Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 09 janvier 2017

Yvan Blot : la menace révolutionnaire du terrorisme islamiste

La petite histoire : L'islam et la violence

Trois policiers roués de coups à Bobigny

Trois policiers ont été roués de coups après avoir tenté de procéder vendredi soir à des contrôles d’identité dans un hall d’immeuble à Bobigny, où 10 jeunes ont été interpellés.


Vers 20 heures, ces policiers « contrôlaient des jeunes qui semblaient consommer des stupéfiants dans un hall d’immeuble quand ils ont été roués de coups », a indiqué à l’AFP une source proche de l’enquête.

Une policière a été gravement blessée au niveau de l’oeil. Dix jours d’incapacité totale de travail (ITT) lui ont été prescrits, dans l’attente d’examens complémentaires. Les deux autres fonctionnaires, blessés à la jambe et au visage, ont eu 15 et 10 jours d’ITT.

Dix jeunes hommes âgés de 16 à 21 ans ont été interpellés. Leurs gardes à vue ont été prolongées de 24 heures samedi soir, a indiqué le parquet. La sûreté départementale a été saisie de l’enquête.

Source 

Immigration de masse : Plus de la moitié des femmes allemandes ne se sentent pas en sécurité

 
Plus de la moitié des femmes allemandes constatent une dégradation de la situation sécuritaire dans leur pays et envisagent des mesures afin de réagir aux agressions sexuelles.

Plus de la moitié des femmes habitant en Allemagne sont convaincues que le pays n'est plus aussi sûr qu'avant, selon un sondage effectué par l'institut d'opinion publique Emnid à la demande du quotidien allemand Bild.

D'après le sondage, 58 % des femmes estiment que la fréquentation des lieux publics est plus dangereuse qu'auparavant. Pour 31 % des femmes, la situation n'a pas changé alors que 10 % d'entre elles pensent que l'Allemagne est même devenue plus sûre pour les femmes. 

Il est à noter que près de la moitié des sondées (52 %) préfèrent éviter certains lieux proches de leur domicile après la tombée de la nuit. 16 % des femmes allemandes ont toujours un spray au poivre avec elles. Une femme sur deux envisage d'en acheter.

Le scandale survenu dans la nuit du 1er janvier 2016 à Cologne, lorsque des centaines de femmes avaient été agressées par plusieurs dizaines de migrants, a profondément choqué l'opinion allemande et nourri les critiques envers la politique migratoire « généreuse » de la chancelière Angela Merkel et l'inaction de la police. Par la suite, un rapport de la police allemande a précisé les chiffres concernant les crimes sexuels, faisant état de 1 200 femmes victimes. 

Source 

Allahïcité : Pour la LDH, la nuit du Ramadan, c'est moins grave qu'une crèche de Noël

 

 

La présidente de la Ligue des Droits de l'Homme, connue pour sa haine envers les crèches de Noël, répond au Midi Libre :


Capture d’écran 2017-01-07 à 10.16.11Intégralité :


C1jpx15WEAAuSx-

Galette des rois de l'Agrif

IMG_0321L'Agrif, présidée par Bernard Antony (photo), a fêté, samedi 7 janvier, la traditionnelle fête des rois.

Plus d'une centaine de personnes s'y sont retrouvées dans une atmosphère d'amitié francaise et chrétienne, parmi lesquels des personnalités aussi diverses que Jeanne Smits, Jerôme Triomphe, le pasteur Said Oujibou, Richard Haddad, Cecile Edel, Christophe Bilek, Guillaume de Thieulloy, Didier Rochard, Alain Toulza, François Foucart ...
 
Une belle occasion de se retrouver au seuil d'une année décisive pour la France.
 

Conférence sur l'Islam, de Marie-Thérèse Urvoy

Marie-Thérèse_UrvoySite-600x338

Les mardis de Politique magazine

Conférence mardi 10 janvier 2017

La France, l’islam, les musulmans

par Marie-Thérèse Urvoy ,
professeur d’islamologie et d’arabe.
La conférencière dédicacera son ouvrage Islamologie et monde islamique (Le Cerf)
Rendez-vous à partir de 19h00 Conférence à 19h30 précises
Participation aux frais : 10 euros
Etudiants et chômeurs : 5 euros
Salle Messiaen
3, rue de la Trinité
75009 Paris
Métro: La Trinité, Saint-Lazare
Pour tout renseignement : Politique magazine, 1, rue de Courcelles, 75008 Paris
Tel. : 01 42 57 43 22
 

Viols en réunion à Corbeil-Essonnes : les rappeurs devant la cour d’assises

La cour d’assises des mineurs de l’Essonne planche, depuis mercredi 4 janvier 2017, sur l’affaire sordide des viols en réunion dont se sont rendus coupables sept membres d’un groupe de rap, les bien nommés « Gangsta du zoo », habitants du quartier des Tartetêts à Corbeil-Essonnes, où se rencontrent, plus ou moins à l’abri des regards extérieurs et mélangés en une bouillie infâme, culture américaine de la violence, communautarisme décomplexé, éducation pornographique sur smartphone, loi des gangs en culottes courtes (ces rappeurs étaient tous mineurs au moment des faits) et rejet de toutes les normes qui, dans une société saine, composent le cadre moral qui sculpte et perpétue la bienséance.
Les quatre victimes, âgées de 15 et 16 ans au moment des faits, étaient violées par des bourreaux rigolards qui décidaient de l’ordre de passage à « pierre-papier-ciseaux ».
Ultime manifestation de leur sentiment d’impunité : ils filmaient eux-mêmes la scène sur leurs téléphones.

Officiellement, c’est le procès de sept mineurs coupables de viol. En filigrane, toujours, la peur de l’amalgame qui fait se tenir prête l’armée des idéologues « vivrensemblistes », amis de quartiers et de la diversité, qui travaillent à convaincre ceux que la récurrence de ces faits finit par rendre soupçonneux que ces événements ne sont ni la norme ni la tendance de ces quartiers (où il fait bon vivre le reste du temps ?).

La vérité est que ce procès pourrait être, devrait être celui de notre époque tout entière. Nous avons voulu un monde où l’on puisse jouir sans entraves, nous l’avons ; un monde débarrassé des vertus ringardes où l’on ne diffuse plus timidement qu’un ersatz de morale dans quelques cours d’éducation civique au collège, nous l’avons ; un monde sans frontières qui fabrique des déracinés et des déboussolés, nous l’avons ; un monde sans foi, nous l’avons ; sans loi ? Si, quelques-unes, mais qui ne peuvent rien contre le réveil des intempérances provoqué par l’éloge de l’individualisme nombriliste. Les horreurs vécues dans des caves par ces jeunes filles sont moins une anomalie qu’une conséquence inévitable du monde que nous avons créé.

Dans La Civilisation de la Renaissance en Italie (1860), Jacob Burckhardt écrit ceci : « Enfin l’Italie, ce pays où l’individualisme arrive sous tous les rapports à son extrême limite, a produit quelques hommes d’une scélératesse absolue, qui commettent des crimes pour le crime même, qui le regardent comme un moyen d’arriver, non plus à un but déterminé, mais à des fins qui échappent à toute règle psychologique. » Nous pourrions citer, encore, l’intemporelle leçon de sagesse de Bossuet (« Dieu se rit des prières qu’on lui fait pour détourner les malheurs publics, quand on ne s’oppose pas à ce qui se fait pour les attirer ») et militer pour qu’en plus des monstres, nous jugions aussi un jour leurs Dr Frankenstein.


Jonathan Sturel

Source 

Pour la LDH, ramadan : bien ! Crèches : pas bien !

 
Pourquoi la Ligue des droits de l’homme ne trouve rien à redire à ce que la mairie de Paris, depuis 2001, se mette en quatre pour fêter des nuits du ramadan à 100.000 euros mais porte plainte pour cause de présence de crèches dans les mairies ? Parce qu’« une crèche de la Nativité, c’est extrêmement marqué religieusement » alors que le ramadan, lui, c’est… « une manifestation festive » ! Ainsi l’explique la présidente de la LDH à Midi libre en réponse aux reproches « d’une partie de la droite » de favoriser l’un au détriment de l’autre.

Une manifestation festive, le ramadan ? Rien à voir avec la religion, le ramadan ? Cette retraitée de l’enseignement qu’est la présidente de la LDH montre pour le moins une ignorance crasse ou une hypocrisie sans nom, quand on sait que le ramadan est l’un des cinq piliers de l’islam ! Autrefois, les mauvaises langues auraient accusé madame la présidente d’avoir fait ses études chez les Jésuites…
Mais le cheval de bataille de la LDH, on l’a compris, c’est la religion catholique. Et cette bonne dame Dumont de se féliciter d’attaquer « pratiquement systématiquement » les mairies qui ont exposé des crèches ou rendu des arrêtés contre le burkini. Ainsi, selon sa grille de lecture, crèches et interdiction du burkini – vêtement religieux par excellence ! – représentent toutes deux des atteintes à la laïcité !

Nous en sommes là. À subir en même temps – au nom de la laïcité – les interdictions de signes chrétiens et les autorisations de signes musulmans. 

Ce qui revient à dire qu’au nom de cette laïcité complètement détournée, l’État français s’entend à implanter la religion musulmane en extirpant petit à petit notre passé chrétien millénaire. En outre, quelle aubaine pour les défenseurs de l’islam : la loi, lit-on dans Le Monde, de toutes façons, ne prévoit rien « concernant le fait, pour une administration publique, d’organiser une fête à destination d’une communauté »

Non, ce qui l’embête, cette brave dame, c’est que les tribunaux administratifs, à propos de la légalité ou pas des crèches dans les mairies ou sur le port du burkini, « ont à chaque fois une interprétation extrêmement différente ». C’est vrai, ça, sauf qu’à part part semer la zizanie et la confusion partout, voire à rendre tout le monde marteau, on ne comprend pas pourquoi, justement, chacun est autorisé à rendre des verdicts opposés…

Encore une année à la tête de la LDH et mâme Dumont pourra aller planter ses salades. Une année encore « compliquée » et « malsaine » – c’est ainsi qu’elle voyait son mandat. À cause de quoi, vous demandez-vous ? Mais « en raison de la forte montée de l’extrême droite », pardi ! disait-elle après les attentats de janvier…
Mais ce qui fait le plus enrager cette ligueuse de fond (depuis 35 ans à la LDH) ? C’est « quand on en rajoute sur les racines chrétiennes de la France ». Qu’on en rajoute ? Mais alors, madame la retraitée de l’enseignement l’avoue : nos racines sont chrétiennes ! Oh ?

Caroline Artus

Source 

Une crèche incendiée dans une église : c’est forcément la bêtise…

La crèche de la cathédrale de Saint-Étienne (Loire) a été détruite vendredi 6 janvier, jour de l’Épiphanie, par un incendie volontaire. Le feu aurait été mis à la paille par une ou plusieurs personnes. Jusqu’à présent, l’on comptabilisait les voitures brûlées le soir de la Saint-Sylvestre – tradition désormais bien établie en France. Devrons-nous, désormais, ajouter l’incendie des crèches des églises à la liste de ces coutumes festives de fin et de début d’année dans notre pays ? En effet, le 8 décembre 2016, jour de l’Immaculée Conception, c’était la crèche de l’église Notre-Dame de Metz qui était incendiée, rappelons-le.

Pour l’instant, on ne sait rien sur les auteurs de ce délit puisqu’il n’a été procédé à aucune interpellation. On ne sait rien mais le maire LR de la ville sait déjà beaucoup de choses : « Nous devons nous interroger collectivement sur le sens de ce type de méfait où la bêtise le dispute à l’ignorance de ces auteurs. » Donc, M. le maire sait que, derrière cet acte, il y a la bêtise et l’ignorance. Forcément.
À titre de comparaison, lorsque le 26 décembre dernier des tags antisémites avaient été découverts sur les murs de l’école Anne-Frank de Montreuil, pas à un seul instant l’hypothèse n’avait été émise que ces graffitis pussent être l’œuvre de la bêtise et de l’ignorance. Forcément.

À Saint-Étienne, acte antichrétien ? On n’en sait rien, mais cela semble d’ores et déjà impensable. Tout au plus le maire parle d’une profanation, mais en prenant toutes les précautions oratoires qui s’imposent : « Comme toute profanation de tout lieu de culte et quel qu’il soit, cet acte est inadmissible. » Et, évidemment, en atténuant immédiatement son propos par l’évocation de la bêtise et l’ignorance. 

Les grandes orgues de l’indignation ne déploient par leur faste comme cela, aujourd’hui, en France. Autrefois, il y avait les enterrements de 1e, 2e et jusqu’à la 6e classe. Aujourd’hui, c’est un peu pareil pour l’indignation. Une église catholique profanée, pour avoir droit à la première classe, c’est-à-dire aux tweets, communiqués d’un ou plusieurs ministres, voire du premier d’entre eux, il faut y mettre le paquet, le flagrant délit est requis. Je ne vous parle même pas du supplément, le nec plus ultra, je veux parler du déplacement in situ, toutes affaires cessantes, d’un ou plusieurs ministres. Le gros bourdon des valeurs de la République ne se met pas en branle comme ça non plus – qu’est-ce que vous croyez ! – pour faire entendre ces mots qui, à force, c’est vrai, sonnent tout de même un peu creux : « inqualifiable », « abject », « odieux », « intolérable », « acte qui ne restera pas impuni »… Tous ces fastes sont réservés aux œuvres et pompes de la bête immonde, pas de la bêtise.

Du reste, ne perdez pas votre temps à aller voir ce que le ministre de l’Intérieur, chargé des Cultes, aurait pu tweeter pour cette malheureuse affaire de crèche. Je l’ai fait pour vous. Rien. Si – ironie d’un soir et du sort : un tweet posté vendredi à 17 h 00, à peu près à l’heure où a été commis l’incendie, pour évoquer les vœux de François Hollande aux autorités religieuses.

Le communiqué de l’évêque du lieu, Dieu merci, « ouvre le champ des possibles », comme on dit parfois dans le jargon jargonnant : « Laissons la police faire son enquête afin qu’elle définisse s’il s’agit d’une bêtise d’adolescent ou d’un acte de malveillance. » La malveillance d’un adolescent est possible aussi, tout comme la bêtise d’un vieux. Mais bon, mettons…

En tout cas, un mot semble exclu à Saint-Étienne : 
christianophobie.

Georges Michel 

Source 

Calais : un appel aux citoyens va être lancé pour nettoyer l’ex- »Jungle »

 

 


Des tubes de dentifrice, des sacs de couchage, des bouteilles en plastique écrasées… Deux mois après son démantèlement, la « Jungle » n’est toujours pas propre. Rien de catastrophique mais les restes du camp de migrants sont encore bien visibles. En parcourant les 40 hectares désormais déserts, on s’aperçoit que le site est encore loin d’avoir retrouvé son aspect originel.

 L’établissement public propriétaire des 20 hectares de la moitié nord de la lande, va lancer un appel aux volontaires pour enlever le plus gros des détritus qui jonchent encore le sol du site. « Il s’agit de permettre aux habitants de se réapproprier les lieux à travers une opération citoyenne », estime Loïc Obled, délégué Manche-mer du Nord au Conservatoire du littoral. Mais ce sera une opération symbolique. »

Natacha Bouchart, maire de Calais, n’est pas contre cette idée de faire participer les habitants au nettoyage : « Le Conservatoire du littoral a l’habitude de faire participer les habitants à ses actions, alors pourquoi pas », a-t-elle expliqué dans La Voix du Nord.

Source