Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 16 janvier 2018

Terres de mission n°61 : Peut-on encore critiquer l’Islam ?

Terre de missions reçoit François Billot de Lochner, président de la Fondation de Service Politique. Il fait un point sur l’un des combats actuels majeurs de la Fondation : le combat contre la pornographie. Une démarche qui l’a amené à porter plainte contre le ministère de l’Education nationale pour incitation à la débauche.


En deuxième partie, l’abbé Paul Aulagnier parle de son dernier livre : « A la fin, mon coeur immaculé triomphera ». Ce livre consiste en une lecture ligne à ligne, et même souvent mot à mot, des principales hymnes mariales du bréviaire romain traditionnel. Avec une attention toute particulière à la poésie de ces oeuvres magnifiques, de même qu’à leur admirable densité doctrinale.


Enfin dernière partie, l’abbé Guy Pagès, dont la page Facebook vient, une nouvelle fois, d’être suspendue, discute de la curieuse situation actuelle où, en Occident même, les pouvoirs publics et les grandes sociétés appliquent, d’une certaine façon, la charia, puisqu’ils condamnent toute critique de l’Islam comme une sorte de racisme – condamnant ainsi certains musulmans à demeurer enfermés dans leurs erreurs.

Source et Video

Pour la quatrième année de suite, l'immigration a reculé en Suisse en 2017

Plus de 2 millions d'étrangers vivent en Suisse. Mais ils étaient moins nombreux à entrer dans notre pays en 2017 qu'en 2016. Un recul qui se répète depuis 4 ans. Les Italiens, avec près de 320'000 représentants, sont toujours les plus nombreux, devant les Allemands et les Portugais.

Le nombre de personnes ayant immigré en Suisse a reculé l'année dernière. Environ 137'800 sont arrivées de janvier à décembre, ce qui correspond à une baisse de 4% par rapport à 2016.

C'est la quatrième année consécutive de baisse, a indiqué lundi le Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM). A fin 2017, la Suisse comptait 2,05 millions d'étrangers, soit 1,2% de plus qu'en 2016.

 

Au 31 décembre, 1,4 million de citoyens d’Etats membres de l’UE ou de l’AELE vivaient en Suisse (+1,1%). S'y ajoutaient près de 648'000 ressortissants d’Etats tiers (+1,4%).

Les Italiens restent le groupe le plus important des étrangers de Suisse. Ils étaient 319'367 à fin décembre. Suivent les Allemands (305'785) et les Portugais (268'012).

Plus de Français, moins de Portugais

Le nombre de ressortissants français a connu la plus forte progression (+4212 personnes). Les Portugais ont connu une évolution inverse, affichant le recul le plus marqué (−1509 personnes).

Le solde migratoire de 2017 est nettement inférieur à celui de 2016, avec un total de 53'221 personnes (−11,7%). Les émigrants, soit les personnes quittant la Suisse, ont augmenté de 2%, à 79 104 personnes. L’immigration nette en provenance de pays qui bénéficient de la libre circulation des personnes (UE-28/AELE) a diminué de plus d'un cinquième. Son niveau est le plus bas jamais atteint depuis 2007.

Comme les années précédentes, le principal motif d'immigration a été l'exercice d'une activité lucrative (près de 47% des cas). Le regroupement familial (31%) arrive en deuxième position.

Source

 

L'hystérie du débat sur l'asile et l'immigration est incompréhensible

Alors que deux textes sont en gestation concernant l'asile et l'immigration, chaque camp hurle son opposition aux mesures proposées. Il n'y a plus aucune sérénité dans le débat.

Est-ce qu’on peut encore débattre sérieusement de l’asile et de l’immigration ?

 
 C’est devenu très difficile. Il faut dire que la France, comme toute l’Europe, comme tout l’Occident, traverse une profonde crise identitaire, une sorte de sentiment d’insécurité culturelle qui ébranle les esprits et les opinions. Aucun gouvernement ne peut l’ignorer sans prendre le risque d’une déferlante populiste, voire extrémiste.

Le gouvernement, pour des raisons qui tiennent à cette crise, aussi sans doute pour des raisons politiques, a mis deux textes au cœur du débat. Il y a la circulaire Collomb, dont on parle depuis plusieurs jours, sur la vérification des droits des migrants, et le projet de loi en gestation sur l’asile et l’immigration.

On n’a jamais de chiffres parfaits dans ce domaine. Il y a d’abord les demandeurs d’asile, ceux qui viennent en France parce qu’ils sont en danger dans leur pays et demandent l’asile à la France, ce qui est un droit traditionnel. Il y en a eu 85 844 en 2016. Par comparaison, en 2010, il n’y en avait que 52 000 et 32 151 ont été admis.

Le solde migratoire, calculé par l’INSEE, là aussi avec toutes les incertitudes dues au fait qu’il y a beaucoup de clandestins, c’est 67 000 par an.

Après, il y a la différence entre les étrangers et les immigrés. 11,6 % des habitants sont nés à l’étranger, c’est à dire 7,6 millions d’habitants français. Là-dessus, 5,9 millions sont nés de nationalité étrangère et sont donc des immigrés. Ça fait 8,9 % de la population. Mais une partie de ceux qui sont nés à l’étranger ont acquis la nationalité française.

C’est donc très compliqué de s’y retrouver et ces chiffres sont à corriger de tout ce qu’on ne connaît pas.

Deux projets. Le projet de loi sur l’immigration et l’asile, d’abord, que certains au gouvernement, paraît-il, appellent plan de dissuasion migratoire, comporte quelques mesures de durcissement. La durée du titre de première admission va passer de un an à quatre ans. On va, en revanche, donner le bénéfice de la réunification familiale pour les mineurs aux ascendants mais aussi aux frères et aux sœurs.

Autre mesure de durcissement, le délai de recours à la commission nationale du droit d’asile va passer de un mois à 15 jours. L’effet de la décision sera probablement à la lecture et non plus à la notification. On va pouvoir vérifier les droits de séjour avec une retenue qui va passer de 16h à 24h. On aura la possibilité de supprimer le délai de départ volontaire ou d’imposer l’assignation à résidence pendant ce délai.

Quelques mesures d’assouplissement, qui ne sont pas négligeables, et des mesures de durcissement, qui font hurler les uns et les autres. Il n’y a plus de sérénité dans ce débat. Le texte, en réalité, ne va pas changer grand-chose. Je pense même que les mesures d’assouplissement ont un potentiel plus grand que les mesures de durcissement, mais qui sont raisonnables même si elles sont technocratiques et administratives.

La circulaire Collomb est encore pire. Elle dit qu’on va vérifier dans les centres d’accueil, les centres d’hébergement d’urgence, les droits de chacun. C’est quand même la moindre des choses ! Il n’y a pas à se scandaliser parce qu’on va vérifier les droits. On va envoyer des fonctionnaires de préfecture, qui vont vérifier et qui ensuite appliqueront la loi. Les hurlements sur le sujet sont incompréhensibles et disproportionnés. Il ne s’agit que d’appliquer le droit.

Dernier sujet, faire passer de 45 à 90 jours la durée de rétention administrative pour ceux qui doivent rentrer dans leur pays. Les associations hurlent que ça ne change rien. Mais si ça ne change rien,il n’y a pas de raison de hurler. En réalité, ça change pour quelques-uns et ce sont des cas qui ne sont pas négligeables. Il faut comparer ce qui est comparable. 180 jours en Allemagne et aucune limite en Grande-Bretagne.

Pour la plupart, les expulsions se font après 15 jours, sous le contrôle du juge des libertés. Il n’y a pas de quoi s’émouvoir à ce point. L’hystérie du débat est radicalement incompréhensible.

Le gouvernement a raison d’aller sur ce terrain. Il faut juste raison garder tout en conservant la dignité nécessaire d’accueil et les droits de ceux qui sont poursuivis dans leur pays.

Il faut rassurer des populations qui sont aujourd’hui extrêmement angoissées.

Écoutez la chronique d'Henri Guaino dans le Grand Matin Sud Radio, présenté par Patrick Roger et Sophie Gaillard

Source et Document

Grand remplacement et disparition des Blancs : l’argument principal contre l’accueil des migrants ?

Parmi les arguments que l’on entend en France contre l’accueil des migrants, on entend souvent le fait qu’il y a « déjà trop de chômeurs en France » et qu’il ne faudrait pas en plus rajouter de la concurrence étrangère. Ou encore, qu’on ne pourrait pas « supporter toute la misère du monde » économiquement (autrement dit, faire en sorte que notre système de protection sociale fonctionne dans une société sans frontière).

A contrario, l’argument principal, celui de la survie ethnique des Européens blancs dans un monde où ils sont minoritaires, n’est jamais repris par aucun responsable politique, le courage n’étant il est vrai pas la principale qualité de ceux qui font le jeu électoral à l’Ouest.

Pourtant, c’est bien cette question du grand remplacement – et à terme de la disparition des Blancs d’Europe sur leurs propres terres d’origine – qui se pose. L’argument serait dit-on inaudible dans une société de l’immédiat, incapable de se projeter deux siècles en avant dans notre histoire. Qu’importe, il est imparable.

Philippe Lemoine, candidat au doctorat en philosophie à l’Université de Cornell (Etats-Unis), l’a d’ailleurs parfaitement expliqué en plusieurs tweets, réagissant au sondage que nous avons commenté à propos de ces Français qui « valideraient la théorie du grand remplacement » jugée complotiste. Son argumentation est imparable.

La véracité du grand remplacement

« Ce qui me frappe » écrit-il, « ce n’est pas que 48% des Français croient à la théorie du grand remplacement, c’est le nombre de gens qui, bien que connaissant les lois de l’arithmétique, en parlent comme si c’était un délire d’extrême droite ». Et M. Lemoine de dérouler ses arguments :

Si par « théorie du grand remplacement », on parle de l’idée selon laquelle, à moins que notre politique d’immigration ou que les données démographiques de base ne changent complètement, les Français d’origine européenne vont à terme devenir minoritaires, alors il ne fait aucun doute que cette théorie est vraie et j’ai vraiment du mal à comprendre comment autant de gens qui sont a priori intelligents peuvent nier cela en dépit du bon sens et souvent (mais pas toujours) de bonne foi.

Ce n’est pourtant pas compliqué à comprendre : dès lors que la population d’origine extra-européenne continue à s’accroître plus rapidement que la population d’origine européenne, elle finira par devenir majoritaire, peu importe qu’elle soit pour l’instant très minoritaire.

Or il suffit de 5 minutes pour constater que, sous le double effet des flux migratoires et d’une fécondité plus importante, la population d’origine extra-européenne s’accroît en effet plus rapidement que la population d’origine européenne.

On entend souvent des gens minimiser l’apport démographique de l’immigration parce qu’ils ne regardent que le solde migratoire global, qui est souvent relativement faible, i. e. entre 50.000 et 100.000.

Mais si on décompose le solde migratoire, on voit que c’est surtout parce que beaucoup de Français nés en France quittent le territoire. Le solde migratoire des immigrés est beaucoup plus importants, i. e. entre 150.000 et 200.000 par an .

Les femmes immigrées d’origine extra-européennes ont en effet un taux de fécondité beaucoup plus important que celui des femmes nées en France. Il est vrai que la fécondité des descendantes d’immigrés d’origine non-européenne est à peine supérieure à celle des Françaises de la population majoritaire, mais quand bien même serait-elle exactement la même, le taux de fécondité des femmes d’origine non-européenne n’en serait pas moins supérieure à celle des femmes de la population majoritaire, puisque c’est une moyenne pondérée du taux de fécondité des femmes immigrées d’origine non-européenne et du taux de fécondité des femmes nées en France d’origine non-européenne.

Il s’ensuit que, en raison des flux migratoires et de cette différence de fécondité, la population d’origine non-européenne s’accroît plus rapidement que la population d’origine européenne. Par conséquent, à moins de rejeter les lois de l’arithmétique (ce qui est rarement une bonne idée), il est absolument indiscutable que, si les tendances démographiques restent les mêmes et qu’on ne change pas notre politique d’immigration, la proportion des individus d’origine non-européenne va augmenter et celle des individus d’origine européenne va diminuer progressivement jusqu’à ce que les premiers deviennent majoritaires.

Est-ce que les tendances démographiques vont rester les mêmes ? Pour vous aider à répondre à cette question, je vous suggère de jeter un coup d’oeil aux projections de population de l’ONU pour l’Afrique et l’Europe : Je vous laisse vous faire une idée..

Bref, il ne fait quasiment aucun doute que, à moins que nous ne changions de politique d’immigration, la population d’origine européenne deviendra un jour minoritaire. On ne peut nier cela sans être complètement irrationnel. Je note d’ailleurs qu’on peut déjà observer ce phénomène dans les données officielles. Voici par exemple l’évolution du profil des naissances depuis 1998 d’après l’INSEE. Voyez ce billet de blog pour les sources et quelques détails .

Certes, il y a également des unions mixtes, mais d’après les données de l’Enquête trajectoires et origines de l’Ined, seuls 43% des enfants nés entre 2006 et 2008 ayant au moins un grand-parent né en dehors de l’UE à 27 avaient un parent qui n’était ni immigré ni enfant d’immigré. C’est mieux que ce qu’on pouvait redouter, mais c’est tout de même limité. On peut aussi craindre que, à mesure que la proportion des individus d’origine non-européenne dans la population s’accroîtra, cette mixité deviendra d’autant moins courante que les descendants d’immigrés d’origine non-européenne auront une probabilité plus importante de tomber sur un membre de leur propre groupe quand ils chercheront un conjoint.

Cette substitution démographique progressive n’est d’ailleurs pas un phénomène uniquement français. C’est quelque chose qu’on observe dans la plupart des pays d’Europe de l’Ouest.

Voici par exemple le résultat des projections démographiques réalisées par le Pew Research Center, qui a estimé la proportion de la population qui sera musulmane dans les pays européens en 2050. 

Il est important de noter que, si l’on s’intéresse à l’évolution de la proportion des individus d’origine non-européenne, cette projection est trompeuse pour plusieurs raisons. D’abord, il s’agit uniquement de projections sur la population *musulmane*, mais 1) les musulmans ne sont qu’une partie des gens d’origine non-européenne et les projections de Pew tiennent compte du fait qu’une partie des gens dont les parents sont musulmans ne se considèrent pas eux-même comme musulmans et 2) les chiffres de Pew donnent la proportion e la population *dans son ensemble* qui sera musulmane en 2050, mais évidemment chez les jeunes, cette proportion sera beaucoup plus importante, car la plupart des gens aujourd’hui seront encore vivants à ce moment-là et pour l’instant les musulmans sont très minoritaires.

Par conséquent, il est fort possible et même probable que, dès 2050, les individus d’origine non-européenne seront majoritaires chez les personnes en dessous d’un certain âge. (J’essaierai de faire une projection avec un modèle démographique sérieux quand j’aurai le temps.) Or, dès lors que nous aurons atteint ce point d’inflexion, il sera devenu inévitable que les individus d’origine européenne deviennent à terme minoritaires. Naturellement, les projections démographiques sont toujours un exercice délicat, et les prédictions dépendent des hypothèses du modèle. Mais si vous avez suivi ce que j’ai expliqué au début de ce thread, vous devez bien voir que, même s’il y a une incertitude sur la date exacte à laquelle les individus d’origine européenne seront devenus minoritaires, il ne fait aucun doute que ça finira par arriver à moins qu’on ne change notre politique d’immigration.

Quand j’explique tout ça, je m’entends souvent dire que ce n’est pas grave si les individus d’origine extra-européenne deviennent majoritaires.

Bien sûr, vous avez tout à fait le droit de penser ça (même si dans 99% des cas les gens qui disent ça n’en pensent pas un mot), mais ne dites pas que c’est un fantasme, à moins que vous ne croyiez que les chiffres de l’INSEE sont faux ou que l’arithmétique est raciste. Je note d’ailleurs que, dans certains pays européens (sans parler des États-Unis), on parle de ça beaucoup plus ouvertement.

Pour qu’il y ait un véritable débat démocratique sur la politique d’immigration, il faut que les gens soient informés des conséquences des différents choix que l’on peut faire dans ce domaine, donc que les journalistes/intellectuels cessent de présenter ce phénomène comme un fantasme d’extrême-droite alors que c’est une réalité. Vu ce que j’ai lu sur Twitter ce matin, il y a encore du boulot.

« un continent où les Blancs ne seraient qu’une minorité parmi les autres »

En Europe, des dirigeants comme les leaders polonais ou hongrois ont parfaitement compris ce qui attendait les populations d’Europe si elles ouvraient leurs frontières – comme l’appellent de tous leurs vœux associations subventionnées, pouvoir politique et économique en France, et même le Pape. Car derrière l’accueil de migrants, qu’ils soient réfugiés ou pas, musulmans ou pas, et pour quel que soit le motif (famine, humanitaire, guerre …) il y a des hommes et des femmes, et des enfants, qui vont être amenés à rester durablement en Europe, à s’y reproduire, dans ce qui s’apparente à une forme de colonisation, pas toujours pacifique par ailleurs.

Les premières vagues d’immigration extra-européennes ont déjà montré toutes les limites de l’intégration et du mélange entre communautés. Ces nouvelles vagues pourraient contribuer à accélérer la transformation à moyen terme d’un continent blanc en un continent métissé, communautarisé, où les blancs ne seraient qu’une minorité parmi les autres.

La réalité, c’est cela, et cela arrivera rapidement, notamment parce que le seul argument opposé aujourd’hui à ceux qui veulent faire de leurs communes des « terres d’accueil » pour les damnés de la terre, c’est celui du chômage, ou celui de l’insécurité possible, ou encore celui des différences culturelles trop importantes. Ce sont des faux arguments de comptoir, qui ne prennent pas en compte le moyen ni le long terme.

La réalité, c’est que demain, l’homme blanc pourrait d’abord devenir minoritaire, puis disparaitre de la terre qu’il a façonné, développé et marqué de son emprise durant toute son histoire.

Certains – qui ont choisi le camp des traitres comme il y en a eu dans toute l’histoire de l’humanité – s’en réjouissent, soit.

Ils savent toutefois parfaitement que la nature de l’homme, cet animal, n’a jamais été de se laisser mourir sans réagir…

Julien Dir

Les points de vue exposés dans cette rubrique n’engagent que leur auteur et nullement la rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place. 

Source

Marion : “Le harcèlement, c’est avant tout les racailles qui le font !”

Marion témoigne du harcèlement de rue et dans les transports en commun qui sévissent dans sa ville de Nantes. Y a t-il un lien entre agressions sexuelles et immigration ? L’avis d’une française “de souche” :

Source et Video

A Johannesbourg, des noirs extrémistes saccagent un magasin H&M après sa pub jugée raciste

A Johannesbourg, des manifestants ont mis à sac, le 13 janvier, un magasin H&M du centre commercial Sandton City, dénonçant sa dernière publicité jugée raciste. Ils ont saccagé le magasin :

Source et Video

Une Maghrébine demande à Jacadi moins de “Caucasiens” et plus de “blacks” et d'”asiatiques”

 

Les entreprises aussi doivent faire avec le Grand Remplacement :

Immigration, islam : vous reprendrez bien un peu de Clémentine Autain ?

Questionnée jeudi chez Jean-Jacques Bourdin sur le droit d’asile, Clémentine Autain finit par avouer qu’on se devait de l’accorder à tous, aux 100.000 demandes de 2017 – évidemment, par discrétion, on ne demandera pas si elle le pense aussi de celles de 2018 et plus. Au fait, des combien, en 2018 ? Vite, quelqu’un pour lui offrir Le Camp des saints, elle n’a pas dû le lire ! Mais vous comprenez… C’est que : « Comment traiter les demandes qu’on refuserait ? On les renverrait où, ces pauvres gens qui ont traversé la Méditerranée au péril de leur vie ? » Le concept de l’aide au développement que soutient Clémentine Autain ne doit sans doute pas inclure le peuplement des pays concernés par des autochtones. Elle ne voudrait pas que nous les envahissions à rebours, non ? Voudrait-elle que nous renvoyions des gens formés, instruits de quelque métier ? Je gage que non.

Mais la dame y tient : « Il ne faut pas pratiquer le tri sélectif comme la circulaire gouvernementale y invite. » Bah… Moi qui croyais le concept à la mode ! Gasp, me voilà fait ! Car inviter gentiment les déboutés du droit d’asile à rentrer chez eux, cela reviendrait simplement à appliquer nos lois.

Notre député abordait ensuite le sujet de la laïcité. Y aurait-il des familles qui, en Seine-Saint-Denis, incitent leurs petites filles à ne pas jouer avec les garçons ? « Heu… Heu… » Ahurie, elle répondit ne pas en avoir connaissance. Des enfants qui invitent les autres à jeûner durant le ramadan, à l’école primaire ? « C’est possible. » Alors, que fait-on ? l’interrogeait Bourdin. « Si l’on veut être stratège avec la laïcité… Heu… Heu… On doit bien voir l’immense phénomène de sécularisation [de l’islam]. » Pourtant, en sa circonscription, il est près de 150 lieux de culte du « Prophète », contre moins de 120 chrétiens (cf. Finkielkraut sur BFM TV le 19 novembre dernier). Est-ce là l’irrésistible élan de la laïcité que croit voir Mme Autain ?

« Beaucoup de musulmans sont parfaitement intégrés avec les valeurs de la laïcité », ajoute-telle. Elle doit ignorer que 28 % de ceux vivant en France offrent un profil d’« ultras » plébiscitant le plus souvent le port du niqab et la stricte application de la charia (cf. Institut Montaigne, septembre 2016) – et l’on peut douter que ce pourcentage ait diminué depuis.

 « Oculos habent et non videbunt, nares habent et non odorabunt… » Elle poursuit ainsi en parlant d’une toute petite minorité, comme dans les autres religions (dit-elle), où l’on sent une forme d’intégrisme. On cherche en vain où elle peut voir d’autres religions imposer leurs mœurs et lois religieuses… Mais cela doit la soulager de souligner… l’inexistant. Le vide. Tout un art, ça, Madame… Un beau concept… Pff…

Quand un député du Parlement français nous dit que « le tri sélectif met en cause les droits humains », nous est-il permis de l’inciter à s’instruire auprès de la commission des lois, qui lui apprendrait que les droits des nations existent aussi ? Encore quelque chose qui dut échapper à sa formation… Lui dire que le réchauffement climatique n’est pas une cause profonde des migrations depuis le Maghreb ou le Moyen-Orient, comme elle semble le penser ? Lui dire que l’accueil des boat-people vietnamiens avait un autre motif que le régime de Mohammed VI ou même celui d’Al-Sissi ? Re-Pff…

Bertrand du Boullay

Source

Un référendum sur l’immigration ? Chiche !

Macron assure qu’il veut renvoyer les immigrés illégaux. Les sondages donnent 65 à 70 % de personnes qui trouvent trop élevé le nombre des étrangers. Macron a-t-il la base sociale pour aller dans ce sens ? Il est l’élu de la bourgeoisie cosmopolite. Selon l’étude Ipsos-Sopra Steria de juillet 2017, « les clivages sociaux restent un discriminant très net : 77 % des ouvriers jugent qu’il y a trop d’étrangers en France contre 66 % des employés, 57 % des professions intermédiaires et 46 % des cadres ».

Les dirigeants de l’oligarchie, notables de LREM, élus grâce à leur investiture, dirigeants d’associations pro-immigrés minoritaires, très grand patronat notamment financier, médias « officiels », universitaires de gauche sont hostiles à cette nouvelle orientation de Macron. Va-t-il passer outre ? Peut-il passer outre ?

Quand la société est divisée avec, d’un côté, le peuple, de l’autre, les représentants d’organisations oligarchiques qui dirigent en fait le pays et qui bloquent toute réforme, il n’y a qu’une seule solution pour faire triompher la démocratie : le référendum.

En Suisse, par exemple, la votation populaire « contre l’immigration de masse » a été adoptée par le peuple le 9 février 2014. Le texte voté prévoit des quotas d’étrangers « selon les besoins de l’économie dans le respect du principe de préférence nationale ». Tous les partis étaient hostiles, sauf un seul, le plus important parti suisse (30 % des voix) : l’Union démocratique du centre.

Le clivage entre les élites politiques et le peuple se retrouve à l’étranger. La Commission européenne envisage de se venger sur les étudiants suisses en les excluant des programmes d’échanges universitaires subventionnés. Mais, selon un sondage Blick du 15 février 2014, 61,8 % des Allemands, 69,7 % des Français et 77,5 % des Anglais se montreraient « favorables » ou « plutôt favorables » à un modèle comparable à l’initiative « contre l’immigration de masse » acceptée en Suisse (RTS Info).

 La question qui se pose en France est de savoir si un Président élu par la classe bourgeoise cosmopolite et sur une faible base numérique (24 % seulement des voix au premier tour de l’élection présidentielle) peut faire une politique inverse de celle de ses électeurs. On n’imagine guère l’oligarque Macron se lancer dans un référendum. Alors, comment franchira-t-il l’obstacle de ses propres réseaux oligarchiques ?

La question du référendum se pose aujourd’hui en Europe, partout où la classe oligarchique dominante s’oppose aux souhaits du peuple qui souffre de l’immigration, de l’insécurité et du chômage.

En matière d’immigration, la France viole les trois principes de sa devise : Liberté, Égalité, Fraternité. Le fait que le peuple ne puisse rien dire sur l’immigration, en l’absence de référendum, est une atteinte évidente à la liberté. Qu’en pense M. Macron ? Les sociologues ont montré que la bourgeoisie cosmopolite évitait le contact avec les migrants dans le logement et à l’école. Les inconvénients concrets de la migration, c’est pour le peuple ! Pas d’égalité. Qu’en pense Macron ? Enfin, le sociologue américain Robert Putnam a montré que la diversité ethnique détruisait la solidarité et la fraternité. Plus la population est diverse, plus la méfiance est grande entre les individus. Donc, baisse de la fraternité. Qu’en pense Macron ?

Il est difficile de faire une politique contraire aux idées de sa base sociologique. Seul le peuple, consulté par référendum, peut lever l’obstacle. En l’absence de ce recours au peuple, Macron a peu de chance de réussir à réduire l’immigration de façon concrète, même s’il le voulait vraiment.

Yvan Blot

Source

 

Journée du Migrant : le pape François demande aux Européens de dépasser « leurs propres peurs » pour « accueillir »

Ce 14 janvier 2018 était mondialement dédié aux migrants et aux réfugiés sur une ligne résolument politiquement correcte et immigrationniste.

Instituée sous Benoît XV, en 1914, dans le but avant tout de venir en aide aux émigrés, aux réfugiés et prisonniers de guerre catholiques, afin qu’ils gardent la foi dans des pays souvent protestants, cette Journée mondiale est devenue pour la Rome moderniste le moyen de diffuser « à partir des années 80, […] un discours de soutien aux migrants, d’où les populations des pays d’accueil sont absentes, sauf pour leur rappeler leur devoir d’hospitalité », explique le journaliste Laurent Dandrieu, in Eglise et immigration : le grand malaise. De Paul VI au pape François, ce message universaliste , « qui pousse l’Amour de l’Autre jusqu’au mépris des siens » et qui « n’est pas plus conforme au véritable esprit catholique qu’il ne l’est à la nature humaine », n’a cessé d’enfler jusqu’à devenir le thème de prédilection du pape François. Qui, bien entendu, a honoré cette Journée mondiale du migrant et du réfugié :

« Cette année, j’ai voulu célébrer la Journée Mondiale du Migrant et du Réfugié par une messe à laquelle vous avez été invités, vous en particulier, migrants, réfugiés et demandeurs d’asile. Certains d’entre vous sont arrivés depuis peu en Italie, d’autres y résident et y travaillent depuis de nombreuses années, et d’autres encore constituent ce qu’on appelle les «deuxièmes générations».

Durant le sermon de cette messe célébrée dans la basilique Saint-Pierre de Rome en présence de « migrants et réfugiés » de 49 pays différents, volontairement invités par le Vatican, le pape argentin a lancé son centième appel à l’accueil et à l’intégration en exhortant les Occidentaux à dépasser « leurs propres peurs » :

« Dans le Message pour la Journée d’aujourd’hui, j’ai écrit : ‘Tout immigré qui frappe à notre porte est une occasion de rencontre avec Jésus-Christ, qui s’identifie à l’étranger de toute époque accueilli ou rejeté (cf. Mt 25, 35.43).’ […] C’est une invitation à surmonter nos peurs pour pouvoir aller à la rencontre de l’autre, pour l’accueillir, le connaître et le reconnaître. »

Il a parallèlement, il est vrai, demandé aux étrangers qui arrivent en Italie et en Europe le respect des lois, de la culture et des traditions du pays dans lequel ils débarquent. Mais c’est là une demande fallacieuse : ces « réfugiés et migrants » arrivent souvent de façon illégale sur le sol européen ce qui est déjà en soi un irrespect des lois du pays d’accueil. Et utopique : la majeur partie d’entre eux sont des musulmans, attachés viscéralement à leur religion, qui ne sont pas prêts à abandonner leurs lois coraniques. Or celles-ci s’opposent de façon fondamentale, radicale, à la civilisation chrétienne dont est pétrie l’Europe.

Ce qui est également déplorable dans ce discours altruiste bergoglien c’est la manipulation dans la description de l’attitude des Européens. Le pape se plaît à appeler « des peurs » ce qui sont des honnêtes et raisonnables inquiétudes dictées par un attachement naturel à l’identité, aux traditions et cultures européennes que les peuples du Vieux Continent veulent sauvegarder de la mort programmée par le métissage imposé par les élites mondialistes. Mais en choisissant de les définir comme des « peurs », le pape les rabaisse au niveau de sentiments irrationnels, voire honteux : quel homme, en vérité, aime à se faire traiter de peureux et n’essayera pas de se défaire de cette étiquette malsonnante !

Jorge Maria Bergoglio est décidément un collaborateur éloquent du « délitement de l’Europe » (L. Dandrieu) et de l’islamisation de la société occidentale.

Francesca de Villasmundo