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"Dans une interview au journal La Fede Quotidiana, le 9 janvier, Carlo Liberati, archevêque de Pompéi, tient des propos très iconoclastes contre la politique d’immigration européenne.
Il s’indigne que l’on oublie les « pauvres vieux Italiens qui cherchent à manger dans les poubelles et ne peuvent pas se soigner, pendant que les enfants sont partis à la plage », et de voir « des migrants jeter leur repas ». Il estime que « la Pologne et la Hongrie ont raison quand elles veulent se protéger contre un flux incontrôlé, une invasion qui pourrait mettre en danger les traditions et les valeurs religieuses ».
Qui rend-il responsable de cette situation ? Pas les musulmans, pas l’islam mais les lois injustes, le « no kid », le manque de « vraie vie chrétienne » : « L’Italie et l’Europe font des lois qui vont contre Dieu et ont des coutumes qui ne parlent que de paganisme », « Eux font des enfants et nous non », « L’Église fonctionne peu, les séminaires sont vides sauf les paroisses qui sont encore soutenues mais il manque une vraie vie chrétienne ».
Manque de vie chrétienne ou répression de la vie chrétienne, y compris aujourd’hui par l’Église elle-même ?Les musulmans ont usé et abusé du cliché de « l’islam des caves », rappel « subliminal » du « christianisme des catacombes ».[...]
Joseph Fadelle, Irakien musulman devenu chrétien, auteur du livre Le prix à payer, explique qu’un site Internet permettant à des personnes de pays musulmans de discuter de religion réunit, notamment, à sa connaissance 120.000 convertis au christianisme rien qu’en… Arabie saoudite. Mais il est le seul à y paraître sous son nom véritable, les autres utilisent des pseudonymes et les intervenants ne s’échangent aucune adresse… Une « Armée du salut des ombres », en quelque sorte.
Comme si cela ne suffisait pas, l’injonction au silence vient aussi des milieux catholiques. Ainsi, il a été demandé à Joseph Fadelle de ne pas trop s’exprimer sur l’islam… Ainsi, Aquila de France, Algérienne née dans une famille musulmane, raconte dans son autobiographie Pour un monde sans islam qu’un prêtre à qui elle demandait le baptême lui a reproché de ne pas comprendre l’islam…Une association catholique, « Forum Jésus le Messie », s’est constituée en 2010 pour soutenir l’accueil des convertis venus du monde musulman. Elle réunit des religieux orientalistes de haut niveau : les pères Samir Khalil Samir, Pierre-Marie Soubeyrand, Édouard-Marie Gallez, Fabrice Loiseau, Guy Pagès, Dominique Rey… Son prochain « Forum » se tiendra les 4 et 5 février à Lyon."
10:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Affirmant cela, je ne dis pas bien sûr que les positions des candidats sur les questions économiques, sociales et sociétales n’auront pas d’importance. Elles seront même sans doute décisives pour la sélection du premier tour et notamment dans les choix des électeurs chrétiens très majoritairement (catholiques de conviction et protestants évangéliques) attachés au respect de la vie innocente, de la famille et des libertés scolaires.
Car, même si cela ne représente que 3 à 5 % de l’électorat, ce n’est pas marginal, cela peut être très déterminant pour la désignation des deux compétiteurs parmi le trio actuel des possibles : Marine Le Pen, François Fillon et Emmanuel Macron. Je crois que ce dernier est idéologiquement le plus exécrable des trois.
Les militants cultivés de la droite de conviction savent ce que recouvre un discours de « progressisme » et « d’émancipation », vocabulaire idéologique aussi vieux que celui des « philosophes » et « pédagogues » rousseauistes des ténébreuses « Lumières ». Progrès en effet vers le « meilleur des mondes » et émancipation de la loi morale naturelle. On aura l’occasion de revenir sur ses autres aspects de grandiloquent vendeur d’utopie. Mais sur la question de l’islam, déterminante, il est jusqu’ici creux, démagogique, nul.
Sa défaite, rien que pour cela, devrait être assurée dès le premier tour, du moins si chez les deux autres il y en a au moins un (ou une) à le défoncer sur cette question décisive aux yeux de plus en plus de Français. Car, sur ce point au moins, ces derniers rejettent l’idéologie de l’antiracisme, socle nihiliste du néo-totalitarisme.
Fillon, notamment sur cette question de l’islam, n’a pas du tout laissé un bon souvenir. Dans son livre « La cause du peuple » que je trouve globalement superbe, Patrick Buisson rappelle le triste épisode de l’inauguration par Fillon de la mosquée Al-Ihsan à Argenteuil le 28 juin 2010 avec son éloge débile d’un prétendu « islam de France ». Et Buisson nous révèle que Fillon toujours fit tancer par son directeur de cabinet, le pitoyable Jean-Paul Faugère, la courageuse Jeannette Bougrab alors secrétaire d’État à la jeunesse. N’avait-elle pas commis le crime d’avoir répondu dans un entretien au Parisien : « Je ne connais pas d’islamisme modéré… Il n’y a pas de charia light ».
Or, la pseudo-innovation islamique au VII° siècle n’a été qu’une formidable hérésie de régression barbare, transmise par Mahomet ou par les manipulateurs de ses propos, avec leurs innombrables versets de haine et d’appel au meurtre dans le Coran et les Hadîths. L’islam n’est pas dans la continuité du Décalogue parachevée dans l’infinie plénitude de l’amour du Christ.
Ce n’est pas grâce à l’islam mais malgré l’islam que nombre de musulmans ne sont pas dans le registre de la haine. Mais Fillon aura-t-il le courage, qui lui vaudrait d’ailleurs un immense courant de sympathie chez la majorité des Français, de dire que l’on peut et doit aimer les musulmans tout en refusant la théocratie totalitaire islamique dont il faut les aider à se libérer ?
SourceQuant à Marine, qui, philippotiquement, ne se veut ni de droite ni de gauche, et dont la position de respect du grand tabou de l’IVG n’est pas si différente de celle de Fillon, demeurera-t-elle comme lui sur un discours, évidemment bidon, de croyance en la compatibilité de l’islam et de la République ? Mais n’a-t-elle pas, d’ailleurs, comme son père Jean-Marie Le Pen, un peu trop de complaisance pour une réalisation de cette compatibilité qui s’appelle « République islamique d’Iran » ? Refuser l’immigration, c’est bien. En dénoncer et vouloir combattre l’aspect le plus dangereux chez nous, l’islam, c’est mieux ! Nous aurons l’occasion d’y revenir. [...]"
10:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
"[...] La tendance est donc nettement à l'accentuation de ce phénomène de «bandes». Leur violence toujours plus désinhibée n'est guère freinée par des moyens policiers très vite submergés par le nombre. Quant au système judiciaire, il est dépassé, d'une part du fait de la difficulté de rassembler les preuves contre les participants à ces razzias, et d'autre part, en raison de l'entrave que constitue l'ordonnance de 1945 applicable aux nombreux participants mineurs: lorsque ceux-ci sont arrêtés, leur remise en liberté assortie d'une lointaine convocation chez le juge des enfants n'a en effet pas grand-chose de dissuasif.
Certains des casseurs seraient rentrés dans un appartement privé pour le saccager. N'y a-t-il pas un risque d'un basculement collectif dans l'autodéfense?
Non seulement la propriété privée n'est pas un frein à la violence, mais elle constitue manifestement une incitation.Comme certains des commentaires recueillis par la presse auprès de riverains de Juvisy concernés le montrent, de tels phénomènes ne peuvent sur la durée qu'inciter les résidents à envisager leur sécurité différemment.
Plutôt que le terme péjoratif d'autodéfense, je préfère l'expression légale de légitime défense, qui permet à un individu qui est soumis à une agression d'utiliser la violence pour se défendre ou défendre des tiers (famille, voisins…). À cet égard, il est intéressant de rappeler que le Code pénal prévoit une présomption de légitime défense spécifique pour «celui qui accompli l'acte pour se défendre contre les auteurs de vols ou de pillages exécutés avec violence» (article 122-6-2e).
Lorsque l'irruption dans un appartement se produit la nuit, cette présomption se combine à celle prévue par le 1er alinéa de ce même article 122-6 du Code pénal, qui présume de la légitime défense de «celui qui accomplit l'acte pour repousser, de nuit, l'entrée par effraction, violence ou ruse dans un lieu habité».
Il va de soi que si, dans un monde idéal, il appartient à la police et à la gendarmerie de protéger les populations, personne ne pourra sérieusement reprocher à un père de famille de défendre sa famille y compris par la violence si les forces de l'ordre n'ont pu empêcher l'agression subie, qu'elles aient été débordées ou que, trop peu nombreuses, elles soient tout simplement absentes.
Les politiques proclament leur refus des zones de non-droit mais ont-ils selon vous pris la mesure de cette violence endémique?
On sent un embarras politique autour de cette question. Si certains ont la lucidité de reconnaître l'existence de «zones de non-droit» sur notre territoire, d'autres dans un mélange d'angélisme, de déni et d'incantation, prétendent toujours qu'elles n'existent pas.
La réalité permet de jouer sur les mots: s'il n'existe aucun endroit du territoire qui soit totalement et en permanence inaccessible aux forces de l'ordre et aux services de secours, certaines zones ne font plus l'objet que d'intrusions ponctuelles d'effectifs en nombre, pour les besoins d'une opération précise et pour une durée limitée. Mais en pratique, les forces de l'ordre n'y sont plus présentes au quotidien, état d'urgence ou pas.
D'une façon générale, les hiérarchies préfectorales et policières n'hésitent plus à décourager, voire à interdire verbalement aux équipages de sécurité publique de se rendre dans tel ou tel quartier, sous le prétexte édifiant de ne pas «provoquer». La même logique conduit à stationner les unités de CRS ou de gendarmes mobiles à l'extérieur des périmètres les plus chauds. La crainte quotidienne des autorités est qu'un «incident», comme on appelle pudiquement les guets-apens contre les policiers, gendarmes ou pompiers par des bandes agressives et souvent armées, ne conduise les fonctionnaires à ouvrir le feu pour se dégager, ce qui constituerait l'étincelle que chacun redoute avant un enchaînement de grande violence.Il faut avoir la lucidité de comprendre deux choses. D'abord, ces bandes sont constituées autour d'une logique ethnico-territoriale, et leur développement est une des nombreuses conséquences néfastes de la communautarisation de la société. Ensuite, corollaire du point précédent, ces bandes sont mues par une haine de notre pays, qui s'exerce contre ses représentants (les forces de l'ordre) et ses habitants, comme dans les transports ou bien à Juvisy samedi.
Il s'agit donc d'un phénomène d'une gravité extrême, à la fois par ses causes éthiques et par son expression.
À cet égard, je suis sidéré de constater que la question de ces violences en bandes ethnico-territoriales est quasiment absente des débats politiques actuels, qu'il s'agisse des primaires de droite ou de gauche ou des déclarations publiques des autres candidats. À supposer que l'explosion générale de violence redoutée par la plupart des professionnels ne survienne pas d'ici à la prochaine élection, il est crucial que notre prochain président de la République prenne conscience de ce que les tensions ont désormais atteint sur différents points de notre territoire un degré paroxysmique, et nécessiteront d'autres initiatives que les éternelles condamnations de circonstance pour éviter une réaction en chaîne dont chaque jour nous rapproche."
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Donner l'aumône aux migrants errant dans les villes n'est pas seulement mauvais, mais aussi moralement nocif parce que nous encourageons leur comportement et ils s'habituent à cela, sans mentionner le fait que nous les nourrissons déjà.Selon lui, cette “invasion pourrait mettre en danger les traditions et les valeurs religieuses” de l’Europe.
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