Le chômage a beau briser les illusions de millions de Français qui galèrent pour survivre dans un contexte de casse sociale, la priorité de certains semble être de trouver un emploi pour des « réfugiés » qui comptent bien s’installer durablement chez nous. Derrière les discours humanistes de façade affichés par quelques multinationales se profile l’espoir d’engranger des bénéfices toujours plus importants. L’ouverture des frontières permet, ainsi, de pressurer les salaires pour mieux engraisser les actionnaires. Aujourd’hui, afin de fuir le manque de reconnaissance et la pression fiscale, de nombreux Français s’exilent pour tenter leur chance ailleurs. Des Français veulent émigrer ? Tant mieux. Plutôt que d’essayer de les retenir en leur offrant d’autres perspectives, remplaçons-les par des immigrés !
L’année dernière, quatre grandes entreprises, toutes cotées en Bourse, avaient lancé un appel à la mobilisation en faveur des migrants : Total, Air Liquide, Sodexo et Michelin. Total n’a pas hésité à signer un chèque de 200.000 euros pour prendre en charge une formation au métier de développeur informatique. Pour soutenir cette initiative, des consultants de la société Accenture auraient, ainsi, travaillé gratuitement tout en donnant des conseils pour rédiger un CV et passer un entretien d’embauche. De son côté, Axa a débloqué un budget d’un million d’euros pour venir en aide aux migrants et les accompagner « en matière de formation et d’insertion professionnelle ». Et BNP Paribas a également annoncé la création d’un plan de soutien de cinq millions d’euros grâce à son fonds Urgence & Développement.
L’objectif est, notamment, d’ouvrir un lieu à Paris pour aider les migrants à trouver un emploi et/ou créer leur propre entreprise. L’ONG Action emploi réfugiés a, pour sa part, misé sur un site Web qui met en relation les « réfugiés » en quête d’un emploi et les entreprises. « Il n’y a pas de job réservé, ce serait de la discrimination positive, mais un accès facilité aux annonces », a précisé Diane Binder, la cofondatrice du projet. Certes, le site ne fait que mettre en relation des demandeurs avec des employeurs. La plate-forme semble donc difficilement attaquable juridiquement car la discrimination ne peut être prouvée qu’à l’embauche. Mais il s’agit bien, en tout cas, d’un projet destiné à faciliter l’installation définitive de nouveaux immigrés sur notre sol.
Si l’entreprise d’intérim Adecco est dans le coup, avec son application permettant de géolocaliser les offres d’emploi, Action emploi réfugiés peut surtout compter sur l’association France terre d’asile. Cette dernière a, d’ailleurs, signé un partenariat avec Franprix, fin 2015, pour favoriser l’insertion professionnelle des migrants en leur offrant la possibilité d’accéder à un emploi en magasin. Si cette information est passée quasiment inaperçue, l’approche discriminatoire semble clairement établie. Il serait opportun de demander des comptes à cette enseigne, qui semble privilégier l’embauche des autres avant les nôtres.
Face à l’invasion migratoire facilitée par des acteurs politico-économiques, des mesures radicales s’imposent. Outre un arrêt des subventions et une interdiction des associations soutenant l’immigration, il faudrait prévoir l’insertion – dans le Code pénal – du délit d’aide à l’immigration illégale avec peine de prison systématique en cas de récidive. Quant aux patrons qui préfèrent embaucher des immigrés, la prison est un minimum quand on touche à la communauté de destin de notre peuple.
Ils sont favorables à la répartition ? Nous prônons la remigration ! Ils pensent que l’immigration est une chance pour la France ? Nous considérons plutôt notre civilisation comme une chance pour l’Europe !
Fabrice Robert
Source
L’année dernière, quatre grandes entreprises, toutes cotées en Bourse, avaient lancé un appel à la mobilisation en faveur des migrants : Total, Air Liquide, Sodexo et Michelin. Total n’a pas hésité à signer un chèque de 200.000 euros pour prendre en charge une formation au métier de développeur informatique. Pour soutenir cette initiative, des consultants de la société Accenture auraient, ainsi, travaillé gratuitement tout en donnant des conseils pour rédiger un CV et passer un entretien d’embauche. De son côté, Axa a débloqué un budget d’un million d’euros pour venir en aide aux migrants et les accompagner « en matière de formation et d’insertion professionnelle ». Et BNP Paribas a également annoncé la création d’un plan de soutien de cinq millions d’euros grâce à son fonds Urgence & Développement.
L’objectif est, notamment, d’ouvrir un lieu à Paris pour aider les migrants à trouver un emploi et/ou créer leur propre entreprise. L’ONG Action emploi réfugiés a, pour sa part, misé sur un site Web qui met en relation les « réfugiés » en quête d’un emploi et les entreprises. « Il n’y a pas de job réservé, ce serait de la discrimination positive, mais un accès facilité aux annonces », a précisé Diane Binder, la cofondatrice du projet. Certes, le site ne fait que mettre en relation des demandeurs avec des employeurs. La plate-forme semble donc difficilement attaquable juridiquement car la discrimination ne peut être prouvée qu’à l’embauche. Mais il s’agit bien, en tout cas, d’un projet destiné à faciliter l’installation définitive de nouveaux immigrés sur notre sol.
Si l’entreprise d’intérim Adecco est dans le coup, avec son application permettant de géolocaliser les offres d’emploi, Action emploi réfugiés peut surtout compter sur l’association France terre d’asile. Cette dernière a, d’ailleurs, signé un partenariat avec Franprix, fin 2015, pour favoriser l’insertion professionnelle des migrants en leur offrant la possibilité d’accéder à un emploi en magasin. Si cette information est passée quasiment inaperçue, l’approche discriminatoire semble clairement établie. Il serait opportun de demander des comptes à cette enseigne, qui semble privilégier l’embauche des autres avant les nôtres.
Face à l’invasion migratoire facilitée par des acteurs politico-économiques, des mesures radicales s’imposent. Outre un arrêt des subventions et une interdiction des associations soutenant l’immigration, il faudrait prévoir l’insertion – dans le Code pénal – du délit d’aide à l’immigration illégale avec peine de prison systématique en cas de récidive. Quant aux patrons qui préfèrent embaucher des immigrés, la prison est un minimum quand on touche à la communauté de destin de notre peuple.
Ils sont favorables à la répartition ? Nous prônons la remigration ! Ils pensent que l’immigration est une chance pour la France ? Nous considérons plutôt notre civilisation comme une chance pour l’Europe !
Fabrice Robert
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