Trois migrants afghans, âgés de 30 à 35 ans, ont été arrêtés dans un centre pour travailleurs étrangers de Rungis, ce mercredi. Un portrait-robot de l’agresseur avait été établi, après le viol d’une interprète travaillant pour France 5, en octobre dernier, aux abords de la « Jungle » de Calais.
Le parquet de Boulogne-sur-Mer précise que leur culpabilité n’est pas encore établie à ce stade.
Une information judiciaire avait été ouverte le 27 octobre dernier, pour « viol et vol avec arme » par un juge d’instruction boulonnais sur commission rogatoire nationale, a précisé le parquet.
Entre 02h00 et 03h00, un journaliste freelance et une interprète de langue pachtoune réalisaient un reportage pour France 5, aux abords de la « Jungle » de Calais, lorsqu’ils ont été pris à partie par trois Afghans, qui ont d’abord voulu voler leur matériel.
L’un de ces trois individus a obligé l’interprète à avoir un rapport sexuel sous la menace d’un couteau, tandis que les deux autres maintenaient le journaliste à distance, également avec un couteau.
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Le parquet de Boulogne-sur-Mer précise que leur culpabilité n’est pas encore établie à ce stade.
Une information judiciaire avait été ouverte le 27 octobre dernier, pour « viol et vol avec arme » par un juge d’instruction boulonnais sur commission rogatoire nationale, a précisé le parquet.
Les trois hommes nient les faits
Entendus lors de leur garde à vue à Paris, toujours en cours, les trois migrants afghans nient leur implication dans le crime qui leur est reproché. Mais contrairement à ce qu’ils affirment, l’enquête a établi qu’ils sont effectivement passés par la « Jungle » de Calais. Ils pourraient être transférés vers Boulogne-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais.
Entre 02h00 et 03h00, un journaliste freelance et une interprète de langue pachtoune réalisaient un reportage pour France 5, aux abords de la « Jungle » de Calais, lorsqu’ils ont été pris à partie par trois Afghans, qui ont d’abord voulu voler leur matériel.
L’un de ces trois individus a obligé l’interprète à avoir un rapport sexuel sous la menace d’un couteau, tandis que les deux autres maintenaient le journaliste à distance, également avec un couteau.
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