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vendredi, 17 novembre 2017

Saint-Denis : Chronopost ne livre plus les zones de non-droit tombées sous la coupe de la « diversité »

Des habitants de certains quartiers de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) sont en colère. Depuis plusieurs mois, ils se plaignent de ne pas recevoir à leur domicile des colis commandés via Chronopost.

La filiale du groupe La Poste aurait décidé de ne plus procéder aux livraisons dans les quartiers qu’elle considère « à risques », comme la cité du Franc-Moisin, du Delaunay-Belleville et d’autres… C’est-à-dire les zones de non-droit que les gouvernements successifs ont laissé se constituer et qui sont tombées sous la coupe des bandes ethniques qui y font régner leur « loi ».

Une « liste » de quartiers jugés sensibles à éviter

Thomas, un habitant du quartier Delaunay-Belleville, raconte au quotidien qu’il a tenté à deux reprises ces derniers mois de se faire livrer chez lui des couches pour bébé. A chaque fois, le colis est déposé au bureau de Poste situé à plus de 3 km de son domicile. « Je les ai contactés par Twitter et j’ai appris qu’ils avaient établi une liste de « quartiers sensibles » où les livraisons à domicile ne sont pas assurées », a-t-il expliqué.

Dans un courrier envoyé cet été à la mairie de Saint-Denis, le PDG de Chronopost aurait confirmé que l’entreprise avait dressé une « liste » de quartiers jugés sensibles à éviter. « Le 4 janvier 2017, un chauffeur a été agressé par trois individus à Saint-Denis », aurait-il expliqué. « Ceinturé » puis « immobilisé » contre un mur, le livreur aurait reçu des coups de poing avant d’être défaussé d’une partie de sa marchandise

Policiers, pompiers, médecins, postiers : égalité ! Tous agressés et dépouillés !

Sans honte Madjid Messaoudene, conseiller municipal délégué à l’égalité des droits à Saint-Denis (ça ne s’invente pas), s’indigne de la situation dont pourtant les siens, nouveaux envahisseurs et colons, sont les premiers responsables. Il ne se satisfait pas de la réponse de l’entreprise : « On ne peut pas condamner tout un secteur parce qu’un livreur a été agressé ».

En réalité il s’agit de plus de 51 chauffeurs qui ont été victimes de vols avec violence l’an passé ! Ça fait quand même plus qu’un seul livreur ! Certes il s’agit d’une évaluation concernant tout le territoire national mais on peut se douter que Saint-Denis figure en tête du palmarès.

Et il a demandé à Chronopost l’accès à cette fameuse liste. Sans doute pour pouvoir hurler à la discrimination lorsqu’éclatera la triste réalité de l’adéquation entre les quartiers colonisés par les envahisseurs extra-européens et les zones d’insécurité ne permettant plus aux préposés de Chronopost d’accomplir leur mission en toute sécurité ?

Le délégué du Défenseur des droits  en Seine-Saint-Denis aurait également été saisi par des habitants pour statuer sur cette affaire.

Il est plus que temps de lancer la reconquête et de les foutre dehors.

La France aux Français !

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