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jeudi, 19 janvier 2017

Trappes (78): opérations antiterroristes dans le « bastion du djihadisme français »

 

 
Hebergeur d'imageUne vague de perquisitions et d’interpellations a été menée mardi dans cette commune des Yvelines, « bastion » du djihadisme français.

Les enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) épaulée par le Raid ont investi plusieurs appartements des quartiers populaires de la ville de Trappes, dans les Yvelines. Selon différentes sources, certains des individus interpellés seraient en lien avec des « Trappistes » combattants en Syrie. D’autres sources font état de l’achat de matériel « sensible » nécessaire à la préparation d’attentats. Contacté par Le Point, le parquet antiterroriste n’a pas répondu à nos sollicitations. Le ministère de l’Intérieur a confirmé l’information, mais ne souhaite pas « faire plus de commentaires à ce stade de l’enquête ». La direction de la DGSI, quant à elle, « ne souhaite pas communiquer sur une enquête en cours ».(…)

Depuis plusieurs mois, Trappes fait l’objet d’une attention particulière de plusieurs services de renseignements français. Près d’une centaine de jeunes hommes et femmes parfois avec leurs enfants ont rejoint les rangs de l’organisation État islamique dans les zones de combat en Irak et en Syrie ces dernières années.  (…)

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Remous autour de la grande Mosquée de Marseille

Alors que les travaux de la grande Mosquée de Marseille devraient débuter en décembre prochain, une demande de permis de construire devait être formulée le 15 mai avant la fin du mois en cours, des voix s´élèvent déjà pour s´opposer à ce projet. Ces opposants ont même exigé de Jean-Claude Gaudin, maire de Marseille, de surseoir à toute décision concernant le permis de construction. D´ailleurs, un recours d´annulation a été déposé auprès de la Cour d´Appel de Marseille. Mais le prétexte avancé a trait au fait que le budget serait augmenté passant de 8 à 22 millions d´euros. Ce qui, selon les opposants, dénaturerait l´esprit du projet, particulièrement sur la durée du bail qui se transformerait en achat du terrain par l´association musulmane.

Paris : animateur de la ville, Nassim, pédophile présumé, s’était enfui en Algérie

Un homme de 24 ans, , Nassim H, vient d’être écroué après avoir été mis en examen pour une agression sexuelle sur une mineure de 10 ans à Paris. Les faits remontent à l’été 2016. Le suspect s’était réfugié en Algérie après les faits. De retour en France la semaine dernière, il a été interpellé à sa descente d’avion, mis en examen et écroué. . Les investigations se poursuivent afin d’identifier d’éventuelles autres victimes.




Employé comme animateur par la ville de Paris, le suspect s’en était pris à une fillette, le 28 juillet dernier, alors que cette dernière regagnait le domicile de ses parents, du côté du boulevard de la Chapelle dans le XVIIIe arrondissement.

Après avoir agrippé sa victime par un bras, l’agresseur l’a ensuite forcée à le suivre dans le hall d’un immeuble avant de descendre dans les caves. Il l’a ensuite menacé de mort à plusieurs reprises avant de prendre la fuite.

Sous le choc, la fillette a trouvé refuge auprès de proches. Ces derniers ont aussitôt alerté la police. Un minutieux travail d’investigations a permis d’isoler un ADN sur les lieux des faits. Enregistré dans le fichier national automatisé des empreintes génétiques (Fnaeg), il a rapidement « matché » avec celui d’un homme, connu pour infraction à la législation sur les stupéfiants. […]

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Viry-Châtillon: les gardes à vue prolongées

Les gardes à vue des onze personnes interpellées hier matin dans l’enquête sur l’attaque de policiers début octobre à Viry-Châtillon ont toutes été prolongées de 24 heures aujourd’hui.


« Sauf alibi solide pour l’un des suspects le jour des faits, nous irons a priori au bout des 96 heures », durée maximale de la garde à vue pour ce type d’affaire, a indiqué une source policière. « Le gros du travail a été fait en amont pour recueillir un maximum de d’éléments mais les prochaines heures vont être décisives », a ajouté cette source.

Les auditions, menées par les enquêteurs de la Sûreté départementale de l’Essonne, doivent permettre « d’entendre et de confronter des personnes, dont certaines sont susceptibles d’avoir participé aux faits », avait expliqué mardi le parquet d’Évry. Le contenu des téléphones portables et du matériel informatique saisis lors des perquisitions doit également être analysé.

Sur les onze interpellations, neuf se sont déroulées dans le quartier difficile de la Grande Borne à Grigny, ville voisine de Viry-Châtillon. Les deux autres, ont eu lieu à Étampes, dans le sud de l’Essonne, et en Seine-et-Marne.

Neuf majeurs et deux mineurs

Le groupe de suspects compte neuf majeurs, dont quatre étaient mineurs au moment des faits, et deux mineurs âgés de 17 ans. Deux d’entre eux font déjà l’objet d’une mise en examen et d’un placement sous contrôle judiciaire dans le cadre d’une autre affaire dans le Val-de-Marne. Un troisième, régulièrement interpellé par la police, a déjà été condamné pour des violences volontaires par le tribunal pour enfants.

Dans cette enquête confiée à deux juges d’instruction, un adolescent de 17 ans, soupçonné d’avoir participé à la confection des cocktails Molotov utilisés lors de l’agression, a déjà été mis en examen et écroué début décembre, avant d’être remis en liberté. Un second mineur âgé de 15 ans, soupçonné aussi d’avoir participé à la fabrication des engins incendiaires, avait été placé sous le statut de témoin assisté, intermédiaire entre la mise en examen et l’état de simple témoin.

Le 8 octobre, une quinzaine d’agresseurs avaient incendié deux voitures de police, occupées par quatre agents en mission de surveillance près d’un feu rouge connu pour ses vols avec violences sur des automobilistes.

L’agression, qui avait grièvement brûlé deux policiers et blessé plus légèrement les deux autres, avait déclenché un mouvement de fronde, inédit par son ampleur, chez les policiers.

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Toujours plus d’immigrés en France, et toujours moins d’expulsions !

 
Toujours plus d’immigrés en France, et toujours moins d’expulsions !
 
Ce sont les statistiques officielles sur l’immigration, rendues publiques hier, qui le disent, et Le Monde qui en livre le détail : l’an dernier, la France a « délivré 4,6 % de premiers titres de séjours de plus que l’année précédente » et les « sorties forcées du territoire » ont enregistré « une baisse de 16,3 % » : « La France a délivré 227 550 premiers titres de séjour en 2016, soit 4,6 % de plus qu’en 2015 », et ceux qui se présentent comme des réfugiés « en ont été les premiers bénéficiaires, puisque quelque 32 285 leur sont revenus, soit 41 % de plus que l’année d’avant. »
 
Quant à ce qu’on appelle les « éloignements forcés », il « globalement plongé de 16,3 % » pour ne concerner que 12 961 personnes…
 
Pïre encore : la Direction générale des étrangers de France (DGEF) « comptabilise plus de 2,3 millions de titres en cours de validité au 31 décembre, soit 20 % de plus qu’en 2010. Ce sont surtout les documents provisoires qui ont explosé (+ 26 % en six ans), pour atteindre quasiment 250 000 ».
 
« Pourtant, ajoute Le Monde, les naturalisations, notamment par décret, continuent leur remontée engagée en 2012, avec le quinquennat Hollande. En 2016, 68 067 personnes en ont bénéficié (10,6 % de plus qu’en 2015) »
 

Syrie/Alep : le seul résultat des rebelles, c’est la destruction !

 

A la mosquée des Ommeyyades par bvoltaire
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À la célèbre Grande Mosquée des Omeyyades désormais en ruines, Charlotte d’Ornellas a tendu son micro aux Alépins. Leur jugement sur les rebelles est sans appel : ce sont des ignorants qui ont été attirés par l’argent et ont vendu leur pays.

Saccages à Juvisy-sur-Orge : un remake d’Orange mécanique !


C’est à un remake d’Orange mécanique qu’ont été confrontés, samedi soir, les habitants du Plateau, un quartier de Juvisy-sur-Orge dans l’Essonne. Après Viry-Châtillon, c’est la deuxième fois que ce département attire l’attention des médias. Certes, ce n’est pas le seul à défrayer la chronique sécuritaire, mais c’est celui dont est issu l’ancien Premier ministre, actuel candidat aux primaires de la gauche, Manuel Valls. Et on ne peut s’empêcher de rapprocher ces événements des discours triomphalistes, en matière de sécurité, de celui qui fut, un temps aussi, ministre de l’Intérieur.

Ainsi, en plein week-end, une vingtaine de jeunes, cagoulés et armés de barres de fer, de battes de baseball et de machettes, ont fait irruption sur la voie publique, détruisant voitures et halls d’immeubles. Un appartement a même été saccagé, alors que ses occupants (dont un enfant) s’y trouvaient encore. Fort heureusement, il semblerait que ce règlement de comptes entre bandes rivales – puisque c’est de cela qu’il s’agirait – se soit achevé de manière moins dramatique que le film de Stanley Kubrick. Il n’empêche, une telle violence déployée en pleine rue, à une heure où de nombreux passants peuvent circuler, ne peut que poser de nombreuses interrogations sur l’état sécuritaire dans lequel se trouve notre pays.

Depuis des mois, malgré la présence sur le terrain de nombreux militaires et policiers dans le cadre de la lutte antiterroriste, la délinquance ne cesse de s’aggraver. Les chiffres ont été soigneusement « travaillés » par le ministère de l’Intérieur pour que le bilan du quinquennat puisse s’achever sur une note pas trop noire, comme ce sera sans doute le cas dans d’autres domaines (chômage, dette). Mais les faits sont là, têtus, attestant du fait que nombre de nos quartiers deviennent de véritables coupe-gorge.
Ce nouveau fait divers, qui ne manquera pas de provoquer des déclarations tout aussi martiales qu’inefficaces, renvoie à l’organisation et au fonctionnement de nos services de police. Il aura fallu une heure et demie pour que les premiers policiers arrivent sur place et procèdent à des interpellations.

Ce délai, anormalement long, s’explique pourtant de différentes manières. 
 Tout d’abord, le jour et l’heure où se sont déroulés les faits. Le samedi soir correspondant à une période de la semaine où les effectifs en service, déjà en sous-nombre habituellement, sont les moins nombreux. Ensuite, les repos accordés au cours des fins de semaines, qui sont plus nombreux pour permettre de compenser les heures supplémentaires déjà effectuées. Par ailleurs, cette période est également celle des chevauchements d’effectifs. Les policiers en fin de journée sont sur le point d’être relevés par ceux qui feront la nuit. Ce créneau est donc peu propice à une présence importante sur le terrain. Enfin, la nécessité, pour mener ce type d’intervention, de regrouper un nombre suffisant d’agents pour pouvoir mener la mission en toute sécurité. Ce regroupement, qui peut faire appel à des effectifs venant d’autres commissariats, prend nécessairement du temps.

Ce fait divers rappelle, une fois encore, la nécessité qu’il y a à opérer une vraie réforme de nos services de sécurité. Effectifs et matériels supplémentaires ne suffiront pas à endiguer la montée de violence que connaît notre société. C’est une réforme de fond qu’il faut. À cet égard, les actuelles propositions formulées par nos candidats à la présidentielle sont d’ores et déjà insuffisantes.

 Olivier Damien

Source 

Anis Amri drogué : incompatible avec l’islam ?

 
Selon la version dominicale du Welt, journal allemand d’obédience libérale-conservatrice, Anis Amri, auteur de l’attentat de Berlin, qui a tué douze personnes, le 19 décembre dernier, était un grand consommateur d’ecstasy et de cocaïne.

Selon le même journal, il était même probablement sous influence au moment de perpétrer, au volant d’un camion, la tuerie qui a ensanglanté le marché de Noël berlinois. Pourtant, lors de son arrestation, le 23 décembre, à Milan, les policiers n’avaient trouvé aucune trace de drogue sur lui.

Que faut-il conclure de ces informations ?

Écartons d’emblée l’hypothèse, complotiste, de mensonges en série qui partiraient des services de renseignement teutons et qui auraient, ensuite, été abondamment relayés par la presse.

Néanmoins, la conjecture d’un Anis Amri drogué jusqu’au moment des faits arrange les islamophiles désireux de dédouaner la religion dans les attentats commis. 

De la même manière, ils ont souvent vu des « détraqués » n’ayant rien à voir avec l’islam plutôt que des islamistes derrière les tueries de masse.
 Ont-ils totalement tort ? Sur les substances psychotropes et enivrantes, l’islam laisse peu de place au doute : « Ô les croyants ! Le vin, le jeu de hasard, les pierres dressées, les flèches de divination ne sont qu’une abomination, œuvre du Diable. Écartez-vous-en, afin que vous réussissiez », peut-on lire dans le Coran (5:90).

A priori, être musulman et drogué est incompatible. Pourtant, le cas d’Anis Amri est révélateur d’une problématique forcément plus complexe que les islamologues et les sociologues, souvent inféodés à la pensée admise, n’ont jusqu’à présent su — ou voulu — démêler.

Nombre de terroristes ayant agi sur le territoire européen, ces dernières années, émargeaient à la petite délinquance, milieu dans lequel la drogue n’est jamais éloignée, tout en se « fondant » dans leur environnement – certains ont été aperçus en boîte quelque temps avant leurs méfaits.

Pour ces jeunes voyous, aguerris dès le plus jeune âge, donc, aux méthodes de la criminalité, tantôt pour gagner de petits revenus, tantôt sans autre but que la violence gratuite, l’islam et ses injonctions guerrières sont venus agrémenter leurs errances d’un but transcendant l’intérêt personnel, immanent et immédiat.

Il faut, dans ce cas, distinguer, d’une part, les délinquants ayant rangé leur vie passée pour vivre pleinement un islam radical et mener le petit djihad (guerre sacrée contre les infidèles) après avoir mené le grand djihad (interne, spirituel) et, d’autre part, les voyous désireux de mener la guerre sainte (en réalité une guerre contre l’Occident) sans avoir fait, au préalable, un travail spirituel sur eux-mêmes. Anis Amri semble appartenir à cette seconde catégorie.

Gregory Vanden Bruel

Source 

Jean-Paul Gourévitch : « Les demandeurs d’asile les plus nombreux sont les Albanais, pas les Syriens ! »

 

 

« Malheureusement, Juvisy-sur-Orge est tout sauf une exception ! »

 

 

Xavier Raufer : "Malheureusement, Juvisy-sur... par bvoltaire
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Un groupe d’une trentaine de jeunes, armés notamment de sabres, de machettes, et de barres de fer, a saccagé un quartier de Juvisy-sur-Orge dans la nuit de samedi à dimanche. Un véritable déchaînement de violence qui a vu des portes de hall d’immeubles défoncées, des véhicules abîmés et un appartement ravagé sous les yeux d’un père de famille et de son bébé.
Les habitants du quartier sont encore aujourd’hui sous le choc.
Réaction de Xavier Raufer.

La lettre quotidienne d'information d'Eurolibertés

 

Mahomet ou Mohamed ?

Cette question, qui a l'air anodine et ressemble à un non-sujet, est pourtant importante, car elle dénote l'état d'esprit de celui qui emploie telle ou telle orthographe du nom du "prophète". Soutenue en cela par Tareq Oubrou lui-même (!), Annie Laurent dans la Petite Feuille Verte montre que l'orthographe traditionnellement utilisée en France et fixée depuis le XVIIIe siècle, Mahomet, est une francisation du nom du "prophète" qui a toujours été utilisée dans les écrits de langue française, et que cette orthographe ne constitue en rien une dépréciation du personnage. Cette graphie de Mahomet a permis la création et l'usage du terme "mahométan", qui signifie un adepte de l'islam et rien d'autre.

Ce qui semble le plus contestable est l'emploi par des journaux catholiques et même par des ecclésiastiques, du terme "Prophète" avec une majuscule, accolé au nom de Mahomet, car cela révèle une adhésion intellectuelle à une vérité qui n'est pas celle de l'Eglise : le dernier prophète n'est pas Mahomet mais Saint Jean-Baptiste. La dhimmitude intellectuelle existe.
 
Annie Laurent estime que la formule la plus correcte pour un catholique est soit « Mahomet », soit « le prophète de l’islam ».
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Le grand remplacement, l'un des axes principaux de la campagne de Nicolas Dupont-Aignan

Nicolas Dupont-Aignan a lancé sur Twitter :

«En 2016, les socialistes compensent la baisse de natalité par l'invasion migratoire. Le changement de population, c'est maintenant!»

Au Figaro il répond :
Images-2«Si nous voulons un État en capacité d'assimiler les nouveaux venus, il faut d'urgence réguler l'afflux de nouveaux migrants». «En 5 ans, la France a accueilli près d'un million d'immigrés légaux (…) le nombre de titres de séjour accordés a encore augmenté en 2016 pour atteindre 227.550. Le nombre d'immigrés légaux annuels a ainsi explosé de 32,3% par rapport à il y a 10 ans! À cette immigration légale s'ajoute l'ensemble des clandestins qui vivent sur notre territoire en bénéficiant de l'appel d'air social, tout en profitant du laxisme socialiste en matière d'expulsions: au moins 300.000 au regard des bénéficiaires de l'AME».
«Il faut arrêter d'avoir peur des mots. Cette prise de position est tout à fait réfléchie et je brise ce tabou volontairement. Je ne suis pas pour l'immigration zéro, mais pour la prise en compte de ce remplacement rampant».
Dupont-Aignan ajoute qu'il s'agira-là de l'un de ses axes principaux de campagne, «avec la relocalisation de l'emploi». 
«Le choc démographique historique qui s'annonce en Afrique devrait être une obsession de tout futur chef d'État. La population pourrait y croître dans les années à venir d'un million d'individus. Si je suis président de la République, il y aura une carte de l'Afrique placardée dans mon bureau». 
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Fournes-en-Weppes : un calvaire profané

 

 
Christ peint rose - copie
Une « mauvaise blague » ? Vraiment ? Il s’agit d’une profanation. Et double : parce qu’il s’agit et d’un monument aux morts et d’un Christ en croix ! Souvenons-nous : « Les passants l’injuriaient en hochant la tête ; ils disaient : “Toi qui détruis le Sanctuaire et le rebâtis en trois jours, sauve-toi toi-même, si tu es Fils de Dieu, et descends de la croix !” » (Mt 27, 39-40). N’est-ce pas ajouter une nouvelle injure au Rédempteur crucifié ? En tout cas, cet acte odieux nous remémore la pensée de Blaise Pascal : « Jésus sera en agonie jusqu’à la fin du monde. Il ne faut pas dormir pendant ce temps là ». D’où, aussi, la “veille” persévérante de notre Observatoire
 
À la mairie, on n’a pas souvenir que le Christ près de l’église ait déjà été victime d’actes de malveillance. Ce lundi matin [16 janvier], un employé municipal a découvert la statue barbouillée de rose, visiblement avec un pistolet à peinture. En début d’après-midi, deux employés juchés à tour de rôle sur une échelle, étaient occupés à décaper la statue, à l’eau puis avec un produit anti tags. Une multitude de taches, à l’arrière, sur la terre, subsistaient. On ignore qui a pu commettre cet acte de vandalisme, et surtout, pourquoi – mis à part pour faire une mauvaise blague. Cette statue est située au-dessus du premier monument aux morts de Fournes-en-Weppes, 2 000 habitants, construit juste après la Première Guerre mondiale par les catholiques. Un autre monument aux morts a ensuite été édifié sur la place par le comte d’Hespel, en 1926.
 

Nantes : après les lycéens, des séminaristes visitent la mosquée de l’UOIF

Nantes : après les lycéens, des séminaristes visitent la mosquée de l’UOIF
Nantes : après les lycéens, des séminaristes visitent la mosquée de l’UOIF
La ville de Nantes possède trois mosquées monumentales  ( une 4ème est en projet). Deux d’entre elles sont fort discrètes, la mosquée Ar-Rahma contrôlée par le Maroc et la mosquée turque Osmanli. Il n’en est pas de même de la troisième, la mosquée Assalam gérée par l’Association Islamique de l’Ouest de la France AOIF, succursale régionale de la très intégriste UOIF.
Sur son site elle se présente ainsi :
« A son évident mérite, Nantes intègre au cœur de son prestigieux patrimoine, la plus spacieuse mosquée du grand ouest, la mosquée Assalam et son centre culturel Abdullah Al Darwish. Cet édifice majestueux, d’une conception architecturale admirablement fondée sur le respect de son environnement et de son immersion dans l’urbanité de notre métropole, inspire sans complexe la résurgente mémoire du fameux traité de la tolérance et de la liberté. En référence à l’épithète gravé sur le fronton de la République, la fraternité de la Nation se renforce ainsi inéluctablement par la reconnaissance des consciences ».
Un style très ampoulé qui fait penser à la takia largement pratiquée dans les milieux islamistes.
La mosquée Assalam aurait été en partie financée par « un riche Qatari » d’après certains témoignages. Elle dispose d’un centre culturel qui, lui,  a été subventionné par la Ville de Nantes sous les mandatures de Jean-Marc Ayrault à hauteur de 200 000 €. Le sulfureux prédicateur de l’UOIF Hassan Iquioussen y est venu plusieurs fois en conférence.
Cette organisation très proche des frères musulmans égyptiens tient un congrès annuel. Parmi les prédicateurs orientaux qui s’y expriment, certains s’en prennent durement aux apostats, homosexuels, juifs et invitent les musulmans à dominer l’Europe.
De leur côté, les dirigeants de la mosquée Assalam depuis 4 ans, ménent  une intense campagne de relations publiques pour s’implanter sur l’agglomération nantaise. Ils affichent également leur présence dans maintes  manifestations. Ainsi, suite à l’attentat  islamiste contre Charlie Hebdo, on vit au 1er rang du défilé nantais son jeune imam Belgacem Ben Saïd tenant la banderole « ensemble libres égaux et solidaires ».
Symbole de son influence,  plusieurs milliers de personnes participèrent en octobre dernier  à la 8ème rencontre des musulmans de l’ouest. Au cours de celle-ci, un concours de mémorisation et de récitation du Coran était organisée pour les enfants dont de nombreuses fillettes quasi intégralement voilées. A cette occasion le chargé des « actions citoyennes » à  l’AOIF devait déclarer : « notre vœu qui doit s’approcher du ‘comportement exemplaire’ prôné par l’Islam est à l’opposé des tenants de Daech qui ont une lecture erronée de l’Islam ».
Le 15 décembre dernier, une classe de terminale ES du lycée public Jules Verne de Nantes s’est rendue dans cette mosquée ( voir notre compte-rendu ) dans le cadre de cours de sciences sociales et d’histoire.
Après cette visite des lycéens, ce sont des futurs prêtres qui viennent d’aller à la mosquée UOIF Assalam de Nantes, comme le rapporte le Facebook de l’imam Belgacem Ben Saïd. La rencontre était une formation sur l’islam et le dialogue interreligieux en présence du Père dominicain  Jean-François Bour. Celui-c est responsable-adjoint du SNRM (service national des relations avec l’Islam, créé par la conférence des évêques de France qui possède une antenne en Loire atlantique).
Or ce même imam sur sa page Facebook dénonçait « l’holocauste d’Alep » commis par l’armée syrienne et ses alliés russes. Mais rien sur les chrétiens des quartiers Est d’Alep qui ont vécu quatre ans sous l’oppression des islamistes, ni sur les bombardements des quartiers Ouest de la ville, qui ont fait des milliers de victimes.
La télévision belge diffusait mercredi dernier un documentaire consacré à Zineb El Rhazoui, journaliste  marocaine, survivante de l’attentat qui a frappé Charlie Hebdo http://echelledejacob.blogspot.fr/2017/01/denominateur-co..., il y a deux ans, nous reproduisons ses propos en conclusion : « Quand tu parles avec ces gens-là, ils te disent toujours : « Ça, ce n’est pas le vrai islam, amen. OK, je veux bien les croire, mais, le vrai islam, il est où ? (…)  C’est celui des talibans, celui de l’Arabie saoudite ? Je pense que ce concept de vrai islam est douteux puisqu’il n’y a pas d’islam, il n’y a que des musulmans.(…) Sur les textes, il faut que l’on sorte de ce mythe selon lequel ‘l’islam est une religion de paix et d’amour. Pour moi, l’islam est comme toutes les autres religions, monothéistes notamment, c’est-à-dire un ensemble de textes écrits dans un contexte bédouin il y a 15 siècles.
Ces textes sont archaïques et n’ont certainement pas vocation à régir la cité aujourd’hui. Tant que beaucoup de gens continueront, d’une part, à penser que le Coran est une Constitution et que l’islam est censé régir la cité et que, d’autre part, nous avons des gens complaisants qui, dans un paternalisme insupportable, continuent à répéter qu’en réalité l’islam serait une religion magnifique, on continuera à avoir des problèmes avec la religion musulmane ».

L'immigration en hausse de 4,6% en France en 2016

PARIS (Reuters) - L'immigration a connu une hausse de 4,6% en 2016 en France, avec la délivrance de 227.500 titres de séjour, selon les chiffres diffusés lundi par le ministère de l'Intérieur. 

Les autorités soulignent l'impact des réfugiés sur le bilan, les titres "humanitaires" ayant en effet augmenté de 45%, à 19.845.

Dans le même temps, l'immigration professionnelle est restée modeste, à 22.600 titres, même si cela représente une hausse de 9,4%. Le principal motif d'admission au séjour reste l'immigration familiale, qui a cependant reculé de 2,3% à 88.000 titres.

En 2016, les éloignements forcés d'étrangers en situation irrégulière sont en baisse de 16,3 %, à 12.961 après 15.485 en 2015.

Dans le contexte du rétablissement des contrôles aux frontières intérieures, cette évolution est à rapprocher de la très forte augmentation des non admissions d'étrangers en situation irrégulière prononcées aux frontières (63.732 en 2016 contre 15.849 en 2015, +302 %), souligne le ministère.

(Gérard Bon)

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