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mardi, 08 novembre 2016

Gouvernement Obama : la “préférence musulmane” dès 2008…

 

 

Ce qui suit est tiré du site Atlantico qui a publié le 3 novembre un entretien avec Roland Hureaux lequel commente de toutes récentes informations fournies par Wikileaks… Nous sommes en septembre 2018 : Obama n’est pas encore élu – il le sera le 8 novembre suivant – mais il prépare ses équipes…
Ce sont des informations très graves qui nous parviennent d’Amérique au travers de Wikileaks ou de Fox News. Les courriels interceptés, ce ne sont pas des opinions, ce sont des faits – que je découvre avec vous. Les preuves représentées par les courriels échangés au sein de l’entourage d’Obama entre Prêta Banal (qui avait servi dans l’administration Clinton dans les années 1990) et John Podesta, secrétaire général de la Maison Blanche sous Bill Clinton et actuel directeur de campagne de Hillary, contiennent des instructions pour recruter des Américains d’origine arabe mais seulement des musulmans, en excluant les chrétiens d’Orient donc. Dans un courriel daté du 29 septembre 2008, elle écrit : « J’ai exclu [de la liste] ceux qui sont d’origine arabo-américaine mais qui ne sont pas musulmans ». Cela en violation de la Constitution américaine, qui stipule : « aucun questionnaire portant sur la religion ne sera imposé pour juger de l’aptitude d’un candidat à l’exercice de fonctions ou charges publiques aux États-Unis ». Instruction d’autant plus paradoxale qu’elle émane d’une ancienne présidente de la Commission américaine sur la liberté religieuse internationale, passée au service de Bill Clinton puis de Barack Obama. Nous sommes à la fin de 2008, elle prépare la future administration Obama, sachant qu’aux États-Unis, du fait du spoil system, les changements à la tête de l’exécutif sous un nouveau Président sont plus étendus qu’en France […] S’agissant du recrutement de cadres pour l’administration, on pouvait penser que les chrétiens, peu suspects de collusion avec les islamistes, auraient été un élément plus sûr. Or ils ont été systématiquement écartés […]

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