de cette réflexion : « D’une manière générale, un génocide ne signifie pas la destruction immédiate de la nation. […] Il se propose plutôt de signifier un plan coordonné d’actions différentes visant à détruire les fondations essentielles de la vie des groupes nationaux (institutions politiques et sociales, culture, langue, sentiments nationaux, sécurité, dignité, etc.) dans le but de détruire les groupes eux-mêmes. »
Xavier Scott
Boulevard Voltaire
Par ailleurs, un récent rapport (révélé par NRK, un média norvégien) indique que 80 % des policiers suédois envisagent de démissionner, ne supportant plus les violences dont ils sont l’objet lorsqu’ils doivent intervenir dans des zones peuplées majoritairement par des migrants (tels des jets de grenades).
En parallèle de ces événements, un spot publicitaire est actuellement diffusé sur les chaînes de télévision suédoises.
En voici quelques extraits :
« Il n’y a plus de retour en arrière. La Suède ne sera plus jamais comme avant. »
« Il est temps de réaliser que de nouveaux Suédois vont venir avec leur culture, leur langue et leurs traditions, et il est temps de le voir comme une force d’impulsion positive. Ce “nouveau pays” forme un nouvel avenir.
Être suédois doit être accepté non plus comme une question de couleur de peau et lieu de naissance. Cela doit pouvoir être toi, moi et tous ensemble. »
« Ce ne sont pas uniquement les nouveaux Suédois qui doivent s’intégrer. Tout le monde doit s’intégrer, même les Suédois de souche. »
Cette campagne, dénommée « Det Nya Landet » (Le Nouveau Pays), a été créée par l’association Individuell Människohjälp (Secours individuel) qui, selon le journal suédois Fria Tider, recevrait des subventions publiques.
Cela fait maintenant des décennies que « la superpuissance morale et humanitaire » a fait du multiculturalisme sa religion d’État, l’inscrivant même dans sa Constitution. Pourtant, et jusqu’à présent, jamais il n’avait été aussi clairement dit aux Suédois qu´il leur fallait trouver une place sur la terre même de leurs ancêtres…
Quand on prête attention à ce qui se passe en Suède, on peut, à mon sens, facilement deviner l´avenir de l’Europe. Ainsi, je ne peux m´empêcher de penser à Raphaël Lemkin, et plus précisément au terme et concept de « génocide » qu´il élabora et sur lequel je conclurai afin de laisser aux lecteurs évaluer la pertinence de cette réflexion : « D’une manière générale, un génocide ne signifie pas la destruction immédiate de la nation. […] Il se propose plutôt de signifier un plan coordonné d’actions différentes visant à détruire les fondations essentielles de la vie des groupes nationaux (institutions politiques et sociales, culture, langue, sentiments nationaux, sécurité, dignité, etc.) dans le but de détruire les groupes eux-mêmes. »
Xavier Scott
Boulevard Voltaire
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