Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 03 juillet 2017

Italie: Naissance du parti anti-islamisation « Je connais bien les musulmans. Voilà ce que nous risquons. »

 

 
flag-182978_960_720
 

Naissance du parti italien anti-islamisation, dont le but est d'arriver dans quelques années à 20% de suffrage. La réponse, ambitieuse et courageuse, au Parti islamique qui s'est formé autour de Hamza Roberto Piccardo, mais aussi aux politiques gouvernementales comme le droit du sol et l'intégration forcée, provient de deux journalistes assez connus: Alessandro Meluzzi, chroniqueur au Tempo, psychologue, professeur d'université et aussi célèbre pour ses discours à la télévision, et le chroniqueur du Giorno, Stéfano Cassinelli.

Telle que rapportée par le Tempo, la présentation officielle aura lieu le 4 juillet à Milan. « Le programme du Pai (Parti italien anti-islamisation) - explique une note - se développe sur divers sujets allant de la sécurité au soutien des personnes handicapées, en passant par l'immigration, l'environnement, la justice et l'économie".

Bien entendu, le thème central est le rapport entre l'Etat et l'islam, "avec la conviction que l'ensemble du problème doit être géré en se basant sur le respect de la Constitution.

Le Pai - lit-on - met le contraste de l'islamisation de la société au centre de son activité afin de défendre les normes et la culture italienne" afin de préserver "la liberté, la démocratie, la culture et les traditions italiennes dans le respect de tous".

« Je connais très bien l'islam - explique Meluzzi au Tempo, - je respecte cette religion, mais je la redoute sous nos latitudes parce que l'islam est une culture forte, alors que la nôtre est chaotique et dissolue. » Ensuite, il y a la question démographique, bien exprimée par une pensée de Hassan al Tourabi, chef des Frères musulmans: « Il prévoyait que les ventres de leurs femmes coloniseraient un Occident désormais stérile. Chaque musulman possède plus ou moins quatre femmes, dont chacune conçoit trois ou quatre enfants, et par conséquent les calculs sont vite faits. »

Le troisième facteur, et probablement le plus important aujourd'hui, l'immigration « nous ne pouvons pas assister à ce phénomène avec l'hébétement des bien-pensants et du politiquement correct. J'ai visité de nombreux pays musulmans, de la Turquie à l'Irak, où je me trouvais lors de la première guerre du Golf, et je crains que notre civilisation ne soit complètement désarmée.

(...)

Source Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch

Nos remerciements à Alain Jean-Mairet

Les commentaires sont fermés.