Après une année 2015 marquée par une hausse exceptionnelle des demandes d’asile (de 22,1 % en un an), liée à l’arrivée de réfugiés provenant de Méditerranée, la progression des demandes se poursuit à un rythme malgré tout soutenu (+ 6,5 %) en 2016, selon un bilan provisoire publié lundi 16 janvier par le ministère de l’intérieur.
Facteur aggravant, l’année 2016 se distingue par une forte augmentation du taux d’acceptation. Plus de 30 % des réfugiés qui ont déposé un dossier, soit 26 351 personnes, se sont vu octroyer ce statut protecteur, contre moins de 20 000 l’année précédente (24 %).
Et les chiffres ne peuvent masquer l’imposture droit de l’hommiste selon laquelle les envahisseurs devraient être accueillis par devoir d’humanité envers des personnes fuyant la guerre ! En effet malgré l’ampleur de la crise syrienne, ce ne sont pas les Syriens qui sont les plus nombreux à déposer une première demande d’asile en France, mais les Soudanais, les Afghans et les Haïtiens. Et quatre pays d’Afrique figurent parmi les dix nationalités les plus représentées…
Le rapport ajoute que la France a accepté en 2016 d’accueillir 2 696 demandeurs d’asile arrivés de Grèce et d’Italie, dans le cadre de la politique de relocalisation européenne, et 3 005 réfugiés syriens provenant du Liban, de Jordanie et de Turquie.
Bien évidemment la hausse des demandes d’asile a fait augmenter le nombre total des titres de séjour délivrés à des étrangers, qui s’élève à 227 550 en 2016 ! Les admissions pour motif humanitaire ont d’ailleurs augmenté de 41 % (et de plus de 9 % pour motif économique). En 2016, 88 775 étrangers ont obtenu la nationalité française, dont moins d’un quart par le mariage avec une personne de nationalité française. Une augmentation continue après deux ans de forte hausse en 2014 et 2015.
Conséquence de la hausse des titres de séjour, le nombre d’étrangers accueillis en France en situation régulière s’élève désormais officiellement à plus de 2,8 millions soit environ 4,1 % de la population totale (chiffre, qui n’inclut pas les ressortissants de l’Union européenne), la moitié d’entre eux bénéficiant d’une carte de résident de longue durée.
Ces chiffres démontrent sans l’ombre d’un doute le phénomène à l’œuvre du remplacement progressif de la population blanche de souche par des populations extra-européenne fraichement débarquées.
Un véritable génocide français lorsqu’on relie ces évolutions migratoires aux phénomènes de la dénatalité des européens et de l’avortement massif qui prive la France de plus de 200 000 individus par an !
La France aux Français, vite !
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