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jeudi, 11 janvier 2018

Ce ne sont pas des réfugiés, mais une force d’invasion musulmane

Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a rendu visite au dirigeant bavarois Seehofer à deux jours des négociations pour la formation d’un gouvernement en Allemagne. Et dans un entretien au grand journal allemand Bild, l’homme fort de Budapest n’a pas mâché ses mots, comme à son habitude : pour lui, l’immigration massive affaiblit la démocratie en Europe et les « réfugiés » sont en fait « une force d’invasion musulmane ».

À deux jours du début des négociations pour la formation d’un gouvernement en Allemagne, le Premier ministre national-conservateur Viktor Orbán s’est rendu en Bavière pour y rencontrer son allié Horst Seehofer, allié de Merkel et patron du CSU, le parti frère du CDU d’Angela Merkel, bien que beaucoup plus prudent et sceptique quant à l’immigration. Et cette visite n’a rien d’accidentelle : à travers la Bavière, bien plus proche historiquement et culturellement de l’Europe centrale représentée par le groupe de Visegrád que le nord de l’Allemagne, plus « prussien », Viktor Orbán, qui jouit d’une grande popularité dans l’opposition de droit en Allemagne, sait qu’il peut influencer la politique allemande de façon indirecte. Dans son discours à la presse donné à l’issue des discussions, Viktor Orbán a rappelé son opposition à l’immigration et son rôle pour protéger la Bavière de l’immigration illégale depuis 2015 et pour le respect du droit, « alors qu’ailleurs en Europe le chaos et l’illégalité étaient célébrés ».

« 2018 sera l’année de réaffirmation de la volonté du peuple [concernant l’immigration], » a ajouté le chef du gouvernement hongrois, grand favori des sondages en vue des élections d’avril 2018, pour briguer son 3e mandat consécutif – et quatrième de sa carrière. Selon Viktor Orbán, l’immigration est devenue « un problème pour la démocratie » car les gouvernants de nombreux pays ne font pas ce que les gens attendraient d’eux concernant l’immigration ». Le lien entre terrorisme et immigration est évident pour le Premier ministre hongrois, qui rajoute que la majorité des Européens ne veulent pas vivre avec des gens qui, comme il l’a déclaré dans un entretien accordé au grand journal allemand Bild, « ne sont pas des réfugiés mais une force d’invasion musulmane », ou encore des « gens qui traversent quatre pays sûrs, où leur vit n’est pas en danger, avant d’arriver en Hongrie, et continuer vers l’Allemagne ». Il s’agit « de migrants économiques, qui veulent une vie au niveau de celle des Allemands ».

La lutte contre Soros au cœur de la campagne électorale

Autre combat célèbre du Premier ministre hongrois, George Soros et ses réseaux. Interrogé par Bild sur sa campagne d’affichage contre George Soros, Viktor Orbán a expliqué que le soutien du spéculateur et financier milliardaire à environ 60 ONG pro-immigration constitue un risque pour la sécurité nationale. Le Premier ministre hongrois a également rappelé que la Hongrie n’était pas le seul pays à avoir une barrière anti-immigration (l’Espagne, la Bulgarie, la France ou encore la Lettonie en ont, par exemple) ni le seul pays à avoir refusé les quotas de migrants que Bruxelles cherchait à imposer (rappelant aussi que plus de 20 États membres n’ont pas rempli leurs obligations sur cette question).

Ce mardi 9 janvier, l’eurodéputé des Verts hollandais, Judith Sargentini, est arrivée en Hongrie afin « d’observer la situation » de l’État de droit dans le pays pour le compte du Parlement européen. Ceci malgré sa proximité affichée pour les ONG anti-gouvernementales, la direction de la CEU mise en cause au printemps dernier par le gouvernement de Viktor Orbán et George Soros lui-même, comme l’ont révélé les DC Leaks : malgré sa présence sur les listes des « alliés fiables » de George Soros, Judith Sargentini sera le rapporteur pour l’Union européenne sur ce dossier sensible. De quoi donner encore plus d’eau au moulin de Viktor Orbán, à trois mois des élections.

Article paru sur le site VPost.

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Viktor Orban : les réfugiés sont plutôt des envahisseurs musulmans

 

4 w=993 q=high c=0.bildDans un entretien avec le journal allemand Bild le 7 janvier, Viktor Orban s'est livré sur les raisons du refus de Budapest d'accueillir des réfugiés. 

«Nous ne considérons pas ces gens comme des réfugiés musulmans», précisant les voir plutôt comme des «envahisseurs musulmans».

«Si quelqu'un veut venir dans votre maison, il frappe à votre porte et demande : "Pouvons-nous entrer, pouvons-nous rester ?" Ils ne font pas cela, ils ont franchi la frontière illégalement». 

Poursuivant son raisonnement, le Premier ministre de la Hongrie a qualifié le multiculturalisme d'«illusion», jugeant que les sociétés musulmane et chrétienne «ne s'unir[aient] jamais». Quant à l'arrivée d'un grand nombre de musulmans sur le Vieux continent, elle aurait résulté selon lui en l'apparition de «sociétés parallèles».

«Je n'ai jamais compris comment le chaos, l'anarchie et le franchissement illégal de frontières étaient considérés comme des choses positives dans un pays comme l'Allemagne, que nous considérons comme le meilleur exemple de discipline et de respect de la loi».

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Plus important que l'interdiction du porc à la cantine : l'islamisation à l'école

 

Source et Document

400 € d'amende pour avoir brandi un exemplaire de Valeurs actuelles

 

6a00d83451619c69e201b8d2be042c970c-320wiNous avions relayé le harcèlement judiciaire subi par Claudine Dupond-Tingaud, militante historique de la droite nationale, pour avoir brandi un exemplaire de Valeurs actuelles le 11 novembre dernier à Quimper. Elle avait même subi 5 heures de garde à vue !

La justice a rendu son verdict et, en plus d'un rappel à la loi, elle a reçu une amende de 400 € pour "outrage à agent public". Voici la réaction de ses proches :

"Il est bien évident que le droit à la libre expression est une nouvelle fois bafoué car c’est bien le « rappel » à la vigilance de nos concitoyens, tous qu’ils le veulent ou non de culture chrétienne face à l’islam déjà omniprésent par des milliers de migrants en Europe, qu’elle voulait exprimer et qu’il s’agissait d’étouffer sous commandement du préfet du Finistère !

Ce jour-là, 11 Novembre, particulièrement cher à son cœur – puisqu’anniversaire de celui de 1940 où son père, Jacques Dupont, fut arrêté et emprisonné pour avoir, avec ses camarades monarchistes, participé à la première manifestation de résistance à l’occupant sous l’Arc de Triomphe à Paris – elle voulait donc rappeler, sous la protection sacrée des tombes des anciens combattants morts pour la patrie dont on évoquait le sacrifice, que d’autres « combats » devaient être menés par les futurs combattants présents ce jour-là et à l’écoute des interventions officielles appelant à une paix qui ne peut exister qu’après avoir gagné les guerres, celles passées comme celles à venir…

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En Marche infiltré par des islamistes et leurs idiots utiles

 

La Video

Toulouse : profs en grève et lycéens fichés S tentés par le djihad

 

Capture d’écran 2018-01-09 à 21.23.52Une soixantaine d’enseignants du lycée Joseph-Gallieni (sur 120) à Toulouse sont en grève, devant l’entrée de l’établissement qui accueille plus de 1 000 élèves du CAP au bac professionnel et technologique. Les cours ont été suspendus et remplacés par des ateliers pour que la parole s’exprime et atténue les maux d’un lycée qui est devenu un espace de non-droit. Les profs sont au bord de la crise de nerfs, certains pleurent en racontant leur quotidien fait d’incivilités et de violences. 

Agressions verbales et physiques « qui se généralisent et se banalisent », « intrusion d’élèves extérieurs qui viennent semer le trouble et commettent des infractions », vols en classe, à l’internat, généralisation de bagarres violentes dans l’enceinte de l’établissement, violences sexistes subies par les filles, élèves et parents qui viennent la peur au ventre, souffrance des enseignants, trafic de stupéfiants, etc.

Et puis les professeurs ont découvert que des lycéens sont fichés S. Virginie, professeur de lettres et histoire, raconte :

« À une prérentrée, un collègue a demandé à la police de connaître les élèves qui ont un casier judiciaire et le policier lui a répondu qu’il ne préférait pas lui donner ces informations, pensant qu’on aurait peur de rentrer dans certaines classes. On a eu, une année, des élèves partis pour tenter d’aller faire le jihad. Quand ils sont revenus, le rectorat nous a répondu de faire appel à notre bon sens pour gérer le problème ».

« Dans les 1 000 élèves du lycée, on a des profils très particuliers. Certains sont très volontaires, mais on a aussi une minorité qui relève de structures spécialisées, médicales, ou relatives à la justice : des élèves qui sortent de prison, qui viennent en cours avec le bracelet électronique, d’’autres qui ont un casier judiciaire assez fourni qu’on nous demande d’intégrer. On fait tout pour que la poudrière explose. »

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« Les banlieues brûleront de la Suède jusqu’à Marseille… si nous échouons, les vies de nos petits-enfants seront ruinées » (N°2 du gouvernement hongrois)

ETREBROADEL (09/01/2018) Dans un entretien accordé à la chaîne hongroise Echo TV, le Vice-Premier ministre hongrois Zsolt Semjen a fortement mis en garde contre le caractère « irréversible » des dégâts causés par l’immigration extra-européenne.

« La situation à propos de l’immigration est simple, si nous ratons, nous ne serons plus jamais capables de la redresser. Non seulement nos vies seront ruinées, mais la vie de nos enfants et de nos petits-enfants aussi » a déclaré le numéro deux du gouvernement de Viktor Orban.

Selon le président du Parti Chrétien-Démocrate, la « bureaucratie bruxelloise » veut construire les Etats-Unis d’Europe en détruisant ceux qu’elle considère comme les plus grands ennemis de « l’Empire Européen », les états-nations, et cherche des auxiliaires dans l’immigration extra-européenne, chez des migrants sans attaches nationales.

M. Semjen a ensuite affirmé que les principaux politiciens de Bruxelles mettaient en danger les citoyens européens, tandis qu’ils se présentent comme les « bons Samaritains qui acceptent les migrants », par opposition aux « mauvaises personnes » qui ne le font pas. Le Vice-Premier ministre a souligné que les futures générations souffriraient des conséquences de l’immigration.

« Que se passera-t-il ? Un jeune homme d’origine immigrée violera une adolescente allemande et le père de l’enfant l’abattra en retour. Des émeutes surviendront dans les ghettos de migrants, ils attaqueront un village et ses habitants se protégeront. Les banlieues brûleront de Malmö (en Suède, ndlr) à Marseille«  a prédit le représentant du gouvernement hongrois.

M. Semjen a enfin souligné les efforts de la Hongrie en faveur des Chrétiens persécutés dans le monde musulman.

(Source : Voice of Europe)

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Immigration et pape François : où est passée la prudence traditionnelle de l’Église ?

Malgré quelques références à ses prédécesseurs, il est évident que le souverain pontife accorde à la question des migrations une importance beaucoup plus grande qu’ils ne le faisaient, et surtout qu’il abandonne la position équilibrée du Saint-Siège pour développer une conception très favorable à l’immigration.

Le Compendium de la doctrine sociale de l’Église n’évoquait les immigrés qu’à six reprises en 330 pages et ne consacrait, en fait, que deux courts paragraphes au problème, essentiellement sous l’angle du travail.

« L’émigration peut être une ressource, plutôt qu’un obstacle », résume la pensée. L’idée que l’immigration était une nécessité pour les régions les moins favorisées et qu’elle répondait à une offre de travail non satisfaite conduisait à la considérer comme un phénomène bénéfique, mais à réglementer dans un souci d’équilibre et d’équité, en excluant l’exploitation des travailleurs, en respectant les liens familiaux et en encourageant le maintien dans les zones d’origine, grâce à l’aide au développement.

Même si l’on pouvait formuler des critiques techniques sur l’offre de travail non satisfaite ou sur le regroupement familial, l’inspiration morale du texte était clairement évangélique et, par ailleurs, prudente. On retrouve ce même souci d’équilibre dans les déclarations de Benoît XVI qui, dans son encyclique Caritas in veritate, met en regard « la sauvegarde des droits et des exigences des personnes et des familles émigrées » et « ceux des sociétés où arrivent les immigrés ».

Benoît XVI est européen. Il est informé d’un certain nombre de comportements et des réactions qu’ils entraînent chez les chrétiens.

Le Pape François a abandonné cette prudence et cet équilibre. Il a multiplié les gestes symboliques depuis son premier voyage pontifical le 8 juillet 2013 à Lampedusa. Depuis quelques mois, les déclarations se succèdent. Le jour de l’Assomption, il signe un texte destiné à la 104e Journée mondiale des migrants et réfugiés et formule vingt et une propositions. Celles-ci sont, sans retenue, un appel en faveur d’une politique d’ouverture à l’immigration. Les visas doivent être facilités. Un système d’immigration, des corridors doivent permettre de légaliser l’immigration illégale. Il ne faut pas recourir aux expulsions « non adéquates ». Il faut éviter les détentions. Il faut accorder le maximum de droits, de libertés et d’aides aux immigrés, en matière de justice et d’accès au travail notamment. Il faut respecter leur identité culturelle, mais leur offrir une citoyenneté dissociée du travail et de la pratique de la langue… C’est-à-dire sans intégration ni même insertion, pour ne pas évoquer l’assimilation qui ne respecterait pas l’identité culturelle des nouveaux arrivants !

 Ce texte politique, donc hors infaillibilité, dépasse de très loin le domaine où le pape doit être écouté par les catholiques avec respect et fidélité. Il s’agit d’un texte qui entend dicter leurs choix aux États et aux peuples au mépris de ce que les nations peuvent légitimement concevoir comme leur bien commun. Que les catholiques eux-mêmes s’inquiètent de la présence grandissante et parfois provocatrice d’une religion qui n’est ni proche du christianisme, ni « de paix et d’amour », devrait interpeller le successeur de saint Pierre. Que des décisions en matière de sécurité, de détention, d’octroi de visas et, plus encore, d’acquisition de la citoyenneté relèvent des États selon la volonté des peuples est une évidence criante qui semble échapper au souverain pontife.

Sa cinquième proposition est inacceptable : « Toujours faire passer la sécurité personnelle avant la sécurité nationale », autrement dit, la sécurité du migrant passe avant la sécurité de l’État qui accueille.

En novembre dernier, à l’occasion de la 5 1e Journée mondiale de prière pour la paix, le Saint-Père avait fixé quatre objectifs : accueillir, promouvoir, protéger, intégrer. Ce cadre s’accompagnait d’une critique de la suspicion dont témoigneraient les populations locales. Et il concluait en appelant les médias à démasquer les stéréotypes qui en seraient responsables.

Il est éprouvant, pour un catholique qui balance entre charité et responsabilité, de trouver dans les propos du pape non une source d’inspiration, mais exactement les mêmes arguments que ceux répandus par le mondialisme et la pensée unique. Le grand Autre n’est plus le prochain mais le lointain, sans souci du petit peuple. Les papes nous avaient habitués à plus de sagesse et à plus de lucidité.

Christian Vanneste

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Hexagone – La barre des 100 000 demandes d’asile franchie en 2017

La France a enregistré un peu plus de 100 000 demandes d’asile en 2017, un niveau “historique”, alors que le gouvernement prépare une loi sur l’immigration déjà à l’origine de débats animés.

“C’est un niveau historique”, a déclaré hier Pascal Brice, directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). Il y avait moins de 20 000 demandes en 1981, année la plus ancienne pour laquelle l’Ofpra a fourni des données.
“Nous assistons à une augmentation exceptionnelle” de la demande d’asile, intervenant “alors même que la demande chute de près de moitié dans les pays européens”, a, de son côté, affirmé le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb.

Alors qu’un gros tiers des demandeurs ont obtenu le statut de réfugié l’an dernier, ces chiffres ne devraient pas manquer de nourrir le vif débat sur la politique migratoire, qu’Emmanuel Macron veut à la fois plus digne s’agissant de l’accueil des étrangers ayant obtenu l’asile et plus stricte dans les reconduites de déboutés.

Le sénateur Les Républicains (LR) Roger Karoutchi, rapporteur d’un récent rapport très critique sur l’intégration des réfugiés, a réagi en déplorant que l’asile soit “détourné en passoire pour l’immigration économique”. La présidente LR de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a, pour sa part, exhorté le gouvernement à publier chaque mois les chiffres mensuels des reconduites aux frontières.

“Nous avons éloigné 26 000 personnes l’an dernier, avec une hausse de 14 % des éloignements forcés” qui ont ainsi atteint “14 000 au cours des onze premiers mois de 2017”, a affirmé Gérard Collomb, assurant que “le but, demain, est de continuer à améliorer les conditions de retour, qu’il soit contraint ou volontaire”.

Un projet de loi sur l’asile et l’immigration, préparé par Gérard Collomb, doit être présenté dans les deux mois en conseil des ministres.

Face aux inquiétudes des associations de défense des étrangers et aux divisions de la majorité, le Premier ministre Édouard Philippe a promis en décembre une “consultation” avec des réunions cette semaine.

Les demandes d’asile ont augmenté de 17 % l’an dernier, atteignant 100 412 au total (dont 19 141 mineurs), après une progression de 6,5 % en 2016.

“Cela confirme que la France est dans les tout premiers pays de la demande d’asile en Europe”, a ajouté Pascal Brice, notamment derrière l’Allemagne qui s’attend à examiner près de 200 000 dossiers.

Toutefois, pour avoir une vision exhaustive, il faut ajouter à ces chiffres ceux des migrants n’ayant pas encore déposé leur dossier à l’Ofpra.

La première étape de la procédure se fait en effet en préfecture, qui examine si les personnes relèvent d’un autre pays européen où ils sont déjà enregistrés (au titre du règlement “Dublin”).

Dans une circulaire fin novembre, Gérard Collomb estimait qu’“aujourd’hui, près de 52 % des demandeurs” relevaient de cette procédure “Dublin”. Au nom de la “fermeté”, le ministre de l’Intérieur a annoncé avoir “doublé le nombre de transferts à 2 330” l’an dernier.

Le “taux d’accord”, qui permet aux demandeurs de devenir réfugiés, a fléchi, passant de 38 % en 2016 à 36 % l’an dernier.

Une baisse qui s’explique, selon Pascal Brice, par le fait que beaucoup de personnes venaient de pays où l’absence de conflit ou de persécution justifiait peu la demande d’asile.

L’an dernier, le premier pays d’origine a en effet été l’Albanie, avec 7 630 demandes (hors mineurs accompagnants), soit une hausse de 66 %. L’Albanie étant considéré comme “d’origine sûre”, l’Ofpra n’a accordé sa protection qu’à 6,5 % des demandeurs.

Viennent ensuite les Afghans avec 5 987 demandes (+6 %), les Haïtiens (stable à 4 934), puis les Soudanais (-24 % à 4 486), et les Guinéens qui ont été 3 780 à solliciter l’asile, soit un bond de 62 %.

On observe en effet une forte progression des ressortissants de pays d’Afrique de l’Ouest et francophone, notamment des Ivoiriens dont le nombre a plus que doublé (3 243) et des ressortissants de République démocratique du Congo (+15 %, à 2 941).

Malgré un taux de protection de 95 %, les Syriens ont en revanche été moins nombreux à solliciter l’asile, avec une baisse de 10 % à 3 249 demandes.

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