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dimanche, 31 décembre 2017

Défi YouTube (réalisé avec succès) : électrocuter des petites racailles de banlieues voleuses de téléphones portables [VIDÉO]

 

Source et Video

Mantes-la-Jolie : il menace d’« égorger » les fidèles à la messe

Lu dans Le Parisien du 29 décembre 2017 :

« Le maire de Mantes-la-Jolie, Raphaël Cognet (LR) et le curé de l’église du Val-Fourré ont porté plainte après les propos tenus par un individu, dimanche dernier à la fin de la messe.

Alors que l’office religieux était en train de se terminer, un inconnu est entré dans l’église et a tenu des propos inquiétants, menaçant d’égorger les fidèles. Parmi les personnes présentes figuraient le maire de Mantes-la-Jolie et le curé. Ils n’auraient toutefois pas été précisément visés.

L’homme, âgé d’une trentaine d’années, n’a toujours pas été retrouvé. »

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Un tiers des mosquées algériennes contrôlées par les salafistes (El Watan)

Extrait d’un long article du journal algérien El Watan:

« Après l’obtention du diplôme, nous apprend notre source, les étudiants déjà acquis aux thèses salafistes reviennent pour s’insérer dans le département des Affaires religieuses par le biais du concours au poste d’imam sur tout le territoire national. «Personne ne peut le leur refuser, puisqu’ils disposent d’un diplôme reconnu par l’Etat», indique notre interlocuteur.

Et c’est de cette manière que le département des Affaires religieuses se retrouve confronté à des imams plus prompts à diffuser le wahhabisme que l’islam majoritairement pratiqué par les Algériens. Quand le ministère de Mohamed Aïssa s’en est rendu compte, c’était trop tard, le mal était déjà fait.

Ce sont des centaines de jeunes, précise notre source, à avoir pris part aux concours de recrutement des Affaires religieuses. «Si un tiers des imams de la République est aujourd’hui salafiste, dans dix années, et si cela continue à fonctionner de la même manière, 80% des imams seront salafistes», prévient notre source.

Les réseaux salafistes travaillent insidieusement en profondeur la société algérienne et se donnent les moyens de leur politique. Ils ont un «markez salafi» à Rouiba, contrôlent plusieurs mosquées dans lesquelles ils dispensent des cours et organisent périodiquement des séminaires aux quatre coins du pays.

Ils ont monté une véritable machine de propagande qui leur permet aussi de distribuer des centaines de milliers de prospectus, de dépliants et des flyers contenant des fatwas sur plusieurs sujets de société, allant de la hauteur des talons des femmes, jusqu’aux questions de sexualité les plus taboues dans la société. Lire la suite dans El Watan

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