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mardi, 17 janvier 2017

Le bio aussi passe au halal

 

 

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Vous pensiez consommer des produits respectueux des animaux et de notre traditions en choisissant le bio? Détrompez-vous. De nombreuses marques sous couvert de ce label ont aussi fait le choix, apparemment compatible, de se soumettre aux préceptes islamiques. Cautionnant ainsi souffrance animale, risques sanitaires et financement du culte par l'entrée dans la charia.

Le marché halal: une «tradition» qui remonte à 30 ans

L’anthropologue Florence Bergeaud-Blackler pour son livre : Le marché halal ou l’invention d’une tradition (Seuil). 

1300 milliards de dollars par an: le marché halal s’étend à la surface de la planète. De la viande au tourisme en passant par les médicaments, la mode, les produits de maquillage et même l’eau, le marché halal est le mariage lucratif entre le néo- libéralisme et le fondamentalisme islamique pour la chercheuse du CNRS, la seule en France à travailler depuis plus de 20 ans sur ce sujet devenu sensible. Loin d’être issu d’une tradition qui remonterait aux origines, le marché halal s’est construit en plusieurs étapes à partir de la Révolution iranienne de 1979. Il bénéficie aujourd’hui de la finance et du marketing islamiques qui ont créé un consommateur musulman. En 30 ans, le marché halal est devenu le vecteur de diffusion d’un islam intégral qui séduit particulièrement les jeunes dans de nombreux pays.

Geneviève Delrue

 

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La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

Tahar ben Jelloun, l’école catholique et l’islamisation en douceur

Lu sur le blog de l'abbé Pagès :

"De nombreux parents d’élèves catholiques m’ont interpellé au sujet de l’entretien de Tahar ben Jelloun paru dans la livraison de décembre 2016 de la revue « Famille et éducation » (pp. 58-60), tirée à 900 000 exemplaires, par l’APEL, l’Association des Parents d’élèves de l’École Libre. J’ai alors décidé de vous présenter la critique de cet entretien parce qu’il est exemplaire de la façon dont la propagande islamique est instillée actuellement en Occident, et de la complicité avec laquelle celle-ci est reçue par des institutions ecclésiales, lesquelles collaborent de ce fait activement à notre islamisation programmée, chose si grave qu’elle appelle sans aucun doute l’interrogation du Christ : « Quand le Fils de l’homme reviendra, trouvera-t-Il encore la Foi ? (Lc 18.8) ». [Lire la suite]

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Canada: le ministre de l'Immigration est un musulman

 

 
Ahmed Hussen, ancien réfugié, député musulman de 39 ans, devient ministre de l'Immigration du gouvernement Trudeau. Arrivé au Canada à 16 ans pour fuir la guerre qui faisait rage en Somalie, Ahmed Hussen a relevé le défi de l'intégration en restant une forte personnalité de la communauté somalienne au Canada. Il est très impliqué dans le monde associatif et le militantisme, il a occupé les postes prestigieux de président du Congrès somalien canadien et d'avocat en droit de l'immigration. Ahmed Hussen est le premier homme politique somalien à accéder à un poste aussi important d'un gouvernement canadien. Le nouveau ministre canadien de l'Immigration confie avec une profonde sincérité: «Mon expérience personnelle d'immigrant au Canada, mais aussi d'avocat en droit de l'immigration et de militant au sein de la communauté me sera utile.» Il va sans dire qu'il s'agit là d'une démonstration de tolérance et d'universalisme de la part du Premier ministre canadien, Justin Trudeau.

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«Si on avait su...»

Courageuse, généreuse, Lydie est la seule maman qui témoigne à visage découvert. Elle fait aussi de la prévention dans la région. «  Lorsque ma fille est partie vivre à Lille pour sa prépa littéraire, elle s’est intéressée à l’islam. Elle s’est mise à fréquenter une mosquée. Puis ses copains l’ont trouvée changée. Elle mettait un voile en dehors, quand on ne la voyait pas. » Pour un double cursus, la jeune femme part en Allemagne en 2012, à Leipzig : « Je me dis que si ça se passait aujourd’hui, on aurait mieux compris et jamais on n’aurait financé des études en Allemagne. On l’aurait gardée près de nous. Mais c’était avant les attentats.  » Elle y rencontre en septembre son compagnon, proche d’une mouvance salafiste, sous surveillance policière. En février, ils vivent ensemble, se marient cultuellement. Lorsque ses parents la retrouvent, elle porte un niqab. 


« On a eu une relation très conflictuelle, on ne comprenait pas. On a déjà fait 1 600 km pour les voir une heure. Elle voulait qu’on rejoigne ses idées… L’emprise vient du groupe de Leipzig. Ma fille et son mari disaient qu’ils connaissaient du monde à la mosquée. Il y avait chez eux une salle prévue uniquement pour les femmes.

En novembre 2014, on a appris qu’ils étaient partis en Syrie. Les frères musulmans sont venus vider l’appartement, ils ont même pris le parc en bois qui appartenait à ma fille étant petite. Sûrement pour d’autres familles, ils sont très organisés. » 

S. f.-p

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