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dimanche, 17 décembre 2017

L’Italie expulse un Français au comportement radical suspect

Lu sur Europe1 du 15 décembre 2017 :

Le 29 août dernier, il avait mimé devant des policiers des gestes de tir et de détonation d’engin explosif tout en évoquant Allah. 

Un Français de 23 ans, qui avait mimé devant des policiers italiens des gestes de tir et de détonation d’engin explosif tout en évoquant Allah, a été expulsé d’Italie, a annoncé vendredi le ministère italien de l’Intérieur.

Converti à l’islam radical en prison. Son comportement suspect devant des policiers italiens avait été observé le 29 août dans la province de Cuneo, dans le nord de l’Italie, précise le ministère dans un communiqué. Lire la suite

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Chronique de l'islamisation quotidienne de la France de François Billot de Lochner

Tant pis pour l’emphase : l’ouvrage de François Billot de Lochner est une œuvre de salut public. La lecture de sa Chronique de l’islamisation quotidienne de la France s’apparente à celle d’un rapport parlementaire – un rapport qu’aucun parlementaire n’a jamais eu le courage d’écrire. Tout y est précis, chiffré, daté, « sourcé ». Il passe au crible toutes les paroles, les actions et les omissions : paroles des acteurs publics et des militants salafistes, actions des minorités islamistes de moins en moins minoritaires, omissions criminelles du pouvoir à tous les échelons.

Implacablement, sans emportement, pied à pied, il montre comment la France est en train de devenir, sans un coup de feu, sans une révolte, un État islamique, par le bas : par les revendications individuelles, par la désertion des quartier « populaires », par l’instrumentalisation des médias, l’abattage de la viande ou le rap… On est tout d’abord fasciné, puis révolté, mais c’est au deuxième temps de son livre que l’on est convaincu de la grande pertinence de son raisonnement. Quand il se demande « Que faire ? », François Billot de Lochner touche juste : des actions individuelles, simples, qui sont en quelque sorte l’exact négatif de ce que fait le salafisme conquérant, peuvent permettre d’inverser la tendance, et l’esprit de défaite, si cher au cœur de la droite sentimentale, est balayé d’un revers de main.

 

Chacun devrait lire ce livre, ne serait-ce que pour savoir de quoi il retourne. Pas étonnant que l’auteur n’ait pas été plébiscité par les urnes à Versailles, bastion frileux de la bourgeoisie conciliante, qui continuera encore longtemps à se prendre pour le sel de la terre, tout en priant pour sauver son entre-soi, sa piété de façade et ses liquidités… à quelques kilomètres de territoires occupés. Pourquoi ne pas faire l’inverse ?

Arnaud Florac

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Les Valaisans ne voteront pas sur le voile à l'école

IslamLe Grand Conseil a invalidé une initiative de l’UDC prévoyant une interdiction. Un recours au Tribunal fédéral est envisagé.

«Faites vos saletés tout seuls!» Pressentant l’invalidation de son initiative «Pour des élèves tête nue dans les écoles publiques», l’UDC a quitté la salle du Grand Conseil valaisan vendredi matin. Le député Michael Graber explique le geste d’humeur de son parti: «Il est inacceptable que le parlement ne laisse pas le peuple se prononcer sur un texte signé par 4329 citoyens. Même si, sur le fond, je reconnais que le Valais a des problèmes plus graves que le voile à l’école.»

La majorité des parlementaires voient dans l’interdiction des couvre-chefs une mesure discriminatoire violant la liberté religieuse. «Nous savons pertinemment que l’UDC n’a pas de problème avec les casquettes et les chapeaux. Il s’agit d’une attaque détournée contre l’islam», a critiqué la députée de l’Alliance de Gauche, Margaux Dubuis. L’UDC reconnaît que sous un intitulé très général, son initiative vise l’islam. Ses élus évoquent surtout une manière d’éviter «le communautarisme et l’islamisation rampante de la société» au travers de signes religieux ostentatoires.

 
 

Contraire au droit fédéral


Le texte avait été déposé en 2016. La commission juridique du Grand Conseil et le Conseil d’État proposaient de soumettre au peuple un projet de loi en recommandant de le rejeter. Les députés ont toutefois opté pour la solution de l’irrecevabilité. Ils ont en effet estimé que, même acceptée, la nouvelle base légale ne pourrait jamais être appliquée, car contraire au droit fédéral. L’UDC valaisanne le conteste et envisage sérieusement de recourir au Tribunal fédéral (TF).

Avec quelles chances de succès? La réponse est incertaine, puisque aucun autre Canton ne s’est prononcé sur un projet de ce type. La Commune saint-galloise de Sankt Margrethen avait franchi le pas. Mais en 2016, le Tribunal fédéral a jugé anticonstitutionnel son règlement qui bannissait tout couvre-chef en milieu scolaire. Liées par cette jurisprudence, les écoles suisses ne peuvent pas interdire les voiles de manière systématique. La Haute Cour n’exclut toutefois pas la possibilité de bannir le voile si des circonstances particulières l’imposent. En clair: il faut que l’interdiction soit proportionnée et réponde à un intérêt public.

«Comme notre initiative était non rédigée, le parlement avait la possibilité de façonner un texte qui réponde à ces conditions, en n’étant pas discriminatoire et en ne violant pas la liberté religieuse», plaide Michael Graber.

Faux, rétorquent les opposants. «La marge de manœuvre est beaucoup trop ténue avec un texte qui prône des têtes nues. À cause de cette formulation, nous ne pouvons pas prévoir des exceptions pour le bonnet à la récré et le casque pour les sorties à skis. Or, il n’y a évidemment aucun intérêt public qui justifie pareilles interdictions», a argumenté en plénum le Vert Thierry Largey.

Une quinzaine de cas
Professeur de droit constitutionnel à l’Université de Neuchâtel, Pascal Mahon estime que la décision d’invalidation du Grand Conseil n’est pas surprenante. Le docteur en droit tire un parallèle avec l’invalidation l’an dernier de l’initiative fribourgeoise contre le Centre Islam et Société. «Le Tribunal fédéral a reconnu qu’il est licite d’invalider une initiative non rédigée si l’on peut clairement déduire qu’elle vise, même sans la nommer, une religion particulière.»

L’initiative de l’UDC valaisanne présente en outre de nombreuses similitudes avec le règlement saint-gallois porté devant le TF. Dans cette affaire, les juges de Mon-Repos ont considéré que le règlement communal était discriminatoire et violait la liberté religieuse. Ils ont aussi jugé que l’interdiction générale du voile en milieu scolaire était disproportionnée et ne répondait à aucun intérêt public.

En Valais, une quinzaine de jeunes musulmanes portent le voile, selon le chef du Service de l’enseignement, Jean-Philippe Lonfat. Plusieurs directeurs d’établissements contactés évoquent la question avec beaucoup de précaution, en insistant sur le fait que les voiles ne posent aucun problème. (TDG)

Romain Carrupt

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L’Europe bientôt en Tchador

Source : revue de presse du Mouvement Pour la France.

Dans son édition du 1er février, Courrier International reprend, sous un titre on ne peut plus explicite « L’Europe bientôt en tchador », quelques extraits d’un « article hallucinant du quotidien de droite israélien [Jerusalem Post] sur la poussée démographique des musulmans en Europe et ses conséquences néfastes pour les Etats-Unis, Israël et les Juifs ». Et cela commence fort :

« Si jamais vous vouliez voir Paris ou Rome avant de mourir, et que vous n’en avez pas encore eu l’occasion, vous feriez peut-être bien de vous hâter. Car, bientôt, l’essentiel de ce que nous considérons aujourd’hui comme l’Europe occidentale se sera transformé en une branche du monde musulman. C’est en tout cas la conclusion déplaisante, mais absolument inévitable qu’il faut tirer de la dégringolade démographique qui entraîne l’Europe vers le néant ».

Et pour justifier cette constatation, le quotidien de citer le récent rapport de la Rand Corporation (un think-tank américain) : « dans toute l’Europe, les taux de natalité sont en chute libre et la taille des familles se réduit. Le taux de fertilité total est aujourd’hui de moins de deux enfants par femme dans chaque Etat membre de l’Union européenne ». Or, selon les démographes, « pour que la population d’une société demeure stable, son seuil de remplacement implique un taux de natalité de 2,1 enfants par famille », « tout chiffre inférieur est synonyme de déclin et de dissolution ». Même le Conseil de l’Europe a lancé un avertissement en déclarant en 2004 dans son « livre blanc de la démographie » que « dans toute l’Europe, il y a eu plus de décès que de naissances pour l’année 2003 ». Et le quotidien de citer l’éditorialiste canadien Mark Steyn qui souligne dans son nouveau livre, America Alone (L’Amérique seule) :

« Quel est le pourcentage de la population musulmane de Rotterdam ? 40%. Quel est le prénom masculin le plus répandu en Belgique ? Mohammed. A Amsterdam ? Mohammed. A Malmö, en Suède ? Mohammed ».

Et même The Daily Telegraph de Londres rapportait en décembre 2006 que « Mohammed et son autre graphie la plus courante, Muhammad, sont désormais des prénoms de bébés plus populaires en Angleterre et au pays de Galles que Georges ». Car, comme le relève le quotidien, « si les Européens sont actifs partout sauf au lit, les populations musulmanes qui vivent en leur sein se montrent beaucoup plus prolifiques ». Or d’après des « projections réalisées par le National Intelligence Council du gouvernement américain, la population musulmane du continent, actuellement de 20 millions, aura probablement doublé d’ici à 2025 ». Le quotidien note qu’une «

Europe de plus en plus islamisée sera de plus en plus hostile à Israël et aux Etats-Unis »

et que

« même si les gouvernements européens parvenaient à inverser la tendance, ce qui semble fort peu probable, il faudrait des années avant que le changement ne soit perceptible. Or, en attendant, l’influence politique musulmane continuera de se développer et de s’étendre, et les dirigeants européens ne pourront que difficilement faire abstraction des exigences de la communauté ».

Et de conclure :

« Par conséquent, si vous voulez vraiment voir la tour Eiffel de près, je vous conseille de ne pas trop tarder. Le temps de dire ouf, et elle pourrait bien avoir été transformée en minaret »…

Une analyse qui rejoint ce que dénonce Philippe de Villiers :

non seulement, il a préconisé de longue date de mettre en place une vraie politique familiale, qui aurait eu pour conséquence de relancer la natalité ; mais de plus, il met en garde contre « l’islamisation » de la France, prônant une immigration zéro et une politique généreuse de co-développement des pays les plus pauvres.

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