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jeudi, 20 octobre 2016

Comment le gouvernement planifie la submersion migratoire de la France

 

Le changement de peuple est en marche. Dans sa volonté inébranlable de démanteler la « jungle » de Calais, le gouvernement n’a, évidemment, rien trouvé de mieux que de disséminer les allogènes qui s’y concentraient sur tout le territoire français. 

 

Dans le plus grand silence médiatique. Parfois dans le dos des élus placés devant le fait accompli. Il se trouve que cette colonisation de peuplement rencontre l’hostilité de certains autochtones qui, comme à Louveciennes (Yvelines), à Allex (Drôme), à Trégunc (Finistère), à Pierrefeu-du-Var, à Forges-les-Bains (Essonne), à Arès (Gironde), à Bernay Saint-Martin (Charente-Maritime), etc., ont manifesté « pacifiquement » leur opposition à cette submersion démographique planifiée.

 

Car il existe bien un plan de l’État en la matière. Ainsi le ministère de l’Intérieur a-t-il lancé, le 24 septembre dernier, un avis d’appel public à la concurrence ayant « pour objet la création de places d’hébergement d’urgence avec accompagnement social dans le cadre du dispositif dénommé “programme d’accueil et d’hébergement des demandeurs d’asile” (PRAHDA) ». Le marché public porte sur la mise à disposition de 5.351 places d’hébergement et d’accompagnement « d’un plus grand nombre de demandeurs d’asile mais également d’offrir un hébergement et un accompagnement aux personnes de nationalité étrangère s’orientant vers la procédure d’asile ».

 

Toutes les régions, excepté la Corse (comme par hasard !), devront accueillir sur cinq ans renouvelables (!) leur lot d’immigrants. 

 

647 places d’hébergement pour la région Nouvelle-Aquitaine, 670 pour la région Auvergne-Rhône-Alpes, 282 en Normandie, 339 en Bourgogne-Franche-Comté, 348 en Bretagne, 206 en région Centre, 578 en Île-de-France, 621 en Occitanie, 312 pour la région Hauts-de-France, 259 en Pays de la Loire et 297 en PACA. Le tout pour un coût total net assumé par le contribuable de 162.186.837,50 euros TTC !

 

PLANIFICATION, on vous dit !

 

En d’autres termes, cela signifie que la source migratoire est loin de se tarir, la France s’étant généreusement – et inconsidérément – engagée devant la Commission de Bruxelles à faire entrer 31.000 allochtones, sans compter ceux qui sont déjà sur notre sol et nullement pris en compte par les derniers recensements statistiques.

 

Précisons, en outre, que « concernant l’offre de logement dans l’existant, les élus nous ont proposé des T4-T5, pensant que c’était des familles [qui arrivaient], mais aujourd’hui, nous avons essentiellement des hommes [seuls] en demande de studios », précise le coordinateur national nommé par la Place Beauvau, le préfet Kléber Arhoul (20 Minutes, 2 mars). Pour être complet, relevons encore que 30.000 places sont déjà ouvertes dans les centres d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA), tandis que 25.000 places assurent leur hébergement d’urgence, que 3.000 places en centres d’accueil et d’orientation (CAO) existent depuis 2015 et que 7.000 seraient en cours de création sur 9.000 annoncées (Les Échos, 17 octobre). Chiffres authentifiés par la presse « mainstream ».

 

Les Français se retrouvent donc dans la situation des Palestiniens. Totalement démonétisé par la politique désastreuse qu’il a menée durant cinq ans, ce gouvernement arbore le visage hideux de l’ignominie et de l’abjection. Il se rend définitivement illégitime en accomplissant l’ultime forfaiture. Le peuple français se meurt sous nos yeux. Indifférent à lui-même. Amnésique de sa longue histoire léguée par ses pères que, ce faisant, par son apathie et son refus de résister, il trahit.

 

Aristide Leucate 

 

Boulevard Voltaire 

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