On ne présente plus Molenbeek, petite commune bruxelloise auparavant sans histoire et désormais connue mondialement pour avoir pouponné, abrité, caché, hébergé et, dans certains de ses quartiers, célébré des djihadistes ayant semé la terreur dans le monde entier.
Deux journalistes belges, autrefois grands reporters ayant bourlingué dans les plaines afghanes et d’autres contrées en guerre, viennent de sortir un livre éclairant sur la capitale européenne du djihadisme.
Le moins que l’on puisse écrire est que le constat dressé par Jean-Pierre Martin (RTL-TVI) et Christophe Lamfalussy (La Libre Belgique), émargeant d’ordinaire à tout ce qu’il y a de plus politiquement correct (notamment sur la question des migrants), est inquiétant – même si nous ne faisions pas partie, pour notre part, et contrairement à la plupart des journalistes issus des médias traditionnels, des naïfs qui faisaient semblant de ne pas savoir.
La commune de six kilomètres carrés compte 41 lieux de prière, dont pas moins de 25 mosquées où exercent des imams radicalisés et hors de tout contrôle.
Il n’y a, d’ailleurs, plus guère de place pour la modération au sein de l’entité officiellement patronnée par Saint-Jean.
Deux journalistes belges, autrefois grands reporters ayant bourlingué dans les plaines afghanes et d’autres contrées en guerre, viennent de sortir un livre éclairant sur la capitale européenne du djihadisme.
Le moins que l’on puisse écrire est que le constat dressé par Jean-Pierre Martin (RTL-TVI) et Christophe Lamfalussy (La Libre Belgique), émargeant d’ordinaire à tout ce qu’il y a de plus politiquement correct (notamment sur la question des migrants), est inquiétant – même si nous ne faisions pas partie, pour notre part, et contrairement à la plupart des journalistes issus des médias traditionnels, des naïfs qui faisaient semblant de ne pas savoir.
La commune de six kilomètres carrés compte 41 lieux de prière, dont pas moins de 25 mosquées où exercent des imams radicalisés et hors de tout contrôle.
Il n’y a, d’ailleurs, plus guère de place pour la modération au sein de l’entité officiellement patronnée par Saint-Jean.
Une quarantaine de recruteurs, parmi lesquels une certaine « Fatima Dalton », ayant envoyé son fils au front, sillonnent la commune, de long en large, afin de recruter des candidats au djihad.
Et des djihadistes, l’entité en a fourni en nombre, au point que Mohamed Abrini, l’homme au chapeau des attentats de Bruxelles, aurait déclaré avoir été en Syrie et constaté que « tout Molenbeek y était ». Sur les quelque 500 djihadistes belges partis en Syrie, 79 proviennent de la commune.
En ligne de mire de l’ouvrage, l’ancien bourgmestre de Molenbeek, le socialiste Philippe Moureaux, dont la responsabilité est criante dans le développement du djihadisme à Molenbeek : « Sa gestion de la commune de Molenbeek, où il est seul maître à bord et ne supporte pas la contradiction, il favorise l’émergence de petits arrangements et de petits accommodements. »
Le cocktail, auquel sont mêlés la corruption, la délinquance, les trafics en tous genres et le trafic de drogue, mais aussi le chômage de masse (50 % pour les jeunes de 20-25 ans), est explosif.
Les femmes elles-mêmes n’ont pas droit de cité : « Dans le quartier historique, une fille ne peut pas s’attabler seule ou avec un homme à la terrasse d’un salon de thé. »
Cela se passe en Occident, dans la capitale de l’Europe, à quelques kilomètres des institutions européennes. À Molenbeek, la population a déjà été remplacée et les nouveaux occupants y sont déjà pleinement chez eux.
Gregory Vanden Bruel
Source
Et des djihadistes, l’entité en a fourni en nombre, au point que Mohamed Abrini, l’homme au chapeau des attentats de Bruxelles, aurait déclaré avoir été en Syrie et constaté que « tout Molenbeek y était ». Sur les quelque 500 djihadistes belges partis en Syrie, 79 proviennent de la commune.
En ligne de mire de l’ouvrage, l’ancien bourgmestre de Molenbeek, le socialiste Philippe Moureaux, dont la responsabilité est criante dans le développement du djihadisme à Molenbeek : « Sa gestion de la commune de Molenbeek, où il est seul maître à bord et ne supporte pas la contradiction, il favorise l’émergence de petits arrangements et de petits accommodements. »
Le cocktail, auquel sont mêlés la corruption, la délinquance, les trafics en tous genres et le trafic de drogue, mais aussi le chômage de masse (50 % pour les jeunes de 20-25 ans), est explosif.
Les femmes elles-mêmes n’ont pas droit de cité : « Dans le quartier historique, une fille ne peut pas s’attabler seule ou avec un homme à la terrasse d’un salon de thé. »
Cela se passe en Occident, dans la capitale de l’Europe, à quelques kilomètres des institutions européennes. À Molenbeek, la population a déjà été remplacée et les nouveaux occupants y sont déjà pleinement chez eux.
Gregory Vanden Bruel
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