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vendredi, 06 janvier 2017

L’usine PSA d’Aulnay fermée à cause de la non-France islamiste ?


« On ne l’a jamais dit, mais une partie de la fermeture de PSA était liée aussi à l’omniprésence religieuse et au fait qu’il y avait des exigences religieuses au travail, d’arrêt de travail, de baisse de productivité, et dans le choix de PSA de fermer Aulnay, il y a eu aussi cet aspect-là », déclarait aujourd’hui Jean-Christophe Lagarde, député-maire UDI de Drancy, pourtant régulièrement pointé du doigt pour sa politique clientéliste et ses concessions fréquentes au communautarisme, particulièrement musulman.
En décembre 2013, le groupe PSA Peugeot Citroën fermait son usine d’Aulnay-sous-Bois, qui employait 3.000 salariés jusqu’à l’été 2012. À l’époque, le constructeur automobile expliquait que le groupe ne pouvait faire autrement, menaçant d’une faillite. Mais y aurait-il eu une autre raison expliquant cette fermeture, beaucoup moins politiquement correcte ? Les propos de Jean-Christophe Lagarde font plus que jeter le doute. Comme l’a rappelé le journal Marianne, ce site employait un très grand nombre d’ouvriers musulmans pratiquants, ce qui n’avait pas été sans créer quelques remous relatés dans les médias.

On retrouve, d’ailleurs, une information intéressante dans un article de Libération daté de 2010. Il y est expliqué que l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois disposait d’une vaste salle de prière, un acquis des grèves de 1982… Le journaliste écrivait même alors : « Depuis trente ans, la gestion de l’islam en entreprise est devenue un réflexe chez PSA. Pendant la période du ramadan, les pauses déjeuners sont adaptées aux horaires de la rupture du jeûne. Les musulmans pratiquants ont droit à cinq minutes de plus pour manger […]. » Un réflexe qui a peut-être coûté beaucoup d’argent à cette société, contrainte plusieurs années après à fermer l’usine ! Dans ce même article, la bien connue Dounia Bouzar demandait aux grandes entreprises d’adapter le travail aux musulmans pratiquants… Sans commentaire !

En 2011, encore, le syndicat Force ouvrière de l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois distribuait des calendriers islamiques illustrés de photos de La Mecque et d’autres mosquées. 

On pouvait aussi y trouver… les horaires de prière à Paris ! Les cadres sérieux de l’usine, légitimement choqués, n’avaient plus que leurs yeux pour pleurer. Par lâcheté, des grands groupes industriels auraient-ils accordé des privilèges exorbitants aux musulmans qui ont plombé les comptes ? Supprimez le conditionnel : ils l’ont fait ! En accord avec la classe politique, coupable d’un renoncement criminel face à l’immigration de masse extra-européenne et au chantage que pratiquent souvent les musulmans zélés.
 
Monsieur Lagarde le dit à l’approche de l’élection présidentielle, comprenant fort bien que son image passée ne pouvait que lui nuire. Mais gardez-vous de croire qu’il pourra quelque chose contre ce phénomène : il en est un des premiers responsables. Les dérives communautaristes ont une seule origine : l’immigration. Regardez le nouveau site Internet Oummaloc. Interrogé, son fondateur indiquait qu’il avait eu l’idée de créer une plate-forme immobilière réservée aux musulmans parce que « bon nombre de musulmans renoncent à louer leurs appartements ou maisons de peur d’accueillir des personnes ne partageant pas leurs valeurs et exigences ». Ils veulent vivre séparément des Français qui pratiquent une autre religion ? Très bien, qu’ils mettent leurs convictions en conformité avec la réalité en quittant le territoire hexagonal. Si vous ne vous plaisez pas en France, faites donc votre hijra.

 Gabriel Robin

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