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vendredi, 09 décembre 2016

La Bosnie, premier pays majoritairement musulman bientôt dans l’UE ?

 

 
L’UE a dernièrement donné le feu vert à la demande d’adhésion de la Bosnie-Herzégovine[1] présentée en février 2016.
 
Bien que les négociations actuelles ne portent pas sur l’adhésion elle-même, l’UE devra pourtant, à ce stade, vérifier soigneusement que la Bosnie remplit les exigences fondamentales indispensables à une coexistence réussie entre les différentes cultures. Et c’est justement là que surgissent d’ores et déjà les premiers problèmes.
Deux libertés sont particulièrement sujettes à controverse en Bosnie : la libre circulation des personnes, tout comme la démocratie, comme nous l’entendons en Europe, puisqu’il n’y existe pas de synergie qu’engendrent les valeurs communes à la culture chrétienne. La Bosnie-Herzégovine est islamique à plus de 50% et c’est à partir de Sarajevo que l’Islam salafiste se répand toujours plus en Europe.

Le Dr Peter Hammond a démontré dans une étude conduite sur une longue période[2] que, lorsque le nombre de musulmans vivant dans un pays non musulman grandit, l’influence de leurs objectifs idéologiques se développe dans une proportion beaucoup plus grande. Situation qui, au final, provoque une guerre civile.
Si l’on considère les résultats du développement social en Bosnie-Herzégovine, on s’aperçoit très vite qu’il y a un problème lié à des valeurs conflictuelles inhérentes à ce pays multireligieux.
Les Bosniaques (Bosniens musulmans) placent le facteur politicoidéologique au centre de leur communauté de valeurs: «La Bosnie-Herzégovine ne fait pas de progrès en s’intégrant à l’UE − ce vide est comblé par des idéologies militantes autoritaires et extrémistes. Beaucoup de polémiques, beaucoup de nationalisme, mais pas de perspective.»[3]

Les présentations optimistes de la presse locale (comme le SarajevoTimes.com) semblent déplacer les problèmes et les réduire à une «représentation victimaire». Raymond Ibrahim, directeur du Middle East Forum, nous éclaire dans sa déclaration clé: «Celui qui veut comprendre l’Islam et les musulmans doit d’abord comprendre ce qu’est la taqiyya.»[4] 


Un contexte politique flou
 
 
La présidence est un triumvirat exerçant collectivement les fonctions de chef de l’État de la Bosnie-Herzégovine. Selon l’article V de la Constitution de 1995, elle est assurée collégialement par trois membres élus au suffrage direct : un Bosniaque et un Croate élus par la fédération et un Serbe élu par la République serbe de Bosnie. Ensemble, ils accomplissent un mandat de quatre ans et sont rééligibles une fois. La présidence du collège est exercée à tour de rôle par chacun des trois représentants pour un mandat de huit mois, afin d’assurer l’égalité entre les communautés[5]. Sont actuellement en fonction:
  • Bakir Izetbegović (Bosniaque musulman)
  • Mladen Ivanić (Serbe orthodoxe)
  • Dragan Čović (Croate catholique)
Ainsi, la Bosnie-Herzégovine apparaît plutôt comme une union politique (semblable à l’UE), dans laquelle chaque groupe ethnique place un président, sans quil y ait de continuité dans le paysage politique.
Ce sont les différents groupes idéologico-religieux qui déterminent la majorité gouvernant une région, et non les partis politiques.
La plupart des habitants sont formellement rattachés à l’une des trois grandes communautés religieuses. Voici les résultats du recensement de 2013:
− Musulmans (appelés Bosniaques): 50‚7% (1991, 42,8%). − Serbes (chrétiens orthodoxes): 30,7% (1991, 30,1%). − Croates (chrétiens catholiques): 15,2% (1991, 17,6%). − Agnostiques : 0,3%; athées: 0,8%. − Les 2,3% appartenant à d’autres groupes (protestants, etc.) n’ont pas renseigné sur leurs liens avec une communauté ou ont refusé de répondre.


Des conflits latents
 
 
La paix résulte d’un état interne et non de l’absence de guerre. En Bosnie cependant, des conflits latents sont ancrés dans les structures religieuses, ce qui entraîne une hétérogénéité sur le plan politique.
Tandis que la Bosnie place de grands espoirs dans l’UE et ses subventions pour apaiser l’agitation ambiante, il n’est pas improbable qu’après son entrée dans l’Union, ses conflits internes gagnent les autres pays de lUE.
Par ailleurs, le capital social et l’encouragement à investir dans l’industrie bosnienne − la base pour une construction économique − dépendent de la paix sociale du pays.
 
 
Des situations à la bosniaque apparaissent en Autriche
 
 
La société autrichienne subit déjà l’influence bosniaque. Et ce, principalement au niveau local, comme dans le Vöcklabruck (Haute-Autriche), où la population a une longue expérience de la cohabitation avec des salafistes bosniaques venus d’installer dans cette région. Entre-temps, une association chiite s’est séparée d’eux. L’initiative citoyenne et communauté d’intérêts ekiw.com, qui depuis des années fait campagne avec son slogan «Pas de mosquée dans un quartier résidentiel» et s’efforce de restaurer la qualité de vie de la population locale, a donc également lancé le mouvement «Opposition à l’entrée de la Bosnie-Herzégovine dans l’UE» et présenté plusieurs arguments valant avertissements :
 
 
L’émergence de sociétés parallèles détruit le capital social


La prospérité dans l’Europe d’après-guerre a reposé sur l’homogénéité des sociétés qui la composent. Celles-ci se sont identifiées à une communauté de valeurs, dont la démocratie, et se sont efforcées de construire un avenir meilleur pour leurs enfants. Ironie de l’Histoire, les nettoyages ethniques des deux guerres mondiales ont contribué à ce processus. Pourtant, on assiste à un renversement de tendance dans l’Europe actuelle. Pendant que les Croates de Bosnie (catholiques) et les Serbes bosniens (chrétiens orthodoxes), mais également les musulmans cultivés non organisés se sont intégrés après les guerres de l’ex-Yougoslavie, les musulmans bosniaques organisent leurs sociétés parallèles depuis une vingtaine d’années. Ils suivent en cela la vieille tradition islamique et manifestent peu d’intérêt à s’intégrer dans une société autrichienne empreinte d’un système de valeurs chrétiennes.
 
 
Propension à des violences latentes
 
Cette propension à la violence paraît être sous-tendue par l’idéologie de l’Islam organisé. Exemple parlant de sa façon de procéder: l’Association culturelle austro-bosniaque de Vöcklabruck a acquis un bâtiment dans une zone résidentielle, sans autorisation d’utilisation et en faisant une fausse déclaration d’intention d’usage. Après l’avoir transformé illégalement en mosquée pendant des années, elle a engagé plusieurs recours auprès du tribunal administratif régional. Une telle taqiyya[6] accapare les ressources publiques, y compris avec la nécessité d’une présence policière, et entraîne ainsi une augmentation des coûts pour toute la société.
 
 
Pourquoi les Bosniaques ne retournent-ils pas dans leur pays?
 
 
Si l’on veut préparer correctement la Bosnie-Herzégovine à son entrée dans l’Europe, on peut supposer que les Bosniaques apportent leurs expériences acquises en Europe à leur propre patrie et les y mettent en œuvre. Il serait logique que toute personne n’étant pas disposée à s’intégrer en Autriche ou dans l’UE retourne dans son pays pour y partager son savoir-faire. Il est toutefois révélateur qu’après la guerre de Bosnie, peu de citoyens appartenant à la communauté majoritaire ont rejoint leur patrie. Le développement économique de la Bosnie nécessiterait pourtant que des hommes ayant accumulé des savoirs à l’Ouest mettent leurs capacités de gestion au service de leur pays et assument la direction de celui-ci. Par ailleurs, la Bosnie est étroitement associée à l’Arabie saoudite, qui soutient son développement à coups d’investissements généreux. Assistance qui poursuit parallèlement un but idéologique : la propagation des courants de l’Islam salafisto-whahhabite, ayant la Bosnie comme tête de pont en Europe.
 
 
Conclusion
 
 
Bien que l’Europe soit parvenue à refouler différentes idéologies au cours de son histoire, elle doit aujourd’hui assurer la liberté contre l’arbitraire de l’Islam politique, source de nouveaux et de plus grands conflits. Le fondement de l’Islam politique (en bosniaque: Dzemat) est de nature militante et s’identifie également de plus en plus clairement par un recours à la violence en Europe centrale.
La Bosnie-Herzégovine doit donc d’abord en finir avec le salafisme avant de pouvoir vivre en paix et coopérer avec les autres cultures européennes[7].
 
 
Sources :
 
 
[2] Terrorism and Islam: The Historical Roots and Contemporary Threat («Esclavage,  terrorisme et Islam: les racines historiques et la menace contemporaine»). unser-mitteleuropa.com/wp-content/uploads/2016/07/Muslime...
[3] www.wienerzeitung.at/nachrichten/europa/europaeische_unio... https://fr.wikipedia.org/wiki/Bosnie-Herz%C3%A9govine
[4] Principe de dissimulation stratégique dans un contexte de conquête.
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Taqiya
www.meforum.org/2527/krieg-frieden-und-taeuschung-im-islam
[5] https://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9sidence_de_la_Bosni... kurier.at/politik/ausland/bosnien-herzegowina-ein-wahhabiten-stuetzpunkt-in-europa/172.829.182
[6] kurier.at/politik/ausland/bosnien-herzegowina-ein-wahhabi.... Sur le principe de la taqiyya, voir la sourate 3 verset 28: «Les croyants ne doivent pas prendre pour amis des incroyants.»
[7] Voir Michael Ley sur la nécessité de l’Islam à se réformer: Wie viel Reform braucht der Islam? diepresse.com/home/spectrum/zeichenderzeit/1437721/Wie-vi...
 
Jeanne de Baylan  
 

Êtes-vous pour ou contre l'immigration ?

 

 
Voulez-vous que vos impôts continuent à encourager l’immigration ?
 
Durant l’année 2015, le gouvernement a offert 348.000 euros de subventions à l’association France Terre d’Asile et 177.000 euros à l’Association de Service Social et Familial des Migrants, 90.000 euros à l’Association d’Aide aux travailleurs migrants de la région Nord, 50.000 euros à l’Inter-Service des Migrants, etc, etc.
Tout va dans le même sens. La Croix-Rouge a ainsi reçu du gouvernement 50.500 euros de subventions pour son programme “Immigration et Asile”. 

Et pour compléter le plan d’immigration de grand remplacement par celui de la culpabilisation des Français, le gouvernement a également accordé, durant l’année 2015, 550.000 euros de subventions à la Ligue contre le Racisme et l’Antisémitisme (LICRA), 400.000 euros à SOS Racisme, 115.000 euros à la Maison des Potes et 30.000 euros au MRAP. 

Cet argent, c’est celui obtenu grâce aux impôts payés par les Français. 

Voulez-vous que cela continue ainsi ? Ne faites rien, versez tranquillement l’intégralité de vos impôts réclamés sur vos revenus de l’année 2016 à ce gouvernement qui se chargera de le redistribuer aux officines de l’anti-France.

Voulez-vous au contraire empêcher que l’intégralité de vos impôts serve à détruire la France ? Profitez des dernières semaines de décembre pour faire à Civitas un don déductible d’impôt. Civitas est le parti qui réclame l’arrêt immédiat de toute immigration extra-européenne, l’organisation d’une rémigration en plusieurs phases et l’arrêt immédiat de toute subvention aux organismes servant la préférence étrangère. 

Suivez la procédure ci-dessous pour faire un don à Civitas et obtenir la déductibilité fiscale. Un geste simple au service de la vraie France. 

Alain Escada, 

président de Civitas

En Allemagne, un meurtre alimente le débat sur l’accueil des réfugiés

 

 
Le gouvernement dénonce les « amalgames » faits par le parti d’extrême droite AfD.

Quand un fait divers a droit, le même jour, à la « une » de Bild, le plus célèbre tabloïd allemand, et à la page trois de la Süddeutsche Zeitung, un quotidien qui s’intéresse généralement assez peu à ce type d’événement, c’est qu’il est justement un peu plus qu’un simple fait divers. Il en est ainsi du meurtre de Maria L.

Mercredi 7 décembre, les deux journaux ont consacré une large place au destin tragique de cette étudiante en médecine de 19 ans, dont le cadavre a été repêché dans une rivière, le 16 octobre, à Fribourg-en-Brisgau (Bade-Wurtemberg), et dont le meurtrier présumé, un réfugié afghan de 17 ans, a été arrêté, vendredi 2 décembre, après que les enquêteurs ont retrouvé des traces de son ADN sur le corps de la victime, qui a été violée avant sa mort.
C’est au lendemain de l’arrestation du jeune homme, un demandeur d’asile arrivé en 2015, que l’affaire a pris un retentissement national. En cause : le choix de la télévision publique ARD de ne pas en parler, samedi, dans son journal de 20 heures. Une décision justifiée, selon les responsables de la chaîne, par la portée seulement « régionale » de l’événement. Un silence interprété par d’autres, au contraire, comme une volonté de la « presse mensongère » d’étouffer un crime qui, à leurs yeux, illustre le danger que représente l’arrivée massive de réfugiés en Allemagne au cours des derniers mois.


« Beaucoup de victimes auraient pu être évitées »

 

« Nous sommes bouleversés par cet acte et nous constatons que nos avertissements concernant la venue incontrôlée de centaines de milliers de jeunes hommes issus de cultures islamo-patriarcales sont qualifiés de populistes », a ainsi commenté Jörg Meuthen, l’un des dirigeants du parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD). Il n’est pas le seul à avoir réagi dans ce sens. Rainer Wendt, patron du syndicat policier DPolG, a estimé, quant à lui, que « cette victime et beaucoup d’autres auraient pu être évitées, si [leur] pays avait été préparé aux dangers qui vont de pair avec une immigration massive ».

Contre ce qu’ils considèrent comme un « amalgame », les principaux responsables politiques du pays se sont exprimés sur l’affaire. « Nous devons éviter que ces faits épouvantables alimentent la haine. (…) De tels meurtres odieux existaient bien avant que le premier réfugié venu d’Afghanistan ou de Syrie n’arrive » en Allemagne, a déclaré Sigmar Gabriel, ministre de l’économie, vice-chancelier et président du Parti social-démocrate (SPD).

« De tels délits sont évidemment dramatiques et doivent faire l’objet de poursuites. (…) Mais, pour autant, il ne faut pas tirer des conclusions sur l’ensemble d’un groupe », a affirmé, quant à elle, la chancelière, Angela Merkel, lundi soir.

Crainte d’un basculement

 

Il est rare que M. Gabriel et Mme Merkel commentent ainsi un fait divers. De ce point de vue, leur choix d’intervenir en dit long sur leur crainte de voir l’opinion publique basculer dans le sens d’un rejet des immigrés. La chancelière a pu s’en rendre compte, mardi, lors du congrès de son parti, l’Union chrétienne démocrate (CDU), à Essen (Rhénanie-du-Nord-Westphalie).


Lors de son discours, ce sont en effet les passages les plus durs sur les questions identitaires et migratoires qui ont été le plus applaudis. Quand elle a, par exemple, expliqué que « le droit allemand prévaut sur la charia » et affirmé vouloir « interdire » le voile intégral. Ou encore quand elle a assuré que le gouvernement était déterminé à expulser tous les demandeurs d’asile déboutés.
Il n’est pas certain, cependant, que de telles déclarations suffisent à apaiser le débat. En témoigne, justement, la question posée mercredi à la « une » de Bild : « Les réfugiés ont-ils un problème avec les femmes ? » Une question qui a suscité, sur les réseaux sociaux, des réponses d’une grande violence raciste. Avec, bien souvent, un lien établi entre le cas de Maria L. et les agressions commises contre plus de 500 femmes à Cologne, le 31 décembre 2015.

Presque un an plus tard jour pour jour, le gouvernement allemand sait qu’il a tout intérêt à empêcher qu’un tel lien se fasse dans les esprits. A dix mois des prochaines élections législatives, lors desquelles elle briguera un quatrième mandat de chancelière, c’est la seule chose que peut attendre Mme Merkel : que ce fait divers reste un simple fait divers.

 Thomas Wieder

Source 

Un imam de Sfax classé « dangereux terroriste »

 

 

L’imam de la mosquée « Essalam » à Sfax a été classé « dangereux terroriste » et empêché d’entrer dans l’espace Schengen en raison d’une plainte déposée contre lui par l’association « Shems » pour incitation à la haine et à la violence dans un prêche en date du 25 avril 2016. L’association a porté plainte contre lui auprès du procureur de la république de Tunis qui l’a transmise à son collègue de Sfax pour compétence territoriale. Une commission rogatoire a émise au poste de police de  Sakiet Eddayer qui n’a pas encore interrogé  l’imam en question. C’est alors que «  Shems »  a pris contact avec une autre association française « Adios » et lui a transmis une copie du prêche traduit en français. Cette dernière a écrit aux ministres français de l’intérieur et des affaires étrangères pour les  alerter sur  « la gravité » des propos de l’imam. Suite à cela, il a été décidé de classer l’imam de la mosquée « Essalem de Sfax d’interdire à l’imam de la mosquée Essalem » de Sfax comme « dangereux terroriste » et de lui interdire d’entrer dans tous les pays de l’Europe.

Source 

La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

 

Pourquoi les terroristes musulmans ne sont pas des héros ! En réponse à Éric Zemmour.

 

Qu’est-ce qu’un héros ? Un héros est un être humain d’un niveau intellectuel suffisant qui choisit consciemment, librement, courageusement, et d’une façon désintéressée son destin, en étant prêt à faire le sacrifice de sa vie pour une cause qui le dépasse.

adieu-argent-roiLa quasi- totalité des musulmans qui rejoignent le djihad armé, Al-Qaeda ou l’État islamique relèvent de quatre catégories. Ce sont :

. des délinquants ou des criminels, souvent recrutés en prison. La plupart sont des minables avec des têtes vides qui ne connaissent rien au Coran. L’islam leur apporte clés en main ces repères dont ils ressentent le besoin.

. des exaltés et des dérangés qui rêvent de guerre et d’action, qui cherchent à affirmer leur virilité à tout prix et qui sont en recherche de violence fanatique pour l’exprimer.


. des frustrés ne parvenant pas à s’intégrer dans notre société par le travail, l’étude, la socialisation, le mariage. Ces frustrés jalousent et haïssent les Européens de souche pour ce qu’ils sont : des êtres libres avec une organisation sociale supérieure, des réalisations techniques et spirituelles supérieures, un niveau de vie plus élevé.


. des demeurés et des simples d’esprit, des adolescents ou des enfants, sans repère, d’une grande fragilité psychologique, sur lesquels la propagande aussi stupide que simpliste des barbus fonctionne à merveille. C’est ainsi qu’en Irak, Daech appelle ses kamikazes des « jeunes mariés » parce qu’il leur promet d’épouser 72 jeunes filles vierges, une fois leur crime accompli. Juste avant leur mission suicide, des responsables religieux leur récitent des versets du Coran et les droguent avec de la fénétyline, substance psychotrope synthétique interdite dans la plupart des pays.


Si les terroristes risquent leur vie, il est tout aussi vrai que ce sont des lâches pour oser s’en prendre armés à des civils désarmés.
S’ils sont éduqués, désintéressés, non endoctrinés et libres de leurs actes, cas très peu fréquent, ce sont effectivement des héros. Ce pourrait être le cas pour quelques- uns des Saoudiens diplômés et conscients qui ont jeté, le « Onze Septembre » 2001, leur avion contre les tours du World Trade Center à New-York Encore. Outre le fait qu’ils s’en prenaient à des civils sans défense, faudrait-il s’assurer, ce qui est fort possible, que ces Saoudiens n’aient pas perçu la mort violente et combattante pour l’islam comme le privilège d’accéder rapidement en martyr à la félicité divine et d’échapper ainsi à l’interminable « supplice de la tombe » .

Il est donc vrai que même chez les pires terroristes imbéciles, il y a un fond d’héroïsme, mais de là à faire des terroristes musulmans des héros, non, dans plus de 95% des cas ! La plupart ne sont pas des héros, mais des zéros, des fous manipulés, endoctrinés, frustrés relevant de la psychiatrie !

Marc Rousset est l’auteur de  « Adieu l’argent-roi-Place aux héros européens, Critique de la Civilisation de l’argent et Apologie de l’héroisme« , Éditions Godefroy de Bouillon– 499p- 2016. Contact.

Source 

De 2010 à 2016, le nombre de lieux salafistes a connu une hausse d’environ 170 %

 

 

 

2799_page_01Dans son dernier numéro, Minute reproduit une note émanant du Service central du Renseignement territorial. 
Cette note sur « les lieux de culte salafistes en France » date de juin 2016. Ce document s’ouvre d’ailleurs par cette phrase :
« Apparue en France au milieu des années 1990, la mouvance salafiste, qui contrôle 120 lieux de culte en France métropolitaine et compte entre 25 et 40 000 fidèles, exerce une influence grandissante auprès de la communauté musulmane. » « Peu adaptée au mode de vie occidental, cette doctrine ultraorthodoxe prône une lecture de l’islam incompatible avec les valeurs fondamentales de la société française. »
Le service de renseignement estime que, « sur les 2 358 lieux de culte [musulmans] recensés sur les territoires métropolitain » – hors zone de compétence de la préfecture de police de Paris ! – 120 relèvent de la mouvance salafiste. Le chiffre est en progression constante : il n’était«que» de 44 en 2010, de 79 en 2012, de 87 en 2014.
« De 2010 à 2016, le nombre de lieux de culte salafistes a connu une hausse d’environ 170 % » « en dépit de la fermeture administrative récente de plusieurs salles de prière, notamment dans le cadre de l’état d’urgence ».
Le service a isolé deux périodes de progression  : entre 2010 et 2012 (+ 80% !) – sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy donc, François Fillon n’ayant manifestement pas entrepris de Vaincre le totalitarisme islamique, titre de son dernier ouvrage... – et de 2014 à 2016 (+38%) – dans une période où François Hollande se disait en guerre...
 

Le parlement polonais approuve la création d’une milice paramilitaire

 

 
Le parlement polonais (Sejm) a approuvé mi-novembre la création d’une armée de 53.000 hommes pour assurer la défense du territoire (WOT). Le parlement a donc donné le feu vert à un projet appuyé par le ministre de la Défense d’extrême-droite, Antoni Macierewicz.

Le ministère de la Défense contrôlera directement la nouvelle unité militaire. Celle-ci doit soutenir l’armée polonaise contre la Russie en cas de guerre et réprimer l’opposition sociale et politique intérieure. Le Sejm a explicitement rejeté des motions soumises par l’opposition, demandant que la WOT soit apolitique et ne soit pas déployée contre les Polonais.

Macierewicz avait annoncé cet été son intention de mettre en place une milice calquée sur le modèle de la garde nationale américaine. Le Sejm vient à présent de voter ce projet à la majorité absolue. D’ici 2019, cette force comprendra 53.000 personnes. Les premières unités seront en place à l’est du pays avant la fin de l’année. D’ici 2019, le gouvernement projette de dépenser 3,6 milliards de zloty (environ 800 millions d’euros) pour la WOT. La rémunération mensuelle des miliciens sera d’environ 500 zloty (120 euros).

Dans une interview télévisée Macierewicz a déclaré : « Ces unités sont le moyen le plus efficace d’étendre la force de nos forces armées et de ses capacités de défense. C’est également la meilleure réponse pour faire face aux dangers d’une guerre hybride comme celle que nous avons connue après l’agression russe au sujet de la Crimée ».

Chacune des 16 provinces polonaises doit créer une unité de défense regroupant entre 3.000 et 5.000 hommes. Les unités seront recrutées parmi des volontaires, qui bénéficieront d’une formation aux frais de l'Etat. La plupart seront stationnées dans l’est, à Podlaskie, Lublin et des Basses Carpates (Podkarpackie) près de l’Ukraine et de la Biélorussie. L’est de la Pologne est la partie la plus pauvre et économiquement la plus arriérée du pays et comprend de larges zones forestières. Grâce à la catastrophe sociale engendrée par la restauration du capitalisme, les forces fascistes et le PiS (parti Droit et Justice) ont pu en faire leur bastion.
Le vote du Sejm en faveur de la WOT a une portée très large et s’oriente ouvertement vers le nationalisme d’extrême-droite. Selon le texte voté, la WOT est responsable des « missions anti-crise, anti-sabotage, antiterrorisme et anti-désinformation, afin de défendre la sécurité de la population civile et le patrimoine du peuple polonais. » Le ministère de la Défense est habilité à définir une crise, le sabotage, une attaque terroriste ou la désinformation comme bon lui semble.

Devant un comité parlementaire, les politiciens du PiS qui est au pouvoir ont expliqué en amont du vote que la WOT avait pour objectif de « renforcer les fondements patriotiques et chrétiens de la Pologne et des forces armées ». Le « patriotisme et la foi des soldats polonais » sont selon eux « la meilleure garantie de notre sécurité ».

Ce faisant, ils en appellent aux forces d’extrême-droite de rejoindre la WOT. Plusieurs dirigeants d’extrême-droite ou de milices citoyennes ont déjà indiqué vouloir encourager leurs membres à rejoindre la WOT.

Depuis son arrivée au pouvoir il y a un an, le PiS a à plusieurs reprises renforcé les forces d’extrême-droite et antisémites en Pologne. Il coopère étroitement avec l’église catholique, qui entretient des liens historiques très étroits avec le fascisme. Le ministre de la Défense Macierewicz, qui a un passé fasciste et antisémite, a joué un rôle crucial dans la promotion des forces d’extrême-droite et de leur intégration dans l’appareil d’Etat.
La création d’une milice ultra-droite en Pologne jouit aussi d'un soutien international. Dans un document publié en juillet, le think tank américain Atlantic Council a proposé de faire de la Pologne un rempart contre la Russie. Il voulait notamment renforcer l'armée régulière, dont les effectifs passeraient de 100.000 à 150.000 hommes, et élargir des forces paramilitaires sous contrôle gouvernemental. Selon les auteurs du document, les divers groupes paramilitaires, dont certains groupes privés, comptent d’ores et déjà environ 400.000 hommes.

Selon le magazine Polityka, l’organisation paramilitaire Stowarzyszenie Jednostka Strzelecka 2039, basée à Cracovie, avait participé aux exercices « Anaconda » de l’OTAN. Un certain nombre de ces unités ont maintenant l’intention de rejoindre la WOT. D’autres organisations d’extrême-droite et fascistes, dont Falanga et Zmiana, comptent participer à la WOT.

La WOT ressemble aux organisations paramilitaires en Ukraine qui non seulement ont combattu les séparatistes pro-russes dans l’est du pays, mais sont aussi intervenus contre l’opposition populaire à travers le pays. Des organisations paramilitaires d’extrême-droite qui ont joué un rôle de premier plan lors du renversement du président ukrainien Victor Ianoukovitch en février 2014, s'étaient entraînées en Pologne. A présent, il s'agit de créer et de former des forces d’extrême-droite en Pologne même.

L'opposition libérale critique la création de la milice d’un point de vue bourgeois de droite. Une profonde inquiétude a été suscitée du fait que la milice ne sera pas sous contrôle de l’état-major de l’armée, mais du ministère de la Défense. La vice-présidente du parti d’opposition Nowoczesna, Katarzyna Lubnauer, a traité la WOT d’« armée privée » de Macierewicz.

Une opposition s’est fait jour au sein de l’armée polonaise contre la politique de Macierewicz. Au début de l’année, plusieurs généraux haut placés ont démissionné pour protester contre les réformes militaires de Macierewicz en critiquant le gouvernement dans la presse.

Le général Janusz Bronowith s’en est pris publiquement au ministre et à ses réformes. Dans une interview accordée au magazine Polityka, il a averti que la politique du PiS pourrait entraîner la Pologne dans une catastrophe comme celle de 1939. En guise de protestation contre la politique de Macierewicz, Bronowicz avait démissionné au début de l’année.

Le journal libéral Newsweek Polska a exprimé dans une rubrique la crainte que le ministère de la Défense puisse déployer la WOT contre l’opposition libérale. Cette préoccupation n’est pas sans fondement. De violentes agressions contre des membres du Comité de Défense de la Démocratie (KOD) commises par des forces d’extrême-droite furent assez ouvertement encouragées par le PiS.
De plus, l’opposition ne souhaite pas perdre son influence sur la direction de l’armée. Plusieurs généraux et officiers à la direction de l’armée soutiennent toujours l’opposition libérale sur le plan intérieur et extérieur.

Toutefois,les libéraux n’ont pas d’objection à formuler contre le renforcement des forces armées contre la Russie, ou contre la classe ouvrière à l’intérieur du pays. Certains ont exprimé la crainte que des organisations fascistes qui cherchent à rejoindre la WOT n'adoptent une position antiaméricaine en préconisant une alliance plus étroite avec le Kremlin.

D’autres affirment que le budget prévu ne suffirait pas à mettre en place des unités bien équipées d’ici 2019. Selon eux, le gouvernement polonais, tout comme les autres Etats de l’OTAN, devrait donc concentrer ses ressources sur les forces armées.
Bogdan Klich, l'ancien ministre de la Défense du gouvernement PO (Plate-forme civique) de Donald Tusk, s’est plaint en disant : « La majorité des Etats de l’OTAN investissent dans le potentiel des forces existantes, et non dans la création d’une force de défense territoriale. La priorité budgétaire devrait revenir à l’achat de nouvelles technologies pour mener des guerres modernes ».

Clara Weiss 
 Source

L'UDC ne lancera pas de référendum

Immigration de masse : Pas de référendum de l'UDC contre l'application de son initiative qui pourtant est très loin de satisfaire le parti politique.

L'UDC ne devrait pas lancer de référendum contre la voie qui sera choisie pour appliquer l'initiative contre l'immigration de masse, même si le parti est tout sauf content de la solution discutée au Parlement.

C'est ce qu'a indiqué mercredi son président Albert Rösti au Tagesschau de la télévision alémanique SRF.

Les Chambres fédérales débattent actuellement pour savoir comment mettre en oeuvre l'initiative du parti agrarien, acceptée le 14 février 2014 par le peuple. 

Le Parlement veut limiter l'immigration en privilégiant le recours aux demandeurs d'emploi en Suisse. Avant d'aller recruter à l'étranger, certains employeurs devront d'abord annoncer les postes vacances aux services de l'emploi et convoquer des personnes inscrites.

Cette obligation ne s'appliquera toutefois que pour les professions, domaines d'activité ou régions économiques avec un taux de chômage «supérieur à la moyenne». Il faut réduire la marge d'interprétation autorisée par la mention «très supérieur» retenue par le National et viser l'efficacité, a expliqué Philipp Müller (PLR/AG) en plaidant pour cette divergence votée par 30 voix contre 13 de l'UDC et du PDC.

Les Chambres doivent s'entendre sur le fond, le Conseil fédéral préciser ensuite les modalités dans une ordonnance, a annoncé la ministre de justice et police Simonetta Sommaruga. Les mesures pourront être limitées à des régions économiques comme le Tessin et les cantons en proposer au Conseil fédéral. Ce dernier pourra arrêter des exceptions, notamment pour les entreprises familiales.


Test d'aptitude


Les travailleurs ne devront pas justifier la non-embauche de chômeurs inscrits. Le Conseil des Etats n'a pas cherché à réintroduire ce point biffé par la Chambre du peuple. Reprenant une demande des employeurs, il a même ajouté que les demandeurs d'emploi devront être convoqués pour un entretien «ou un test d'aptitude professionnelle».

Au grand dam de l'UDC, la majorité s'est sinon efforcée que la loi soit encore moins susceptible de violer l'accord sur la libre circulation des personnes. Si les mesures concernant les embauches ne sont pas assez efficaces, le Conseil fédéral devra en proposer d'autres au Parlement.

Mais la loi ne devrait finalement pas préciser que ces mesures doivent respecter les engagements de la Suisse relevant du droit international. Cela va de soi, les engagements devront de toute manière être respectés. Cette correction permet aussi de renoncer à une provocation inutile envers la majorité de la population qui a soutenu l'initiative, a estimé Pirmin Bischof (PDC/SO).


Bricolage de l'Avent


C'est digne d'un «atelier de bricolage de l'Avent», s'est énervé l'indépendant Thomas Minder (SH). Les mesures concernant le marché du travail ne permettront jamais de limiter l'immigration. Ce ne sont même pas les travailleurs en Suisse qui devront être privilégiés, mais tous les inscrits à un service de l'emploi, donc aussi les citoyens européens.

En vertu de la libre circulation des personnes, des Européens peuvent effectivement venir trois mois en Suisse et s'inscrire à service public de l'emploi, mais ils doivent remplir un certain nombre d'obligations, a répliqué M. Müller et c'est une «quantité négligeable». Entre 90 et 160 citoyens de l'UE ou frontaliers par an l'ont fait ces quatre dernières années, a-t-il cité de mémoire.


Dernière ligne droite


La loi entre dans sa dernière ligne droite, a salué Paul Rechsteiner (PS/SG). Selon lui, on peut partir du principe que le texte passera le cap des votations finales le 16 décembre.
Cela ouvrirait la voie à la ratification du protocole étendant la libre circulation européenne à la Croatie et à la réintégration de la Suisse à l'accord européen sur la recherche Horizon 2020. Simonetta Sommaruga n'a toutefois pas voulu le garantir formellement, relevant que la décision relève du Conseil fédéral.

Source 

POURQUOI IL FAUT ELIMINER LA VERMINE DE MAI 68’…

 

 

 

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Pieter Kerstens
 
Parce que la chienlit qui, en Mai 1968 dévastait nos rues et cassait par plaisir a aujourd’hui infiltré tous les rouages de nos institutions. Plus grave : elle a aussi engendré des rejetons bobos, ayant le prêt-à-penser franc-maçon et un comportement pastèque (vert à l’extérieur, rouge à l’intérieur).
Pour les rares dirigeants clairvoyants qui résistent encore en Europe, la situation actuelle dans les domaines sociaux, culturels, financiers, industriels ou politiques est catastrophique, mais pas encore désespérée. Le délabrement et la décomposition de l’Europe ne sont pas les conséquences directes de Mai 68, mais l’accélération d’une fin de civilisation entamée depuis de longues décennies.
Une intelligentsia judéo-bolchevique qui fêtera le Cinquantenaire de la Révolution étudiante. 
Lors des diverses commémorations des révoltes étudiantes de 68 (25e ou 40e anniversaire), on a systématiquement entendu le pédophile Cohn-Bendit, mais les médias ne se sont pas suffisamment intéressés aux manipulateurs et aux responsables des organisations qui ont joué un rôle primordial durant cette période. La plupart d’entre eux ont accédé à des postes clés de notre Société, notamment Lionel Jospin-trotskyste patenté- devenu premier ministre en France. 
Et jetons un regard sur les groupements gauchistes et leurs dirigeants :
*Ligue Communiste (ex-JCR) : P. Franck, A. Krivine, B. Ben Saïd, H.Weber, P. Abramovici, S. Rabehl, J. Stein, S. Niemetz, A.Bethel.
*Lutte Ouvrière (Ex-Voix Ouvrière) : M. Schroeot, O.Kaldy, L. Stean, V.Goria, C.Jung.
*Alliance Marxiste Révolutionnaire (Ex-GMR) : N. Baby, M. Najmann, B. Schalsha, L. Weisberg, S. Mandel, D. Rothenstein, L. Rosenblatt.
*Alliance des Jeunes pour le Socialisme (ex-FER) : P. Boussel (alias Lambert), Ch. Stobnicer (alias Berg), G. Bloch, G. Rousselot. Ce mouvement possédait un Service d’ordre dirigé par un transfuge d’Occident, Rémy. Nous les retrouverons face à nous au Palais des Sports, le 9 mars 1971, lors d’un meeting d’Ordre nouveau.
*Parti Communiste Révolutionnaire : M. Mestri.
*La Voie : Blumenthal et Spitzer. 
Comme on peut s’en rendre compte, les responsables de tous les mouvements gauchistes des années 1965-1972 appartiennent en grande majorité au « Peuple sûr de lui et dominateur ».
Le marxisme est toujours puissant et sera présent pour le centenaire de la guerre 1914-1918.
Enfant mongolien d’un Socialisme qui, en 1968, se voulait « à visage humain », le marxisme a entamé une mutation, à tel point que 48 ans plus tard, la « société citoyenne » a remplacé la lutte des classes. En décryptant la phraséologie et le vocabulaire utilisés par les médias, on se retrouve plongé dans la dialectique la plus stalinienne, où la novlangue a remplacé la langue de bois. La terreur rouge a émasculé des dizaines de millions d’élèves et d’étudiants ; son emprise s’étend à la Culture et à la Communication, à l’Economie et aux Finances, à la Justice, la Police et la Gendarmerie…
Alors tous ceux qui ont participé aux « Manif pour Tous » ou aux défilés pour la Vie et la Famille, devraient quand même se poser certaines questions. 
QUI a voté pour les députés qui se pavanent à l’Assemblée ? 
QUI a désigné les responsables des partis au Pouvoir ? 
QUI soutient les partis de Droite cosmopolite et ceux de la Gauche caviar ? 
QUI se taisait quand ses enfants lui expliquaient que la drogue était vendue aux portes des Collèges et des Lycées par des maghrébins clandestins ? 
QUI ricanait quand il apprenait que dans le même établissement certains adultes pervers profitaient de leur fonction pour assouvir leur pédérastie ? 
Le constat : en quelques décennies, le Socialolaxisme a pourri l’esprit de la majorité de nos compatriotes, leur retirant même le courage de penser ! 
Et ne parlons pas de la volonté d’agir, face au fléau de l’immigration/invasion, de la hausse permanente des crimes et délits, ni de la colonisation de nos quartiers, de nos rues, de nos commerces et de nos piscines par le « vivr’ensemble », le « padamalgam » et le monopole du Hallal !
Œil pour œil, dent pour dent !
Le sabotage insidieux de toutes nos institutions n’a été possible que grâce à la complicité abjecte de ce que d’aucuns dénomment la Droite. Afin de préserver certains acquis et privilèges financiers et économiques, les prétendus « libéraux » ont laissé gangréner nos Règles et nos Valeurs ancestrales par les théories « avant-gardistes » et humanistes. 
La Foi est devenue une notion ringarde. 
La Conviction et l’Idéal, seraient des valeurs démodées. 
La Famille est présentée comme une entrave à la liberté sexuelle des pédérastes et des lesbiennes.
Les enfants, avenir de la Nation, et fruits d’un Amour réciproque, sont considérés comme une entrave au sacro-saint niveau de vie.
Le Travail et la Conscience professionnelle, sont maintenant des sujets hors de propos. 
Par confort intellectuel et facilité économique, le peuple s’est embourgeoisé et au lieu d’opposer une légitime résistance à la décadence générale, il a préféré la carte de crédit et les loisirs tarifés, collé à l’écran de sa TV ou de son PC, zombie moderne relié à son I-Phone comme un grabataire en phase terminale ne survit que grâce au goutte-à-goutte. 
L’hédonisme règne en maître et l’Europe glisse vers l’abîme aussi sûrement que le soleil se lève à l’Est. 
La fin de l’Empire Romain s’est effectuée sur plusieurs siècles, mais s’est brusquement accélérée quand les métèques ont acquis le droit de cité. En accordant le droit de vote aux barbares établis en Europe, nous acceptons le génocide de la race blanche. 
Le métissage n’est pas un enrichissement : l’état d’Israël l’a bien compris !
Comment Faire Face à l’héritage de Mai 68 : 
  • En clamant à haute et intelligible voix votre refus du Nouvel Ordre Mondial, de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) et de l’Euro, monnaie d’escrocs, au service d’un lobby : la Banque Centrale Européenne (BCE).
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  • En écrivant aux médias qu’ils ne détiennent pas la Vérité Absolue, que l’information n’est pas leur monopole et que vous avez un avis différent.
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  • En exigeant des maires, des députés et sénateurs qu’ils appliquent le principe de Préférence Nationale dans tous les domaines et qu’ils cessent de gaspiller nos impôts au profit de parasites sociaux.
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  • En déposant plainte, avec constitution de partie civile pour chaque agression dont vous êtes la victime.
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  • En contactant les syndicats, les centrales d’achats et les supermarchés pour réclamer l’arrêt des importations de produits étrangers, que nous sommes capables de produire nous-mêmes et mieux : c’est votre emploi qui est en jeu et plus tard celui de vos enfants !
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  • En infligeant un vote sanction à la mafia socialaud-libéro-écolo-capitaliste ; d’abord pour les présidentielles d’avril et mai 2017 et ensuite pour les législatives du mois de juin.
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C’est maintenant qu’il faut éradiquer la pègre rouge !