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samedi, 16 décembre 2017

Procès Roudier : Montpellier ville colonisée, le pouvoir sur les dents !

Lettre de la LIGUE DU MIDI du 9 décembre, à propos du procès de Richard et Olivier ROUDIER qui s’est tenu le 5 décembre à Montpellier, et auquel étaient présents plusieurs membres de notre clan afin de soutenir la Ligue du Midi.
(Images travaillées par l’équipe des Brigandes)
Richard et Olivier étaient jugés pour s’être rendu dans les locaux d’une association accueillant des jeunes immigrés, afin de demander des comptes sur le financement public octroyé à ces associations.
Le jugement est tombé ce mardi 12 décembre : pour quelques feuilles lancées en l’air, deux tasses tombées par terre et des haussements de ton, Olivier Roudier a été condamné à un mois de prison ferme et 2000 euros d’amende. Richard a par contre été relaxé.

 

 

Nous nous interdisons bien sûr de commenter le fonds du procès avant le prononcé du verdict dans le procès Roudier. En revanche, nous vous livrons ici ce que nous avons pu observer de l’ambiance autour du tribunal, de l’ambiance dans la ville de MONTPELLIER et ce que cela signifie de très profond sur l’état de cette ville et sur l’impuissance assumée du pouvoir.

Une mobilisation policière exceptionnelle.

Une centaine de policiers avait été déployée autour du tribunal et dans les rues adjacentes pour éviter tout affrontement entre les groupes d’activistes d’extrême gauche venus provoquer et en découdre et les militants et sympathisants de la LIGUE du MIDI venus dans le calme et la dignité soutenir Richard ROUDIER et Olivier ROUDIER dans la salle d’audience.

Contrôle d’accès hermétique autour et à l’entrée du tribunal, grilles fermées, filtrage très strict depuis la sortie ‘’Plan Cabane » du parking Gambetta. Nombreux véhicules barrant les accès, gendarmerie mobile, compagnies départementales d’intervention, Brigades Anti- Criminalité, tenues anti-émeute, boucliers et flash-balls, gradés en nombre, encadrement très consistant, tout y était. Sans compter les policiers en civil plus ou moins indénombrables.

Aucun risque de débordement donc. Tout avait été prévu pour sécuriser l’évènement ; jusqu’à la sortie du tribunal après la fin de l’audience. Les policiers ont parqué l’extrême gauche dans un dispositif fermé devant les grilles du tribunal alors qu’ils escortaient les militants et sympathisants de la LIGUE du MIDI jusqu’à leur point de dispersion, loin du tribunal.

Grand professionnalisme des forces de l’ordre, exécution parfaite sans nervosisme et dans le plus grand calme. Les provocateurs pourtant très remontés et vindicatifs en ont été pour leurs frais.

MONTPELLIER ville colonisée, le pouvoir sur les dents.

Un tel déploiement de moyens nous donne une indication sur les consignes reçues, sur l’état d’esprit du pouvoir et sur son impuissance réelle et assumée face au cocktail explosif que représentent les groupes d’extrême gauche radicalisés ultra violents et la délinquance étrangère opportuniste qu’ils cherchent à instrumentaliser.

Le Préfet de l’Hérault sait parfaitement que le centre-ville de MONTPELLIER est devenu une poudrière colonisée par un nombre impressionnant d’étrangers hors de contrôle du fait de leur nombre et de leur impunité acquise. Les exactions ultra violentes s’y multiplient, tout comme les crimes et délits parfois extrêmement graves, dont sont régulièrement victimes les montpelliérains.

Le Préfet de l’Hérault sait parfaitement que l’extrême gauche et les activistes radicalisés antifas cherchent à propager des émeutes incendiaires dans la ville en enrôlant la délinquance étrangère jusque dans les banlieues. C’est le statut quo admis et géré par le pouvoir.

MONTPELLIER est une ville sinistrée, gravement atteinte au plan de sa composition sociale. Moi-même venu de TOULOUSE pourtant déjà bien contaminée, j’ai pu mesurer que le phénomène y était encore plus peignant. C’est dire ! Ainsi, voilà ce que j’ai pu voir sur le seul cours Gambetta : grappes de ressortissants Albanais agglutinés sur le passage vous obligeant à descendre du trottoir, terrasses de cafés occupées par toutes sortes de masques ethniques venus d’ailleurs ; certaines exclusivement – Restaurant où j’ai déjeuné recevant de très jeunes mineurs étrangers attablés en petits groupes sans encadrement adulte pour leur repas du midi (vraisemblablement gérés par des associations largement subventionnées). Le restaurateur interrogé sur le bon appétit de cette très jeune clientèle m’a dit que c’était « l’avenir de la France » ; une réponse en creux qui est la synthèse de l’impuissance, de l’abattement et de l’exaspération de la population de souche qui n’en peut plus de voir et de devoir subir.

Le Préfet sait parfaitement que cette masse de déracinés est instrumentalisée par l’extrême gauche qui cherche à l’enrôler comme masse de manœuvre ; comme autrefois la classe ouvrière pour créer le chaos et conduire sa révolution. Le Préfet sait que dans la poudrière qu’est devenue MONTPELLIER, tout dérapage, toute violence visible peut immédiatement dégénérer en émeutes dans les banlieues comme au centre-ville. C’est exactement ce que cherchaient à provoquer les activistes d’extrême gauche venus en découdre ; c’est ce qu’a empêché le déploiement de forces de l’ordre venues contenir les antifas.

Mettre le feu et le voir se propager, tel est le but de ces activistes irresponsables. Le Préfet de l’Hérault se trouve pris dans une équation insoluble. La justice relaxe systématiquement les fauteurs de troubles d’extrême gauche tout comme les émeutiers et délinquants d’origine étrangère. Ces individus sentent et savent qu’ils ne risquent plus rien et que tout leur est permis. Le Préfet ne peut donc plus que s’interposer pour contenir tout départ d’incendie et éviter toute propagation émeutière avant qu’elle ne démarre et se propage.

Voilà ce que signifie le déploiement policier pour sécuriser le procès ROUDIER. Il ne s’agissait pas de protéger les militants et sympathisants de la LIGUE du MIDI. Il s’agissait d’éviter les provocations de l’extrême gauche qui auraient pu dégénérer et atteindre le cours Gambetta tout proche et au-delà. Voilà le véritable enjeu d’un pouvoir qui s’interdit de réprimer l’extrême gauche car elle est l’un des bras séculiers du grand remplacement et du nouvel ordre mondial qui le commandite. Qui s’interdit également de réprimer la délinquance d’origine étrangère, brutale et devenue totalement hors de contrôle. Là aussi : éviter que ça démarre et si ça part, se retirer afin d’éviter « de jeter de l’huile sur le feu ».

 

Chrystelle et Roxane face aux antifas

 

Les associations d’extrême gauche et les groupes activistes ANTIFAS bras séculiers du nouvel ordre mondial.

Le jeu des organisations ultra violentes d’extrême gauche et d’ailleurs de toute l’extrême gauche institutionnelle est très clair. L’extrême gauche institutionnelle s’est emparée du secteur associatif, de l’éducation nationale, du secteur de la culture, des médias et tous les secteurs qui lui permettent d’agir en profondeur sur la société ; tandis que l’extrême gauche activiste crée un climat d’insurrection et de violence pour saper tous les points de résistance et imposer le chaos. Les deux instrumentalisent l’immigration de masse pour détruire le monde ancien qu’ils abhorrent.

Ce jeu est très clair. Ces gens veulent le chaos et la destruction de la société traditionnelle française. Ils veulent les émeutes, la submersion migratoire, la destruction du peuple de France. Ils partagent la même haine obsidionale et pathologique pour tout ce qui est blanc, et pour tout ce qui est l’identité française. Leur activisme relaie celui du nouvel ordre mondial et de la marchandisation globale du monde qui a besoin d’abattre toutes les frontières, toutes les résistances, toutes les identités qui pourraient résister. Les deux sont parfaitement matérialistes, déniant la nature spirituelle et identitaire de l’Homme ainsi que la loi naturelle.

Les deux convergent, ils sont collusés dans la même promotion de l’homme nouveau fongible et remplaçable, métis et sans identité. Ils incarnent les deux versants du même matérialisme qui veut réduire la nature humaine ; l’un pour faire consommer, l’autre pour la détruire.

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Journée internationale des migrants

 
 
Journée internationale des migrants 

Le monde fête le lundi 18 Décembre 2017 la Journée internationale des migrants, qui correspond au jour de l'émission de la « Convention internationale pour la protection de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille » le 18 Décembre 1990, et célébré par l'Organisation des Nations Unies depuis 1997.

Cette célébration coïncide avec la recrudescence du nombre de partis politiques de droite qui incitent à la haine, à la xénophobie favorisant les politiques racistes et anti-immigration envers les demandeurs d'asile et les migrants. Cela expose ces derniers à de graves violations de leurs droits fondamentaux, surtout pour les femmes et les enfants. La fermeture des frontières et l'approche sécuritaire des questions d'immigration et d'asile ont également accéléré la violation flagrante des droits humains tels que la liberté de circulation et le droit de vivre avec dignité.

Au niveau national, cette célébration concorde avec la vague de départ de milliers de jeunes tunisiens qui traversent la mer d’une façon non réglementaire vers les côtes européennes. Ceci est dû à la persistance des mêmes politiques sociales et économiques désastreuses qui n’ont eu de cesse de causer de la frustration chez les jeunes. En effet, pour eux, il n y a aucun avenir devant l’absence d’emploi, d’une vie digne et d’une justice sociale. Ceci augmente alors le désir d’émigrer même d’une façon non réglementaire, dans le but de trouver désespérément des solutions. En plus de cela la coopération entre notre pays et l'Union européenne est principalement fondée sur « l'arrêt des flux migratoires vers l’Europe » et les opérations de retour ou d'expulsion dans le cadre de la lutte contre l'immigration « non réglementaire ».

En l'absence de mesures concrètes de la part de l’Etat Tunisien pour modifier les politiques de développement économique afin de garantir le progrès, limiter l'injustice sociale et l'inégalité entre les différentes régions et réussir la transition économique et sociale, le Forum Tunisien pour les droits économiques et sociaux appelle le gouvernement tunisien à :

• Respecter ses obligations constitutionnelles afin de garantir le respect des droits des Tunisiens – et en particulier des jeunes – par une élaboration urgente de plans de développement pour les différentes régions de l’intérieur des terres. Ceci nécessite des mesures audacieuses dans la lutte contre la corruption, la réhabilitation de la gestion des installations publiques et le travail sur la révision des choix économiques et sociaux qui ont échoué afin de réussir une approche plus globale et ralentir le phénomène de la migration non réglementaire.

• Respecter ses obligations et répondre aux attentes des familles des personnes disparues dans le cadre de la migration non réglementaire qui ont le droit de connaître le sort de leurs enfants et de mettre un terme à cette tragédie humaine. Le gouvernement tunisien doit afficher sa volonté politique pour activer les travaux de la Commission d'enquête et des missions d'accompagnement psychologique et social des familles de disparus.

• Respecter les droits des migrants en Tunisie et réduire les violations économiques, sociales et les atteintes racistes à leur encontre, en particulier à l’égard des femmes.

• Fournir un terrain digne pour l'enterrement des corps de migrants qui accostent par la mer sur les côtes tunisiennes, tout en respectant les conditions permettant à leurs familles de récupérer leurs dépouilles après qu’ils aient été identifiés.

• Stimuler le Conseil des Tunisiens à l'étranger avec une révision de sa composition en accord avec les observations des associations qui travaillent sur la migration.

• Promulguer un cadre juridique pour la migration et l'asile en Tunisie, conformément aux exigences de l'article 26 de la Constitution et des Conventions Internationales ratifiées par l’Etat tunisien.

• Signer les Conventions Internationales (OIT) (97 et 143) sur la protection des droits des travailleurs migrants et la Convention des Nations Unies (1990) relative à la protection des travailleurs migrants et de leurs familles et de la Convention 189 de l'OIT sur les travailleurs et les travailleurs domestiques.

• Respecter les droits avec les pays européens garantis par la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme qui garantit dans son article 13 que : “Toute personne a le droit de circuler librement [...], de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays.”

• Être transparent lors des négociations avec l'UE et respecter le droit des citoyens à l'information.

• Rejeter les politiques européennes qui obligent la Tunisie à accepter les politiques d'immigration inégales de l'Europe en contrepartie de l'aide au développement.

• Geler la coopération en cours avec les pays européens visant à mettre un terme à la migration non réglementaire sans proposer d'alternatives concrètes promouvant et facilitant une migration réglementaire.

Le Forum tunisien pour les droits économiques et sociaux appelle également l'Assemblée nationale à :

• Revoir toutes les lois relatives à l'immigration, notamment la loi du 3 février 2004, qui viole à plusieurs reprise les droits des migrants.

• Adopter des lois garantissant les droits des migrants en Tunisie, quel que soit leur statut juridique.

• Accélérer l’adoption de la loi soumis par le FTDES ainsi que le Comité pour les Libertés et le Respect des Droits de l'Homme (CLRDH) et le Réseau euro-méditerranéen des Droits de l'Homme sur « l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale ».

Le coût humain des politiques migratoires européennes est une véritable tragédie et reflète l'échec de ces politiques à répondre aux besoins des peuples et à leurs ambitions. Le Forum Tunisien pour les Droits Economiques et Sociaux appelle les pays européens à :

• Abandonner les approches sécuritaires dans la gestion du dossier de la migration conformément aux normes internationales et aux exigences de la politique de bon voisinage présumée. Le Forum affirme qu'un véritable partenariat nécessite le respect et l'activation du principe de la liberté de circulation.

• La dissolution de l’« Agence européenne des garde-côtes frontières » et envisager l'élaboration de politiques fondées sur le respect des droits fondamentaux, y compris « le droit de toute personne de quitter tout pays, y compris le sien. »

• La nécessité de garantir le droit de libre circulation des personnes et pas seulement des biens, des équipements, des flux financiers et des échanges commerciaux.

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Olivier Giroud, victime de racisme ?

La libération de la parole continue sur le racisme qui ronge l’Equipe de France. Après les aveux du milieu offensif mauricien et international français Vikash Dhorasoo sur le racisme au sein des équipes de jeunes dans les banlieues faits le 8 novembre 2008 sur France 2 (« Le petit Blanc qui arrive, il se retrouve dans des histoires de clans, de gangs, et à un moment donné il arrête de jouer au foot parce qu’il voit qu’il n’a pas sa place là, qu’il ne va pas être protégé s’il y a un problème »), après les révélations du consultant Pierre Ménès sur les brimades racistes commises lors de la Coupe du Monde 2010 à l’encontre du milieu offensif Yoann Gourcuff, après les fausses nouvelles répandues par le  milieu offensif algérien et international français Samir Nasri, nouvelle polémique avec l’avant-centre international Olivier Giroud.

C’est un documentaire de l’Equipe Enquête intitulé « Olivier Giroud, le mal-aimé » qui soulève un lièvre. La présentation faite le 11 décembre de ce reportage est sans ambiguïté :

« L’Equipe Enquête a retracé le parcours atypique d’Olivier Giroud, l’attaquant controversé de l’équipe de France. Dans ce documentaire, les journalistes de la chaîne L’Equipe ont cherché à comprendre pourquoi le joueur des Gunners suscite autant de critiques et comment celui-ci parvient à mener sa carrière dans l’adversité ».

L’entraîneur adjoint de l’équipe de France, Guy Stéphan, tient alors ces propos, brut de décoiffage :

« Une partie du public se braque contre Olivier Giroud. Vu que la question du racisme a été posée très artificiellement, mais a quand même été posée, eh bien assez naturellement et dans beaucoup d’esprits, Benzema représente « la communauté », la communauté issue de l’immigration maghrébine, il représente les banlieues, il représente ceux qui s’identifient à ces milieux-là, même si c’est effectivement complètement artificiel, et du coup, indirectement, Olivier Giroud représente l’autre camp, il représente finalement le blanc, le céfran, celui qui a effectivement, peut-être, des avantages que d’autres n’ont pas, qui a un nom bien français, qui a une attitude bien française, qui a un physique avantageux, tous ces éléments-là font qu’il apparaît un peu comme la victime idéale. »

Les commentaires sur le site internet de l’Equipe sont également édifiants :

« On l’a déjà dit : avec de telles stats s’il s’était appelé Moussa ou Tarek il serait adulé…mais il est beau gosse, catholique et Blanc et ça en France ça dérange… » (message de Greg, 11/12/17) ; « C’est fou dans ce reportage de voir l’arrogance et la bêtise de Karim Benzema. En huitième de finale de coupe du monde, il pense à une seule chose : faire foirer Giroud. Et l’enjeu sportif, puisque c’est censé être pour cela qu’il a choisi la France ? Il n’a pas choisi la France pour le sportif, mais pour lui-même, égoïstement, incapable de se remettre en question et de faire preuve de pragmatisme ou d’intelligence. » (message de El Tino, 12/12/17).

Notons que le 7 juin 2016, Olivier Giroud avait pris sur Europe 1 la défense du sélectionneur Didier Deschamps suite à des accusations calomnieuses de racisme :

« Je n’ai pas besoin de m’exprimer par rapport à ça. J’ai mon idée sur la question, mais je la garde pour moi. En tout cas, ils ne peuvent pas nous traiter, et le coach le premier, de racistes. Je ne peux pas l’accepter ! ».

 Né à Chambéry, Olivier Giroud a évolué en Ligue 2 au Grenoble Foot 38 (27 matchs, 2 buts de 2005 à 2007), en National (3e division) au FC Istres (34 matchs et 14 buts lors de la saison 2007-2008), en Ligue 2 avec le FC Tours (69 matchs et 36 buts de 2008 à 2010), en Ligue 1 avec le HSC Montpellier (85 matchs et 39 buts de 2010 à 2012) et enfin en Premier League anglaise avec Arsenal (249 matchs et 105 buts depuis 2012). Il compte 69 sélections en équipe de France et 29 buts marqués, avec une première sélection le 11 novembre 2011 en amical contre les Etats-Unis et la dernière le 10 novembre 2017 contre le Pays-de-Galles en amical. Son premier but en bleu fut inscrit lors de sa 3e sélection, le 29 février 2012, lors d’un match amical contre l’Allemagne. Il fut l’auteur d’un triplé contre le Paraguay en match amical le 2 juin 2017 et de six doublés contre l’Australie (11 octobre 2013), la Norvège (27 mai 2014), le Danemark (11 octobre 2015), l’Ecosse (4 juin 2016), l’Islande (quarts de finale de l’Euro, 3 juillet 2016) et le Luxembourg (éliminatoires de la Coupe du Monde, 25 mars 2017). A titre personnel, il est Champion de France 2012 (Montpellier), triple vainqueur de la Coupe d’Angleterre 2014, 2015, 2017 et triple vainqueur du Community Shield les mêmes années, vice-champion d’Angleterre 2016, vice-champion d’Europe avec la France en 2016 et finaliste de la Coupe de la Ligue avec Montpellier en 2011.

A titre personnel, il n’a jamais caché sa foi catholique. Pratiquant, il s’est fait tatouer sur le bras droit le premier verset du Psaume 23, « Dominus Regit Me Et Nihil Mihi Deerit » (« Le Seigneur est mon berger, Rien ne saurait me manquer » et sur le bras gauche la croix du Christ.

Hristo XIEP

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Projet de mosquée : le maire de Fontenay est en colère

Autour de l'urbanisme, le divorce est engagé entre Fontenay-le-Fleury et Saint-Cyr-l'Ecole. Une parcelle à la frontière des deux villes est au cœur de tout.

Richard Rivaud est en colère. Et il le fait savoir. Le 7 décembre dernier, le maire de Fontenay-le-Fleury a annoncé avoir déposé un recours gracieux contre le plan local d’urbanisme (Plu) de Saint-Cyr-l’Ecole. « J’entends ainsi dénoncer une décision capitale impactant directement la qualité de vie des habitants du quartier du Levant », insiste Richard Rivaud.

Cette fameuse décision concerne un terrain à la frontière des deux communes, au pied de l’A 12, à proximité du pont Schweitzer. C’est là que la construction d’une mosquée pourrait être lancée. « Il y est prévu un bâtiment sur 10 mètres de haut », précise le maire de Fontenay-le-Fleury. « Le problème est qu’il ne prend pas en considération les prévisions de fréquentation dont il est certain qu’elles dépasseront très largement les 15 places de parking prévues. Si une mosquée ou tout autre bâtiment public est construit ici, il y aura plus de 15 voitures à y aller et à repartir […] Ce lieu occasionnera de nombreux désordres de voirie et des problèmes d’insécurité tant pour les riverains fontenaysiens que saint-cyriens. Le conseil a d’ailleurs émis un avis négatif sur ce point, par délibération, le 28 février 2017. »

« Une provocation insupportable »

Et de poursuivre : « Aucun compromis n’a été trouvé jusqu’à l’adoption du PLU à Saint-Cyr dans lequel figure une disposition inquiétante pour les habitants. Alors que la zone initialement prévue dans le projet de révision permettait une constructibilité de 500m2 de surface plancher, elle a tout simplement accru la surface possible en la passant à 700m2. Il s’agit d’une provocation insupportable. » Richard Rivaud enfonce le clou en estimant que les habitants de Saint-Cyr ont été « trahis par leur propre municipalité ».

« Ma démarche n’a rien à voir avec la religion »

Pour autant, le premier élu tient à préciser un point important à ses yeux. « Ma démarche ne concerne que le côté urbanistique et non pas religieux. Nous ne voulons pas d’un bâtiment ici alors que nous-même avons renoncé à la construction d’un ensemble pour ne pas saturer le quartier. »

Cela fait des années que le projet de mosquée à cet endroit est source de divisions et d’incertitudes. Pour le président de l’association socio-culturelle des musulmans de Saint-Cyr-l’Ecole et de Fontenay-le-Fleury (ASMSCF), ce recours « ne peut que repousser le projet dans le temps, mais pas l’annuler ou le stopper ». Mourad Barboucha préfère jouer la carte de la patience. « Nous attendons que les recours soient purgés. Nous avons les fonds, un premier croquis. Nous avons besoin de ce lieu de culte pour notre communauté. » Il revendique entre 4 000 et 4500 personnes, à des degrés différents de pratique .

« Ils ont le droit »

Bernard Debain, le maire de Saint-Cyr-l’Ecole, se montre plus distant quant à ce recours. « Ils ont le droit de déposer ce recours. Maintenant, il faut savoir qu’il n’y a encore aucun projet déposé pour ce site. Le plan local d’urbanisme prévoit un bâtiment à destination du public. C’est tout. Si c’est une mosquée, une prière par jour ne devrait pas entraîner tant de trafic routier que ça… On ne saura ce qui sera construit que lorsqu’il y aura un permis de construire déposé. Fontenay sera aussi en droit de l’attaquer. »

Un droit que Richard Rivaud compte bien user. « La voie logique, si Saint-Cyr ne change pas d’avis, sera d’aller au tribunal administratif. Nous le ferons. »

François Desserre
 
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La droite aurait intérêt à s’unir sur la question de l’immigration

Nicolas Kirkitadze a écrit, le 13 décembre, que les seules attentes des Français sont le retour de la sécurité et de la prospérité. Ce n’est pas ce que disent les différents sondages publiés au cours des derniers mois.

Ainsi, le sondage « Fractures françaises » réalisé par Ipsos en juin 2017 indique que les Français veulent un retour de l’autorité à tous les niveaux de la société, un remplacement de la classe politique dont ils pensent qu’elle se préoccupe d’abord de ses intérêts et qu’elle est corrompue, une transformation en profondeur de notre système politique qui leur semble très peu démocratique, plus de justice sociale (les électeurs de LR pensent très majoritairement le contraire), une intervention plus importante de l’État dans la sphère économique pour relancer l’activité (les électeurs de LR pensent également très majoritairement le contraire), renforcer les pouvoirs de la France au détriment de ceux de l’Union européenne, qu’il y ait moins d’immigrés (les électeurs du FN et ceux de LR le pensent respectivement à 95 et 83 %) et ils s’inquiètent de la montée de l’islam (90 % des électeurs FN et 97 % des électeurs LR).

Le sondage Kantar/SOFRES/Figaro du 30 novembre 2017 indique que, pour l’ensemble des Français, le chômage est la première préoccupation, au coude-à-coude avec la maîtrise de l’immigration, mais pour les électeurs de l’ensemble UDI/LR/FN, il n’en va pas de même puisque, pour eux, la maîtrise de l’immigration est de très loin la première des préoccupations ; viennent ensuite la lutte contre l’insécurité, la délinquance et le terrorisme. Quant à la lutte contre l’« extrême droite » (le FN, en l’occurrence), dont Nicolas Kirkitadze semble faire une priorité, elle est la dernière des préoccupations des électeurs LR/UDI et l’une des dernières de l’ensemble des électeurs.

 Les électeurs du FN sont d’abord motivés par la lutte contre l’immigration et l’effritement de la culture française. La diminution de l’insécurité les satisferait certainement, mais cela ne suffirait pas à les faire rentrer dans le rang même en cas de retour de la croissance économique. Les Républicains ne siphonneront pas l’électorat du FN avec un programme qui se limiterait à la diminution de l’insécurité et au redressement économique. Ils pourraient peut-être y parvenir (en partie seulement, sans doute, parce qu’en matière économique et sociale, les deux électorats ont des sensibilités différentes) s’ils adoptaient un programme très offensif sur le sujet de l’immigration mais il est permis de douter de la capacité et de la volonté de leurs dirigeants (y compris Laurent Wauquiez) d’opérer un tel repositionnement.

En conséquence, il est très probable que le « siphonnage » du FN n’aura pas lieu et que les électeurs du FN camperont sur leurs positions. Un sondage effectué en octobre a montré, d’ailleurs, que si l’élection présidentielle avait eu lieu en octobre, Marine Le Pen aurait fait le même score que lors du premier tour de la présidentielle (tandis que François Fillon aurait obtenu cinq points de moins, soit 15 %). Les droites ne pourraient gagner les prochaines échéances électorales qu’en s’associant ; malheureusement, dans l’état actuel des choses, l’électorat LR refuse majoritairement un tel rapprochement, tout comme Laurent Wauquiez d’ailleurs (l’électorat et les dirigeants du FN y sont, au contraire, très favorables). Comment pourrons-nous sortir de cette impasse ?

Bruno Guillard

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Hollande et Abdel Hadi Doudi : islamo-gauchisme

 

YQuelques jours après les attentats de novembre 2015, 14 prédicateurs salafistes de mosquées de France écrivirent une lettre à François Hollande pour "redire [qu’ils n’ont] aucun lien avec Daech, al Qaida, Boko Haram", et condamnent fermement les attentats tout en exprimant leur solidarité avec les victimes. L’un de ces prêcheurs, l’imam Abdel Hadi Doudi, affirme alors avoir reçu un message personnel de remerciements du président de la République.

Cet imam est aujourd’hui mis en cause pour ses positions radicales, qui ont menées à la fermeture provisoire de sa mosquée, à Marseille. La préfecture de police a pointé du doigt la gestion de l’imam Hadi Doudi, "référence du salafisme" et membre de "la mouvance islamiste radicale". Selon le préfet, l’imam "légitime le djihad et la mise à mort des auteurs d’adultère et des apostats".

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L'Etat islamique avait récupéré du matériel de guerre livré aux groupes rebelles anti-Assad

 

Selon un rapport qui a nécessité 3 ans d’enquête de terrain entre Kobané, en Syrie, et Bagdad, en Irak... alors que les spécialistes avaient en vain mis en garde l'Occident sur l'aide apportée aux rebelles :

C1-n6HQWQAAZPha.jpg-large"40 000 pièces récupérées sur les lignes de front et soigneusement analysées, des dizaines de contrats d’achat et d’exportation passés au crible : le rapport sur les armes de l’organisation Etat islamique (EI), publié jeudi 14 décembre par l’ONG Conflict Armament Research (CAR), est l’étude la plus complète produite à ce jour sur ce sujet aussi explosif que complexe.

Il fait la lumière sur les filières d’approvisionnement souvent tortueuses mises en place par l’organisation djihadiste, via la Turquie en particulier, pour constituer et entretenir son arsenal. Il démontre qu’au-delà des saisies réalisées dans les stocks des armées syrienne et irakienne, l’EI est parvenu à récupérer beaucoup d’armes fournies aux groupes rebelles syriens par leurs parrains étrangers, notamment les Etats-Unis et l’Arabie saoudite. Il révèle enfin que ces livraisons ont été effectuées quasi systématiquement en violation des accords conclus avec les pays où ces armes ont été produites – principalement des Etats d’Europe de l’Est – qui incluaient une clause de non-réexportation.

[...] l’EI a su détourner à son profit une partie du flot d’armes introduit en Syrie par les soutiens de la rébellion syrienne. Grâce aux numéros de série relevés sur les pièces auxquelles ils ont eu accès, les experts de CAR sont parvenus à retracer une partie du circuit suivi par ces armes : de leur fabrication, dans une usine de Bulgarie ou de Roumanie par exemple, à leur exportation vers les Etats-Unis ou l’Arabie Saoudite, puis leur livraison à des formations rebelles syriennes, et leur réapparition, pour des raisons inexpliquées, du côté de l’EI.

Dans un cas précis – un lanceur de roquettes anti-tanks de type 9M111MB-1 ATGW – le rapport affirme que seulement deux mois se sont écoulés entre son achat en Bulgarie par les Etats-Unis, en décembre 2015, et sa saisie dans un stock de l’EI, à Ramadi en Irak, en février 2016. Le rapport signale, photo à l’appui, qu’une batterie anti-char portative du même genre, portant un numéro de lot similaire et un numéro de série proche, a été utilisée en décembre 2016 par une unité rebelle syrienne, Jaysh Al-Nasr. Une même remarque est faite concernant une autre formation anti-Assad, The New Syrian Army. [...]"

Source et Document

La crèche non, mais dîner avec les islamistes de l'UOIF, oui

Au Conseil régional de Bourgogne, Julien Odoul (élu FN) dénonce l'attitude de la présidente Marie-Guite Dufay (PS) qui refuse les crèches de Noël au Conseil régional mais dîne publiquement avec les islamistes de l’UOIF.

Source et Document

Stéphane Ravier : « Fermer cette mosquée, c’est bien, mais il faut traquer les autres salafistes qui diffusent leurs messages de haine. »

Le sénateur Front national de Marseille se félicite de la décision du nouveau préfet de fermer pour six mois une mosquée salafiste du centre-ville de Marseille dont l’imam, salafiste dit « quiétiste », prêchait un djihadisme armé. Mais il rappelle qu’il y a d’autres mosquées, dans son arrondissement, qui posent problème.

Source et Entretien

Soutenir Alain Finkielkraut, c’est soutenir la liberté d’expression !

La polémique récente autour des propos tenus par l’académicien Alain Finkielkraut en marge des obsèques de Johnny Hallyday pourrait, somme toute, être considérée comme une tempête dans un verre d’eau (une de plus) dont les médias sont friands. La chose est pourtant bien plus grave.

En effet, à l’initiative d’un militant de gauche, par ailleurs proche de Mediapart, en la personne de David Nakache, une pétition en ligne a été lancée le 11/12/2017, demandant ni plus ni moins le renvoi d’Alain Finkielkraut de l’Académie française.

Relayée par des sites communautaires, dont l’inénarrable Oumma.com, cette pétition a rapidement engrangé plusieurs milliers de signatures, s’appuyant sur un argument de poids : le philosophe aurait tenu des propos allant « à l’encontre du vivre ensemble et de la cohésion sociale » (sic).

Bien entendu, nul ne peut objectivement douter du fait que la demande des pétitionnaires n’a aucune chance d’aboutir. Cela n’enlève rien à leur intention : celle de nuire à ceux qui ont l’outrecuidance de ne pas penser comme eux et, pire encore, de l’exprimer !

D’aucuns se souviennent sans doute de la démarche de Dominique Sopo, président de SOS Racisme, lorsqu’il a écrit une lettre (ouverte) à la présidence du Conseil supérieur de l’audiovisuel afin de demander que le journaliste Éric Zemmour soit interdit d’antenne. La logique est strictement la même : à la volonté de museler la parole de ceux qui expriment des idées qui dérangent s’ajoute celle de les atteindre dans leur vie sociale et professionnelle.

 Dans ce contexte, exit tout débat d’idée, toute confrontation d’arguments permettant d’extraire une opinion forgée librement. Il y a tout simplement ceux qui « pensent mal », contre lesquels tous les coups sont permis, et ceux qui se croient dans « le camp du bien ». La charia avant l’heure, en quelque sorte… Cela n’est pas acceptable.

C’est pourquoi j’ai pris l’initiative de lancer, sur le même site, une pétition demandant l’exact contraire, en l’occurence qu’Alain Finkielkraut soit maintenu à l’Académie française, non pas que cela puisse influer sur son statut d’immortel (soyons réalistes), mais pour que nous puissions exprimer notre attachement à la liberté d’expression, et notre opposition la plus ferme à ces méthodes dignes des régimes totalitaires qui se banalisent dangereusement.

Soyons nombreux à réagir !

Sébastien Jallamion

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Un homme placé en détention en lien avec une double attaque au couteau à Maastricht

(Belga) La police néerlandaise a placé un homme en détention jeudi suspecté d'être impliqué dans la double attaque au couteau à Maastricht dans la soirée. La police a confirmé qu'un homme et une femme avaient perdu la vie. Trois autres personnes ont été blessées. L'identité du suspect et des victimes n'a pas été révélée.

Une dispute a dégénéré vers 21h00 et un homme a été poignardé. Dix minutes plus tard, une querelle a éclaté. Une femme n'a pas survécu aux coups de couteau et deux personnes ont été blessées. Les agents ont encore découvert un troisième blessé plus tard dans la mosquée El-Fath. La police a confirmé que rien n'indiquait qu'il s'agit d'actes terroristes. (Belga)

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Une séance de « médecine » musulmane provoque le coma d’une femme

Lu dans Le Parisien du 11 décembre 2017 (extrait) :

Un homme et une femme ont été placés en garde à vue, ce lundi, pour les mauvais traitements qu’ils auraient infligés à femme de 47 ans, mère de cinq enfants, originaire de Villiers-le-Bel (Val-d’Oise). Cette dernière est dans le coma depuis plusieurs jours. Elle a été admise à l’hôpital intercommunal du Raincy-Montfermeil après avoir ingurgité une vingtaine de litres d’eau.

« Cela fait partie d’une séance de hijama roqya, décrypte une source proche de l’affaire. C’est une sorte de médecine occulte, pour les gens qui s’estiment possédés. » Apposition de ventouses, actes de scarification, saignées, lavements… seraient quelques-unes des déclinaisons de cette médecine qui se veut prophétique, avec l’appui d’une éminence religieuse. Pas si occulte que cela, tout de même, à en croire l’affichage Internet que s’offrent ces cabinets médicaux de médecine musulmane, dits de médecine douce. Ils promettent de guérir du mauvais œil, lever blocages physiques et psychologiques. Lire la suite.

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