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mercredi, 25 janvier 2017

Prières de rue après la fermeture d’une mosquée prônant le djihad

 

 

Islam. En décembre 2015, la mosquée de Lagny-sur-Marne avait été fermée car des fidèles avaient été soupçonnés de prôner le djihad. Depuis, des prières de rues sont organisées dans la ville.

Le maire UDI de Lagny-sur-Marne va être reçu le 15 février prochain par le ministre de l’Intérieur Bruno Le Roux. Au programme du jour ? La situation de la mosquée de Lagny-sur-Marne. Fermée en décembre 2015, la mosquée était fréquentée par des fidèles soupçonnés de prôner le djihad armé et de participer au départ de jeunes Français vers la zone irako-syrienne. 

 Par la suite, neuf personnes avaient été assignés à résidence et vingt-deux autres interdites de sortie du territoire. Mais cette fermeture a provoqué une conséquence inévitable : la multiplication des prières de rues dans la ville. “Ils sont là cinq fois par jour. Ils sont une quinzaine en semaine. Le vendredi, quand ils sont plus nombreux, ils débordent sur des espaces publics. Il est important que cette situation ne perdure pas”, affirme le maire de la ville, des propos que rapporte Le Parisien. Il souhaite rouvrir la mosquée alors que l’Etat ne le souhaite pas. 

Pour le maire de la commune, “à partir du moment où l’Etat accepterait qu’il y ait de nouveau un lieu de culte, il faut qu’une association se forme, qu’elle soit validée par les services de l’Etat”. Au contraire, si l’Etat pense que cette mosquée constitue toujours un danger, alors il faut que ce soit à l’Etat de faire “cesser les prières de rue”. 

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