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dimanche, 03 décembre 2017

Procès de parents musulmans ayant frappé leur fille refusant des vêtements halal

Boulogne (62)- Lu dans La Voix du Nord du 28 novembre

«  Je tiens tout de suite à préciser que ce n’est pas le procès de l’islam  », prévient le juge. C’est pourtant la religion qui est au centre de l’affaire qui les a amenés devant la barre du tribunal correctionnel de Boulogne, jeudi. C’est tout du moins la version de la fillette de 13 ans qui a dénoncé des faits de violences de la part de son beau-père et de sa mère.

Le 22 mai dernier, la fillette se confie à une copine d’école. Elle lui raconte qu’en rentrant chez elle, sa mère aurait voulu l’obliger à porter une robe longue. Elle a refusé. Sa mère a insisté. Son beau-père serait ensuite intervenu et devant son refus, il l’aurait roué de coups. Sa mère ne s’est pas interposée. Avertie, la maman de la copine, constatant que la fillette porte des traces de coups, décide de l’emmener au commissariat. Lire la suite

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Brest : Alcoolisé et sans permis, le demandeur d’asile unijambiste conduisait à l’aide d’un balai

Déjà connu des services de police, un trentenaire, en situation de récidive pour conduite sous l’emprise de l’alcool, a percuté une autre voiture, à Brest. Amputé d’une jambe, il circulait sans assurance, sans permis et avait bricolé un système pour réussir à conduire. Sa Mercedes a été emmenée à la fourrière. Cet automobiliste a commencé […]

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Nos universités sont islamisées : en dehors de Céline Pina, qui osera le dénoncer ?

« Pourquoi l’université est une cible privilégiée des islamistes et de leurs faux-nez, les Indigènes de la République ? », s’interroge ingénument, sur son blog, l’élue socialiste de la région Île-de-France, Céline Pina, par ailleurs auteur, en 2016, d’un brûlot remarqué intitulé Silence coupable et éloquemment sous-titré « Islamistes : ils ne sont grands que parce que nos élites sont à genoux ». Sa dénonciation d’un Salon de la femme musulmane à Pontoise l’avait sortie de l’anonymat puisqu’elle avait dû endurer les griefs bilieux des responsables de son parti.

Et la même de répondre : « Si l’Université est aussi massivement investie, c’est pour la même raison que Tariq Ramadan, qui n’est pas universitaire, se présente comme professeur à Oxford : le titre universitaire notabilise, renforce et donne autorité autant à l’homme qu’à l’idéologie. C’est une arme de légitimation massive », ajoutant que « c’est ainsi que pour crédibiliser leur idéologie, la hisser à la hauteur d’un savoir et lui donner les apparences de la science, les islamistes tentent de noyauter le monde universitaire ».

C’est un fait éminemment constatable que, depuis une vingtaine d’années, nombre d’universités en France sont progressivement investies par un islam à visage voilé. Les modus operandi sont divers, de la petite association étudiante à vocation cultuelle dont on finit par découvrir qu’elle abrite une salle de prière clandestine – comme ce fut le cas, il y a quelques années, à l’IUT de Saint-Denis – à l’intégration, au sein des équipes pédagogiques, de maîtres de conférences dont, pour certains profils, un observateur avisé se demanderait, perplexe – mais finalement peu dupe –, comment l’impétrant a-t-il pu décrocher et sa thèse et sa qualification par le Conseil national des universités (CNU) et son poste au sein de l’université ?

Le phénomène n’est pas seulement local, puisque le ministère de l’Enseignement supérieur, qui est seul habilité à délivrer les diplômes autant qu’à certifier les formations dispensées au sein des universités, doit faire face à la concurrence effrénée et pullulante des instituts mahométans privés de formation (tels l’Institut européen des sciences humaines, émanation des Frères musulmans, l’Institut d’études islamiques de Paris, l’Institut international des sciences islamiques, l’Institut méditerranéen d’études musulmanes d’Aix-en-Provence ou encore l’Institut Avicenne des sciences humaines basé à Lille).

Résultat : l’État se laisse tranquillement déborder, faible de sa résignation comme de son aboulie. Un DU de finance islamique finira par ouvrir à Paris-Dauphine en 2010 quand, un an auparavant, l’Institut européen des sciences humaines de Saint-Denis précité avait obtenu, par arrêté du recteur d’académie de Créteil, la reconnaissance de ses formations initiales en langue arabe et en théologie musulmane.

 Le phénomène n’est pas seulement national puisqu’en Suisse, l’université de Fribourg accueille un Centre suisse pour l’islam et la sociét et que l’Institut d’études de la culture et de la religion musulmanes a été créé au sein de l’université Goethe de Francfort, portant ainsi à cinq (avec Erlangen-Nuremberg, Tübingen, Osnabrück et Münster) le nombre d’universités allemandes dispensant des cours de théologie islamique.

Pendant ce temps, comme une bombe explosant en silence, les Étudiants musulmans de France (EMF) viennent de décrocher leur premier siège au sein du conseil d’administration de l’université de Lille. Une victoire idéologique incontestable pour ces islamistes à peine pubères qui ne craignent pas de s’afficher aux côtés des racistes anti-blancs des Indigènes de la Républiques, d’apporter leur soutien au Secours islamique de France ou aux anti-islamophobes du CCIF jusqu’à même faire partie, encore récemment, du bureau national de l’UOIF.

Une chose est certaine : les musulmans ont compris que la conquête politique se gagne d’abord par les batailles idéologiques. La porosité intellectuelle de l’université française permet ce gramscisme islamique.

Aristide Leucate

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Attentat de Saint-Étienne-du-Rouvray : le créateur de « Mamadou Segpa » condamné à 5 ans de prison

Il avait reçu une vidéo annonçant une « attaque dévastatrice ». C’était quelques jours avant l’attentat de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime) du 26 juillet 2016 qui a coûté la vie au père Jacques Hamel. Omar, 20 ans, comparaissait vendredi 1er décembre 2017 devant le Tribunal de grande instance de Paris. Créateur de contenu humoristique sur le net […]

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Etude : la population musulmane doublera en Europe dans 40 ans (PEW)

Lu sur RTBF du 30 novembre 2017 :

Les musulmans pourraient représenter entre 7,4% et 14% de la population européenne à l’horizon 2050, contre 4,9% en 2016, selon une étude du Pew Research Center publiée jeudi et réalisée à partir de trois scénarios d’immigration, zéro, moyenne ou forte.La population musulmane devrait plus que doubler en Europe d’ici à 2050
[..]

La France, première communauté musulmane d’Europe
Les musulmans de France, évalués par Pew à 5,7 millions en 2016 (8,8% de la population), continueraient de former la première communauté musulmane d’Europe dans l’hypothèse d’une « immigration zéro » (8,6 millions, 12,7%). Ils seraient 12,6 millions (17,4%) avec le scénario médian, et 13,2 millions (18%) dans l’hypothèse d’une forte immigration.

Seule cette dernière trajectoire permettrait à la population des 30 pays (520,8 millions d’habitants en 2016) de ne pas décroître, estime Pew. Dans ce cas, elle serait portée à 538,6 millions d’habitants, contre 516,9 millions dans l’hypothèse de flux moyens et 481,7 millions en cas d’ »immigration zéro ».

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Royaume-Uni : Londres confrontée à une recrudescence des attaques à l’acide

Les attaques à l’acide ont pratiquement triplé en trois ans. Elles sont surtout localisées dans l’est de Londres. Ces attaques sont en nette progression ces dernières années: 166 en 2014 puis 261 l’année suivante et 454 en 2016. Surtout localisées dans l’est de Londres, elles sont principalement le fait d’adolescents ou de jeunes âgés d’une […]

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En 2050, les musulmans pourraient atteindre 13 millions en France (étude)

PARIS - Les musulmans pourraient atteindre le nombre de 13 millions de la population française d’ici à 2050, a indiqué une étude américaine publiée samedi par la presse, qui a souligné que la France continuera de former la première communauté musulmane d’Europe.

L’étude, menée par l’institut de recherche américain Pew Research Center, spécialiste dans les recherches de démographie religieuse, précise que les musulmans en France, estimé à 8,8 % pourraient atteindre 12,4 millions (17,4 %) dans le cas de la poursuite de l’immigration légale hors crise migratoire, soulignant que le taux de fécondité des musulmans en France sera supérieur à la moyenne européenne entre 2015 et 2020 (2,9 enfants par femme musulmane en France contre 2,6 pour les femmes musulmanes en Europe).

Par ailleurs, poursuit l’étude, dans le cas d’une immigration zéro (8,6 millions ou 12,7 %), la France continuera d’ici à 2050 de former la première communauté musulmane d’Europe, relevant qu’avec une forte immigration, cette communauté pourrait atteindre 13,2 millions (18 %).

Pew Research Center révèle, sur la base des données de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), qu’en 2016, la population musulmane en France est la plus jeune, avec 27 ans en moyenne pour les musulmans contre 43 ans d’âge moyen pour les non-musulmans, notant qu’entre 2010 et 2016, 53 % des migrants arrivés en Europe étaient musulmans.

L’étude, qui a concerné les 28 pays membres de l’Union européenne, indique que les musulmans sont et seront de plus en plus nombreux en Europe avec un taux qui se situerait entre 7,4 % et 14 % de la population européenne à l’horizon 2050, contre 4,9 % en 2016.

Actuellement, on estime cette population à 25,8 millions et dépasserait, selon les indications de Pew Research Center, les 75 millions d’individus sur un total d’habitants européens estimé à plus de 538 millions, soulignant que cette communauté est la plus jeune et la plus fertile.

En 2016, la France comptait 5,72 millions de musulmans, contre 4,95 millions en Allemagne ou 4,13 millions en Grande-Bretagne.

Ces chiffres révélés par l’étude américaine, ont estimé des observateurs, vont sans doute alimenter les débats politiques, notamment en France où, ces jours-ci, la question de l’islam et des musulmans constitue un des sujets phares de l’actualité française mettant mal à l’aise la communauté musulmane française qui refuse d’être la cible des politiques et des médias.

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Encore deux endroits où les prières de rue sont tolérées à Paris

Lu dans Le Parisien du 1er décembre 2017

« Lors de la prière du vendredi, des fidèles de la mosquée Madina, rue Etienne-Marey à Paris (XXe), posent leur tapis sur le trottoir avant de se prosterner vers La Mecque. « Il y a de plus en plus de monde. On est passé d’une dizaine ou vingtaine, il y a quelques années, à parfois plus de 100 personnes aujourd’hui. Ce débordement commence à être problématique. Il n’y a pas de trouble à l’ordre public pour le moment, mais ça ne peut pas durer. Ce n’est acceptable ni pour les fidèles ni pour les riverains », estime Frédérique Calandra, maire (PS) du XXe arrondissement.(…)

Aux abords de la mosquée Omar, rue Jean-Pierre-Timbaud à Paris (XIe), lieu de culte fondamentaliste dont un imam tunisien avait été expulsé en 2012 pour ses prêches radicaux, des fidèles s’agenouillent également sur le trottoir le vendredi vers 13 heures. « Durant une vingtaine de minutes, il n’y a plus un bruit. Cela ne me gêne pas, mais je ne vois pas l’intérêt d’aller prier sur le bitume. Pourquoi ne le font-ils pas chez eux ? » se demande une commerçante. « Cela dure depuis des années et me donne l’impression d’être envahi », s’alarme une retraitée. « Tout est bouché. Mais si je me plains, je vais me faire défoncer », craint un habitant. » Lire l’article en entier.

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La Russie se prépare à l'idée d'affronter une Europe devenue musulmane au-delà de 2050

 


RussieC'est en substance une des vérités dérangeantes énoncées par les invités russes des Assises nationales de la recherche stratégiques, qui ont eu lieu ce 30 novembre à l'École Militaire.

Organisé par le Conseil supérieur de la formation et de la recherche stratégique ce colloque avait pour thème les menaces "hybrides", c'est-à-dire en novlangue militaire, celles représentées par la stratégie d'acteurs, étatiques ou non, recourant à l'ensemble des leviers d'action à leur disposition, et pas seulement à l'emploi de la force, ou à la menace de celui-ci, pour arriver à leurs fins. Un peu ce que font les États-Unis sur l'ensemble du globe depuis la fin de la 2ème guerre mondiale...

Parmi les invités, plusieurs russes dont des généraux et un ancien ministre de l'Intérieur, ainsi que des commentateurs de l'actualité (leur identité figure au lien ci-dessus). Ils n'y sont pas allés par quatre chemins pour décrire la décadence française et européenne, évoquant sans détour l'invasion migratoire extra-européenne, l'abandon des valeurs traditionnelles, et les évolutions sociétales mortifères. Leur propos a suscité de fortes réactions d'un public habituellement policé, divisé entre applaudissements nourris et sifflets soutenus.

Saluons une fois n'est pas coutume Alain Bauer, co-organisateur de cette journée, qui a su ramener le calme en soulignant l'intérêt qu'il y a à écouter des voix discordantes. Un souci de pluralité qui l'honore.

Surtout, guettons avec impatience la parution des actes de ces assises!

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Allemagne : des explosifs découverts sur un marché de Noël de Potsdam

La police allemande a déclaré vendredi que des explosifs avaient été découverts dans un colis suspect déposé à proximité d’un marché de Noël à Potsdam, près de Berlin. Le Figaro

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La marque Nike lance le premier «hijab de sport»

Testé par des athlètes de haut niveau, le tout premier hijab de sport de Nike est disponible depuis ce vendredi. Pour mettre au point ce voile, la marque a collaboré avec l’escrimeuse américaine Ibtihaj Muhammad, première athlète voilée à représenter les États-Unis dans des compétitions sportives internationales. Les sportives ont donné leurs retours et commentaires […]

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Attentat à l’acide à Paris : quand la presse laisse tomber, qui s’en étonne encore ?

 

Source et Video

Et ça continue… une exposition en Allemagne présente un terroriste du Bataclan comme un martyr !

En octobre, Sonia Nour, fonctionnaire territoriale à La Courneuve, municipalité communiste, voyait dans l’assassin égorgeur de deux jeunes femmes à Marseille – étranger illégal, délinquant, radicalisé aux multiples identités et multirécidiviste tout juste remis en liberté – un martyr. Avec l’inauguration du Musée des martyrs, à Berlin, ce 29 novembre, on assiste désormais à l’aboutissement d’un véritable renversement anthropologique : la justification pleine et entière des actes terroristes islamistes.

Musée des martyrs, donc. Une installation que Ida Grarup Nielsen et Henrik Grimbäck avaient déjà exposée, l’an dernier, dans leur pays, glorifiant des personnalités historiques mortes pour leurs convictions. Tels Socrate, sainte Appoline d’Alexandrie, Martin Luther King et… Omar Mostefaï ! Mostefaï, l’un des tueurs du Bataclan, qui a fauché la vie de 89 personnes, un martyr !

Comprenez, ces merveilleux artistes danois se sont assigné pour dessein d’« élargir la notion de martyr », explique l’association Nordwind, qui dirige l’installation du musée. Il serait, en outre, tout à fait malvenu de porter un « jugement de valeur » à l’encontre d’un homme qui a « sacrifié » sa vie… Sacrifié sa vie en sacrifiant celle des autres : drôle de conception du martyr, les martyrs classiques, si l’on ose dire, n’ayant jamais eu pour habitude d’entraîner des innocents dans leur sacrifice ! Et pourquoi ce brave Mostefaï s’est-il cru obligé de massacrer à tour de bras ? Quel était l’objet de son sacrifice, à lui ? On apprend par le guide audio qu’il « luttait contre la culture occidentale ». C’est vrai et donc… c’est bien ? Ces deux zozos d’« ârtistes » défendent donc un islamiste qui veut leur enlever le pain de la bouche…

« Jour après jour, mois après mois, année après année, il est indéniable que des paliers sont franchis », écrivait très justement, dans ces colonnes, il y a deux semaines, Gabrielle Cluzel, en réaction aux propos tenus par une journaliste de Mediapart selon laquelle « l’islamisme, en tant que tel, n’est pas, en soi, une chose grave ».

 Nous y sommes. En requalifiant des barbares sanguinaires qui tuent au nom d’Allah en « martyrs », en relativisant l’islamisme – jusqu’à, in fine, le justifier -, l’ultime palier a été franchi. On serait même tenté de constater laxc croisée des chemins dépassée.

Là, en Allemagne, ici, en France, estime-t-on le peuple suffisamment mûrement soumis, ou indifférent, pour lui faire accepter de se faire assassiner ? Bien sûr, au Danemark, des critiques se sont élevées, l’an dernier. Elles n’ont rien empêché : quand des associations subventionnées par l’État, donc les impôts – Nordwind étant, semble-t-il, financée par le fonds culturel de la capitale allemande et la fondation pour la culture de la République fédérale (Bild) -, et faisant l’apologie du terrorisme islamiste ne sont pas condamnées et interdites par ledit État, c’est qu’il est complice. Hier, il ne fallait pas confondre islam et islamisme, aujourd’hui, l’islamisme n’est pas grave et ses terroristes sont des martyrs. Et demain ? Proclamation, tout naturellement, d’une République islamique qui mettrait fin au terrorisme ?

Caroline Artus

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En 2050, il pourrait y avoir 18 % de musulmans en France

Selon une étude de l’institut américain Pew Research Center, publiée le 30 novembre, la population de tradition musulmane va continuer de s’accroître en Europe. À l’horizon 2050, elle pourrait représenter entre 7,4 % et 14 % de la population européenne, contre 4,9 % en 2016. Il s’agit d’une projection, non d’une prévision, qui envisage trois scénarios : le premier avec une immigration nulle, le second avec une immigration moyenne, le dernier avec une immigration haute.

Pour ce qui concerne la France, la part des musulmans, actuellement estimée à 8,8 % (5,7 millions), pourrait passer à 18 % en 2050 (13,2 millions). En effet, selon cette enquête, les personnes de confession musulmane « sont plus jeunes et […] leur taux de fertilité est plus élevé que celui des autres Européens ». Voilà qui va conforter les tenants du Grand Remplacement. Même si l’on ne partage pas cette thèse, force est de constater que cette perspective n’a pas l’air d’inquiéter nos gouvernants. Quelles peuvent en être les raisons ?

On ne peut écarter les raisons démographiques, qui font que les pays européens vieillissent et ont besoin de main-d’œuvre, si possible bon marché. La générosité d’Angela Merkel dans l’accueil des migrants n’était pas désintéressée. Et l’on entend, en France, des chefs d’entreprise se plaindre de manquer d’ouvriers dans certains secteurs.

Les partisans du multiculturalisme – parfois les mêmes – ne s’en plaignent pas non plus. Bien au contraire ! Dans un entretien accordé, le 2 mars 2017, à l’hebdomadaire protestant Réforme, Emmanuel Macron, candidat à l’élection présidentielle, soutenait que « l’immigration se révèle une chance d’un point économique, culturel, social […] Les démocraties qui réussissent l’intégration bénéficient d’une croissance supérieure à la nôtre. » Du pragmatisme cynique !

S’il est vrai que l’inquiétude à l’égard des migrants se situe plus « dans la question de l’intégration » que « dans le fait migratoire », que fait-il, parvenu au pouvoir, pour favoriser vraiment l’intégration ? Si beaucoup de Français de confession musulmane s’intègrent facilement, d’autres cultivent un repli communautaire. Faut-il continuer de recevoir des migrants économiques ou s’occuper d’une meilleure intégration de ceux qui sont déjà sur place ?

 Autre problème : une partie des dirigeants politiques, notamment à l’extrême gauche, se font les complices objectifs de cette situation. On l’a encore vu jeudi soir, lors de « L’Émission politique » de France 2, avec les ambiguïtés de Jean-Luc Mélenchon : il a refusé de condamner le soutien de sa collègue Danièle Obono à Houria Bouteldja, porte-parole du Parti des indigènes de la République, ou aux ateliers non mixtes proposés par le syndicat SUD Éducation 93. On le voit aussi dans la querelle sur l’islamisme entre Edwy Plenel, cofondateur de Mediapart, et Manuel Valls.

Comme s’ils voulaient remplacer la notion marxiste de luttes des classes par la lutte des nouveaux exploités – les anciens peuples colonisés et les immigrés, bien sûr ! – contre leurs oppresseurs.

Il est de l’intérêt même des Français de confession musulmane souhaitant s’intégrer de dénoncer l’islamisme qui, qu’on le veuille ou non, dérive de l’islam. Il est du devoir des gouvernants de prendre des mesures pour favoriser l’intégration, voire l’assimilation. Mais que peut-on attendre d’un Président qui attise les ressentiments en déclarant, il y a quelques jours, lors d’un discours à l’université de Ouagadougou, au Burkina Faso, que « les crimes de la colonisation européenne sont incontestables et font partie de notre histoire » ?

Philippe Kerlouan

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Islam. Selon le Pew Center, l’islamisation de l’Europe est bien en marche

Islam. Selon le Pew Center, l’islamisation de l’Europe est bien en marche

L’islamisation de l’Europe est en marche, et devrait s’accélérer jusqu’en 2050, immigration ou pas. C’est ce qu’il ressort d’une étude menée par le Pew Research Center, une référence en matière de démographie et de religion.

Ainsi, si le nombre de musulmans dans l’Union Européenne est aujourd’hui estimé à 25 770 000 d’individus (4,9% de la population), il pourrait, selon les scénarios envisagés (en fonction de la quantité d’immigration en Europe) monter à 7,4%, 11% ou 14% de la population totale de l’Union européenne.

Au total, la population non musulmane passerait de 495 millions en 2016 (Suisse incluse) à 459 millions en 2050 si on prend la fourchette moyenne d’immigration, tandis que la population musulmane augmenterait de 25 millions à 57,9 millions en 2050.

Pour la France, et en fonction de l’importance de l’immigration, l’étude prévoit un chiffre compris entre 12,7 et 18 % de la population en 2050, soit un nombre total de musulmans allant de 8,6 à 13,2 millions dans l’Hexagone. Trois scénarios de flux ont été retenus par Pew, qui estime à 53 % le taux de musulmans parmi les migrants arrivés en Europe entre 2010 et 2016.

Même dans un scénario où l’immigration zéro serait la règle, la France compterait tout de même 12,7% de la population qui serait musulmane en 2050, c’est dire le poids de la démographie ds vagues d’immigration récentes…La France serait, avec la Bulgarie (12,5%), le pays comptant la plus forte proportion de musulmans, devant la Belgique, la Suède, le Royaume-Uni, les Pays-Bas et l’Allemagne.

Dans les hypothèses hautes, du Pew Research Center, qui n’est pas réputé pour être un think thank d’extrême droite anti immigration, la Suède aurait 30% de sa population de religion musulmane en 2050, l’Allemagne 19%, le Royaume-Uni 17%, 18% pour la France, 15% pour la Finlande.

Les pays préservés de l’islamisation progressive de leur territoire dans tous les scénarios sont la Pologne (0,2% de la population), la Slovaquie (0,7% de la population), les Pays Baltes, la République Tchèque, la Croatie, la Hongrie, mais aussi à l’Ouest l’Irlande ou le Portugal.

A ce Grand remplacement religieux qui est bien en marche, comme le confirment ces prévisions, il convient d’ajouter le Grand remplacement ethnique également en cours – comme le montrent les chiffres du dépistage de la Drépanocytose en France par exemple. Le PRS l’affirme lui même : 47% des migrants arrivants en Europe aujourd’hui – d’Afrique noire ou d’Asie majoritairement – ne sont pas musulmans.

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La Ligue islamique mondiale au service du « soft power » saoudien

L'organisation non gouvernementale est un « complément » de la diplomatie de Riyad, estime un chercheur.

 

La Ligue islamique mondiale semble désormais emboîter le pas à l'Arabie saoudite sur la question de l'extrémisme islamique. « Le passé est le passé », a déclaré le secrétaire général de la Ligue islamique mondiale, Mohammad al-Issa, dans un entretien accordé à Reuters la semaine dernière. « C'est par notre travail que nous devons anéantir l'idéologie extrémiste. Nous devons annihiler l'ultrarigorisme et l'extrémisme religieux qui sont le point d'entrée du terrorisme. C'est la mission de la Ligue islamique mondiale », a-t-il insisté.

Les propos récemment tenus par le secrétaire général peuvent étonner, alors que l'organisation non gouvernementale, à la solde de l'Arabie saoudite, a souvent été pointée du doigt comme ayant contribué à la diffusion de l'idéologie salafiste dans le monde. Également interrogé sur le wahhabisme lors de son déplacement à Paris pour rencontrer des responsables religieux chrétiens et musulmans la semaine dernière, le cheikh al-Issa a répondu que « pour nous, il n'y a pas de wahhabisme. Il y a l'islam, point ».
Ces déclarations s'inscrivent dans un contexte particulier, puisqu'en octobre dernier, le prince héritier saoudien, Mohammad ben Salmane, avait déclaré vouloir « combattre les idées extrémistes ». « L'Arabie saoudite n'était pas ainsi avant 1979. Nous souhaitons seulement revenir à ce que nous étions : un islam modéré ouvert au monde, ouvert à toutes les religions », avait déclaré l'homme fort de Riyad.

Proche du prince héritier et ancien ministre saoudien de la Justice, connu pour ses positions réformistes sur le plan interne, Mohammad al-Issa est arrivé à la tête de la Ligue en 2016. D'abord présenté comme le nouveau visage du wahhabisme, il semble désormais suivre la nouvelle ligne de communication de Riyad, telle que définie par MBS.

La Ligue islamique mondiale a été créée en 1962 sous l'impulsion du roi Fayçal d'Arabie saoudite afin de promouvoir le panislamisme et renforcer la solidarité islamique. Le siège de l'organisation est basé à La Mecque et réunit vingt-deux pays membres. De nombreux responsables au sein de l'organisation sont saoudiens, notamment son secrétaire général. La Ligue est par ailleurs membre de nombreuses organisations mondiales telles que l'Unesco et l'Unicef. Elle est également membre observateur de l'Organisation de la conférence islamique et du Conseil économique et social de l'ONU avec un statut consultatif. La Ligue islamique mondiale s'étend aussi à travers 120 pays, par le biais de ses délégations et en injectant des milliards de dollars dans le financement d'écoles et de mosquées. Des fonds essentiellement saoudiens. Selon les estimations, le budget de Riyad pour sa diplomatie religieuse s'élèverait à 6 ou 7 milliards de dollars par an. La Ligue lui a ainsi permis d'user d'un relais international à l'échelle locale pour transmettre le discours ultraconservateur jusqu'alors prôné par Riyad.

 

(Pour mémoire : La Ligue islamique mondiale veut "annihiler" l'extrémisme)

 

« Renforcer l'outillage diplomatique » de Riyad
Dans cette optique, « il s'agit moins, pour cette Ligue, de défendre les modalités salafistes que d'être au service des intérêts stratégiques de l'Arabie saoudite », explique Samir Amghar, enseignant à la faculté de philosophie et des sciences sociales à l'Université libre de Bruxelles, contacté par L'Orient-Le Jour. Véritable « organisation paragouvernementale », selon le spécialiste, la Ligue islamique mondiale est une structure que l'on peut considérer comme « un complément qui renforce l'outillage diplomatique saoudien ». Mais elle permet aussi « de combler les lacunes diplomatiques là où les représentations saoudiennes sont moins nombreuses, comme en Afrique de l'Ouest par exemple », poursuit-il. Alors que Riyad tente de développer une diplomatie plus nuancée, la Ligue est « un outil pour normaliser ses relations avec les grandes puissances », note encore M. Amghar.Mohammad al-Issa a multiplié les déplacements ces derniers temps, rencontrant le pape François fin septembre, le directeur du Parlement européen Luis Martinez ce mois-ci, des intellectuels et des politiciens à l'Académie diplomatique mondiale à Paris ou encore le président guinéen Alpha Condé.

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(Lire aussi : Riyad se veut en tête de la lutte contre le terrorisme)

 

Mais surtout, l'organisation s'est jointe à la Ligue arabe, via un communiqué publié sur son compte Twitter le 20 novembre dernier, au lendemain de sa réunion extraordinaire au Caire, sur requête de Riyad, pour condamner les actions iraniennes au Moyen-Orient et demandant aux Nations unies de « rapidement infliger une série de fortes sanctions au régime de Téhéran ». « L'axe du mal iranien a dévoilé son vrai visage en propageant son terrorisme dans la région par de nombreux crimes et en fournissant des missiles balistiques aux agents de son sectarisme : les milices houthies et le Hezbollah », peut-on lire dans le document.
L'Arabie saoudite est engagée dans la guerre au Yémen depuis 2015 aux côtés de l'actuel président Abed Rabbo Mansour Hadi face aux rebelles houthis et aux forces loyales à l'ancien président Ali Abdallah Saleh. Des missiles balistiques lancés depuis le Yémen par les houthis en direction du royaume wahhabite ont été interceptés à plusieurs reprises par l'Arabie saoudite. La lutte contre le Hezbollah, allié de Téhéran au Liban, constitue quant à elle l'un des éléments principaux de la stratégie de Riyad afin de contrer l'expansion iranienne dans la région.

La circoncision des musulmans souvent prise en charge par la Sécurité sociale

Lu à la page 75 de l’essai d’Alexandre Mendel, Partition, chronique de la sécession islamiste en France, éditions L’Artilleur, 2017

« Philippe a exercé comme médecin, à Nice, en chirurgie pédiatrique. Là il a été témoin d’une pratique qui, selon lui, s’est répandue ces dernières années. « Pour une hernie, trois circoncisions pratiquées sur les jeunes maghrébins! Je me suis demandé pourquoi il y avait autant de phimosis chez eux. Réponse d’un confrère urologue: « On dit phimosis pour que la Sécurité sociale rembourse, cela fait des actes en plus pour l’hôpital… » C’est l’Etat qui régale ! L’arnaque qui fait passer une circoncision rituelle pour une infection du prépuce ferait économiser à la famille du « faux malade » les quelque 800 euros que coûte une ablation religieuse. Argument avancé pour diagnostiquer de faux phimosis : « Il vaut mieux que ce soit fait par nous proprement que par je ne sais qui ».

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