Dans la nuit du lundi 19 décembre au mardi 20 décembre, une voiture a été incendiée juste devant la porte du théâtre de Mackellerie, situé dans un quartier dit « populaire » de Roubaix, selon les informations rapportées par La Voix du Nord. Quelques heures auparavant, la ville de Berlin était meurtrie dans sa chair par un attentat islamiste.
Les supplétifs de l’islam de combat, nombreux à Roubaix, manifestaient-ils ainsi leur soutien aux actes barbares qui se déroulaient concomitamment outre-Rhin ? C’est fort possible, car ce n’est pas la première fois qu’une voiture brûle juste après un attentat meurtrier. Le 13 novembre 2015, des faits similaires s’étaient produits devant le susnommé théâtre de la Mackellerie.
Ces événements sont de nature à jeter le trouble chez les acteurs associatifs qui font vivre ce petit théâtre. En réponse à un concours d’écriture lancé en début d’année, les responsables du théâtre avaient reçu un texte invitant à commettre des actes terroristes et justifiant le djihad…
Certains habitants du quartier considérant, en effet, que l’activité de comédien serait « satanique ». Plusieurs stagiaires ont dû abandonner en cours de route, menacés par des voisins et interrogés sur leurs mœurs. Il ne fait aucun doute que les menaces émanaient très précisément d’agitateurs islamistes, véritables fondés de pouvoir de l’État dans les zones de non-France.
Pourtant, il n’est pas fait mention de l’islamisme dans l’article de La Voix du Nord. Lâcheté ? Aveuglement ? Ne pas désigner l’ennemi par son nom ne le rendra pas moins dangereux. Au contraire.
C’est bien parce que les pouvoirs publics ont refusé de voir les problèmes en face que des gens se permettent, maintenant, de faire vivre l’enfer aux habitants de ces quartiers, sortis du droit, de la République et de la France.
Les supplétifs de l’islam de combat, nombreux à Roubaix, manifestaient-ils ainsi leur soutien aux actes barbares qui se déroulaient concomitamment outre-Rhin ? C’est fort possible, car ce n’est pas la première fois qu’une voiture brûle juste après un attentat meurtrier. Le 13 novembre 2015, des faits similaires s’étaient produits devant le susnommé théâtre de la Mackellerie.
Ces événements sont de nature à jeter le trouble chez les acteurs associatifs qui font vivre ce petit théâtre. En réponse à un concours d’écriture lancé en début d’année, les responsables du théâtre avaient reçu un texte invitant à commettre des actes terroristes et justifiant le djihad…
Certains habitants du quartier considérant, en effet, que l’activité de comédien serait « satanique ». Plusieurs stagiaires ont dû abandonner en cours de route, menacés par des voisins et interrogés sur leurs mœurs. Il ne fait aucun doute que les menaces émanaient très précisément d’agitateurs islamistes, véritables fondés de pouvoir de l’État dans les zones de non-France.
Pourtant, il n’est pas fait mention de l’islamisme dans l’article de La Voix du Nord. Lâcheté ? Aveuglement ? Ne pas désigner l’ennemi par son nom ne le rendra pas moins dangereux. Au contraire.
C’est bien parce que les pouvoirs publics ont refusé de voir les problèmes en face que des gens se permettent, maintenant, de faire vivre l’enfer aux habitants de ces quartiers, sortis du droit, de la République et de la France.
« Une nation, c’est la possession en commun d’un antique cimetière et la volonté de faire valoir cet héritage indivis », disait Maurice Barrès. Si nous ne sommes plus capables de transmettre notre culture nationale, parce que des arriérés jugent le théâtre comme relevant du satanisme, c’est que nous ne formons plus une nation unitaire.
Au Parlement européen, je ne cesse de défendre la France historique contre ses ennemis. Ainsi, j’ai manifesté mon soutien aux chrétiens d’Orient, durement éprouvés ces dernières années, notamment en Syrie et en Égypte. Pendant ce temps, les responsables du chaos se rencontrent pour ne rien faire. Les élus de Molenbeek étaient en Seine-Saint-Denis cette semaine. Pour y faire quoi ? Se lamenter une nouvelle fois sur les échecs français et belges, profondément similaires ?
Porte-parole de François Fillon, le sociétaliste Apparu déclarait que le terrorisme et l’immigration n’avaient pas de lien de cause à effet… Aussi médiocres les uns que les autres, ces gens nous conduisent au bord du précipice. Aujourd’hui, c’est un théâtre qui pourrait fermer car il n’est pas « charia-compatible ». Demain, sera-ce notre pays ?
Dominique Bilde
Source
Au Parlement européen, je ne cesse de défendre la France historique contre ses ennemis. Ainsi, j’ai manifesté mon soutien aux chrétiens d’Orient, durement éprouvés ces dernières années, notamment en Syrie et en Égypte. Pendant ce temps, les responsables du chaos se rencontrent pour ne rien faire. Les élus de Molenbeek étaient en Seine-Saint-Denis cette semaine. Pour y faire quoi ? Se lamenter une nouvelle fois sur les échecs français et belges, profondément similaires ?
Porte-parole de François Fillon, le sociétaliste Apparu déclarait que le terrorisme et l’immigration n’avaient pas de lien de cause à effet… Aussi médiocres les uns que les autres, ces gens nous conduisent au bord du précipice. Aujourd’hui, c’est un théâtre qui pourrait fermer car il n’est pas « charia-compatible ». Demain, sera-ce notre pays ?
Dominique Bilde
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