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lundi, 15 janvier 2018

Un islamiste Toulousain arrêté en Syrie

priere islamiste mirail toulouse
Capture d'écran du documentaire : Mirail, quartier impopulaire, illustrant une prière islamique dans la rue, lors du Ramadan 2016.

Un islamiste Toulousain, Mohamed Zine El Abidine Megherbi, a été arrêté en décembre dernier en Syrie par les forces kurdes. Il avait rejoint l’Etat islamique dès 2014. 

Encore un djihadiste toulousain à la une ! Mohamed Zine El Abidine Megherbi a été arrêté le 13 décembre 2017 par les Unités de protection du peuple kurde dans la région d’Hassaké (entre Mossoul et Raqqa). Âgé de 36 ans, l’homme s’était rendu avec sa famille en Syrie dès avril 2014.

Il n’est pas le seul à avoir été arrêté en fin d’année. Comme l’annonce Le Point, le Toulousain a été arrêté en compagnie de cinq autres ressortissants « français », alors qu’ils tentaient de fuir vers la frontière turque. Son frère, Najib Megherbi (29 ans), Thomas Barnouin (originaire d’Albi), , Kévin Gonot (31 ans, originaire du Lot), Thomas Collange (35 ans) et Romain Garnier (34 ans) sont ses compagnons d’infortune.

Deux vétérans du réseau islamiste d’Artigat arrêtés

Dans la liste de ces français arrêtés près de la frontière turque, deux noms sont familiers dans le réseau salafiste régional. En effet, Mohamed Megherbi et Thomas Barnouin sont tous deux des cadres importants de la tristement célèbre « filière Artigat », qui a vu former Abdelkader et Mohammed Merah, Fabien Clain et Sabri Essid. Tenu par l’imam Olivier Corel, surnommé « l’émir blanc », ce groupe recrutait des candidats au djihad pour les envoyer sur le front, en Irak.

Lire aussi : Entretien avec Alexandre Mendel : « Toulouse djihadiste »

Mohamed Megherbi et Thomas Barnouin ont déjà été condamnés en juillet 2009, à six ans de prison ferme pour avoir joué un rôle clé dans la filière basée en Ariège. Peu après avoir purgé leur peine -écourtée-, ils rejoignent les rangs de l’Etat Islamique dès le début de l’année 2014.

Mohamed Megherbi s’est fait connaître dès le début des années 2000. Proche de la famille Clain, il épousa religieusement leur demi-soeur en 2002. Elle n’avait que 16 ans. En 2003, il devient un « candidat djihadiste de la première heure » pour aller combattre en Irak, selon les termes du jugement à son procès, rapportés par France 3. Entre 2003 et 2006, il effectue de nombreux allers-retours entre la France et la Syrie, jouant le rôle de « facilitateur » pour les candidats au djihad dans l’Irak voisin, il est interpellé en 2007.

Reste encore dans cette zone près de 1 700 sympathisants de Daech partis de France. A ce chiffre, du gouvernement Français, il faut déduire 278 morts et 302 retours dans l’Hexagone. On reste encore sans nouvelle de Sabri Essid, beau-frère des Merah et proche de Kévin Gonot.

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[Allemagne – Fait Divers] Un migrant afghan tue son ex-petite amie de 15 ans

Une affaire qui rappelle tristement le meurtre de Maria Ladenburger, à Fribourg. Cette fois-ci, il s’agit également d’un meurtre commis par migrant s’étant fait passer pour mineur, et qui serait en réalité majeur. Un crime qui d’ailleurs aurait pu être évité : la victime et ses parents avaient déjà signalé le comportement dangereux d’Abdul D., l’homme en question. Le journal allemand Bild.de titre même : « Könnte Mia noch leben ? » (Mia pourrait-elle vivre encore?).

D’un coup de couteau dans le coeur, Abdul a tué le 27 décembre dernier son ex-petite amie Mia. Les deux s’étaient connus à l’école, car Abdul s’était déclaré mineur. Il suivait donc les cours à l’école comme tous les jeunes de son âge.  Ne pouvant fournir de date de naissance exacte, on lui avait attribué le 1er janvier 2002. Aucun examen médical n’est venu contredire cette déclaration, ce qui fait dire à Angélique Möhlig, équivalent en Allemagne du procureur de la République : « Actuellement, nous n’avons aucune connaissance assez assurée de l’âge de l’accusé. ». Pour rappel, Hussein Khavari, meurtrier de Maria Ladenburger, prétendait avoir 17 ans, alors qu’il en a en réalité 33 (!).

La page Facebook « Die Bewegung » indique même : « De plus en plus de détails sont maintenant connus. Sa demande d’asile avait déjà été rejetée en février 2017. Aurait-il pu être expulsé depuis longtemps ? « . 

Capture d'écran de la page Facebook "Die Bewegung"

Capture d’écran de la page Facebook « Die Bewegung »

Les migrants se déclarent souvent mineurs pour bénéficier d’une meilleure prise en charge. Abdul D. était cependant violent, convoqué pour des faits de violence et de harcèlement. Il a été convoqué à un interrogatoire de police où il ne s’est pas présenté. Une deuxième convocation est venue le 27 décembre. Quelques heures plus tard, il poignardait à mort Mia. L’accusé était donc connu pour sa dangerosité, mais il n’a pas été mis hors d’état de nuire à temps. Un autre crime perpétré par un « migrant », qui soulève l’indignation en Allemagne. Et qui ne rend pas service aux authentiques réfugiés.

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Adolescent poignardé lors d'une rixe à Paris: quatre jeunes en garde à vue

L'affrontement a opposé une trentaines de personnes à Bastille, issues des bandes du XIe et du XXe arrondissement de Paris.

Quatre adolescents se trouvaient dimanche soir en garde à vue dans l'enquête sur la rixe entre bandes survenue la veille à Paris au cours de laquelle un jeune de 15 ans a été mortellement poignardé, dans le quartier de la Bastille, a-t-on appris de source judiciaire. 

Les enquêteurs s'attachaient à établir le degré d'implication de ces quatre jeunes âgés d'une quinzaine d'années, dans cette brève mais violente bagarre qui a éclaté dans le XIe arrondissement de Paris, rue de la Roquette, connue pour sa vie nocturne animée le week-end. 

 Selon les premiers éléments de l'enquête, confiée au 2e district de police judiciaire (DPJ) de Paris, une trentaine de jeunes appartenant à des bandes des XIe et XXe arrondissements se sont opposés, entre 19H30 et 20H00. 

Trois des jeunes nés en 2002

Parmi les quatre jeunes en garde à vue - dont trois sont nés en 2002 et l'un en 2003, figurent les deux adolescents interpellés sur les lieux après avoir été désignés par des témoins comme ayant participé à la bagarre, selon une source proche de l'enquête. 

Les enquêteurs entendaient également un mineur qui "s'est présenté spontanément à la police cette nuit en qualité de témoin mais qui a indiqué avoir participé à la rixe au côté de la victime décédée", selon la source judiciaire. Il a été placé en garde à vue pour "violences et participation a un attroupement armé". 

Un autre jeune, interpellé samedi mais avant les faits vers 17h40 suite à une première rixe, était lui aussi en garde à vue dimanche. Dans son cas, les enquêteurs cherchent à établir les éventuels liens entre les deux bagarres. 

"La bagarre a duré 2-3 minutes"

Au cours de la bagarre, dont les causes restaient pour l'heure inconnues, un adolescent de 15 ans a été grièvement blessé à l'arme blanche. Arrivés sur place, un passant puis des policiers et les secours ont tenté de porter assistance à la jeune victime avant que celle-ci ne soit transportée en urgence à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière où son décès sera déclaré peu après 21 heures. 

"Cinquante jeunes ont déferlé dans toute la rue. Deux groupes bien distincts se sont formés. Il y a eu des cris et de loin on a vu un gamin de 14-15 ans à terre. Il y a quelqu'un qui a essayé de faire un massage cardiaque et après les policiers ont bouclé le quartier. La bagarre a duré 2-3 minutes. Un policier (...) a dit qu'il avait été poignardé avec une lame de 30cm", a déclaré un témoin de la scène. 

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La liberté de critiquer l'islam est menacée

 

Terres-De-Mission-364x245Programme de l'émission Terres de Missions du 14 janvier à 12h00 sur TV Libertés :

  • Terre de missions reçoit François Billot de Lochner, président de la Fondation de Service Politique, qui fait un point sur l'un des combats actuels majeurs de la Fondation: le combat contre la pornographie, qui l'a notamment amené à porter plainte contre le ministère de l'Education nationale pour incitation à la débauche.
  • L'abbé Paul Aulagnier parle ensuite de son dernier livre: "A la fin, mon coeur immaculé triomphera". Ce livre consiste en une lecture ligne à ligne, et même souvent mot à mot, des principales hymnes mariales du bréviaire romain traditionnel. Avec une attention toute particulière à la poésie de ces oeuvres magnifiques, de même qu'à leur admirable densité doctrinale.
  • Enfin, l'abbé Guy Pagès, dont la page Facebook vient, une nouvelle fois, d'être suspendue discute de la curieuse situation actuelle où, en Occident même, les pouvoirs publics et les grandes sociétés appliquent, d'une certaine façon, la charia, puisqu'ils condamnent toute critique de l'islam comme une sorte de racisme - condamnant ainsi les musulmans à demeurer enfermés dans leurs erreurs.

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Le racisme anti-blanc d'une attachée d'un parlementaire communiste

 

Lu dans Présent :

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Paris : la facture Vélib continue de s’alourdir

La nouvelle année signifie pour certains la prise de résolutions, parfois bonnes (comme le retour à un peu d’exercice physique, l’arrêt de la cigarette, en finir avec la croyance enfantine que l’Etat fait du bon boulot, etc.) et parfois moins bonne comme on pouvait s’y attendre de la part de la Maire de Paris. Vous l’avez deviné : Anne Hidalgo et son équipe ont encore sévi.

Tout part du constat que vous connaissez déjà : la voiture est officiellement pourchassée hors des confins de la Cité et si on l’autorise encore à trottiner (à vitesse modérée, oh, là !) sur un périphérique de plus en plus mal entretenu, il en va autrement dans les rues de la capitale où sa présence est officiellement indésirable.

Il faut bien comprendre que ces engins sont polluants, dangereux et occupent une place bien trop importante sur la chaussée, ce qui rend d’ailleurs beaucoup plus compliqués les déplacements (en voiture, n’est-ce pas) de la Maire de Paris. À cette fin et entre deux déplacements en voiture banalisée sous escorte policière, elle recommande donc chaudement de prendre les transports en commun, à la fois propres, fiables et ponctuels ou d’emprunter alternativement l’un des nombreux vélos en location dont la ville s’est officiellement affublée il y a maintenant dix ans.

Oui, le Vélib, cette réussite cyclo-urbaine à portée de toutes les bourses éco-conscientes, permet aux Parisiens petits et grands de se faire écraser par un bus de la RATP pour des tarifs extrêmement modiques et pour les autres de pavaner dans les réunions pince-fesses en prétendant arriver à vélo, le jarret frétillant, même si le taxi vient de vous déposer.

Suite, source et video

En Allemagne, 30% des étudiants musulmans prêts à mourir pour l’islam

Le site Observatoire de l’Islamisation vient de publier les résultats d’une enquête effectuée en Basse-Saxe auprès des étudiants musulmans. Un conclusion pour le moins explosive puisqu’elle révèle que 8% d’entre eux soutiennent l’État Islamique et pire encore, trouvent tout à fait sympathiques les attentats terroristes. C’est le très sérieux quotidien allemand Die Welt qui vient de faire découvrir à ses lecteurs ce chiffre assez effarant. C’était naturel que Nouvelles de France vous livre, à son tour, la traduction de l’article parue dans Die Welt selon la traduction qu’en a donné Joachim Velocias, patron de l’Observatoire de l’Islamisation.

Cette surprenante conclusion controversée apparaît dans le chapitre 4, sous-section 1. « L’extrémisme et l’islamisme fondamentaliste » est le sous-titre de ce paragraphe et comprend seulement quelques pages. Il fait partie de l’étude remise la semaine dernière sur les causes de la criminalité des migrants, menée par le scientifique criminel Christian Pfeiffer.

Pfeiffer, qui a effectué des recherches pour le compte du ministère fédéral des Affaires familiales, examine principalement dans son étude, le lien entre la violence et l’immigration. Les auteurs rapportent, entre autres, les résultats d’un sondage réalisé en 2015 auprès des étudiants, qui n’avait pas encore été rendu publique. Ils indiquent une proportion considérable d’élèves musulmans qui approuve la violence et la terreur islamiques.

Depuis 1998, l’Institut de recherche criminologique de Basse-Saxe (KFN) sonde régulièrement les étudiants de Basse-Saxe au sujet de la criminalité – en 2015, des données sur les attitudes islamistes ont également été collectées et ce, pour la première fois. 10.638 adolescents de neuvième année ont été interrogés, dont 500 ont déclaré être de confession musulmane. Tous les musulmans n’ont pas commenté l’ensemble des déclarations qui leur ont été présentées – environ 280 d’entre eux y ont répondu. Les auteurs soulignent que le groupe est relativement restreint, mais ils considèrent tout de même que les résultats sont dignes d’intérêt.

L’analyse a montré qu’une personne sur trois (29,9%) parmi les élèves musulmans qui ont fourni des réponses, peut « très bien imaginer devoir se battre et risquer sa vie pour l’islam » . L’affirmation selon laquelle « les lois islamiques de la charia, pour lesquelles, par exemple, l’adultère ou l’homosexualité doivent être sévèrement punis, sont bien meilleures que les lois allemandes » a trouvé un écho favorable chez 27,4% des sondés.

Il est frappant que même l’État islamique (EI) et les attentats terroristes soient perçus positivement par certains d’entre eux. Par exemple, 8,0% des jeunes musulmans qui ont répondu croient qu’il est juste que leurs frères croyants du Moyen-Orient essaient de fonder un État islamique par la guerre; 3,8 pour cent ont même répondu positivement à la phrase suivante: « Les musulmans sont autorisés à atteindre leurs objectifs, au besoin par des attaques terroristes. »

Près d’un cinquième des élèves était d’accord avec la déclaration: «Les musulmans sont opprimés dans le monde entier; ils doivent donc se défendre par la force»(19,8%). Presque autant tiennent pour exacte l’expression: « Il est du devoir de chaque musulman de combattre les incroyants et de répandre l’islam dans le monde » (18,6%). Un peu moins d’un cinquième a également trouvé que «les ennemis de l’Islam» doivent être attaqué avec la plus grande sévérité (17,7%). Le niveau d’approbation est légèrement plus élevée chez les élèves masculins que chez les femmes – mais les différences ne sont pas significatives.

Concernant cette fracassante révélation que près d’un élève musulman sur trois est prêt à donner sa vie pour l’islam, est à rapprocher de ce qu’un sondage, paru dans Le Figaro en septembre 2016, laissait entendre : en France, 28% des musulmans plébiscite le port du niqab et sont favorables à l’application de la charia.

A l’heure où le gouvernement se penche sur les lois migratoires, peut-on espérer que ces études le fasse réfléchir.

Floris de Bonneville

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Romans-sur-Isère : un homme hurle “Allah Akbar” dans la collégiale avant d’en vandaliser la façade

Encore un déséquilibré !

Mercredi matin [10 janvier], la visite d’une classe du lycée du Dauphiné à la collégiale Saint-Barnard avait été perturbée par un homme de 34 ans […] Il aurait reproché aux jeunes filles leur manière de s’habiller, avant de crier « Allah Akbar ». Il aurait également dégradé la façade de la collégiale. Interpellé, l’homme a finalement été hospitalisé dans un établissement spécialisé suite à un examen psychiatrique.

Source : FDesouche 13 janvier depuis Le Dauphiné (Merci T. D. pour ce signalement)

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Le Tour de France de l’égalité femmes/hommes : ces lieux où il ne passera pas…

Vendredi 12 janvier, la caravane du « Tour de France de France de l’égalité femmes/hommes » est passée par le Vaucluse. Un Tour de France qui a commencé le 4 octobre 2017, lancé en grande pompe par le Premier ministre, toujours impeccable au milieu de ces dames dans son costume bien taillé. Arrivée prévue – bloquez la date – le 8 mars 2018, Journée internationale des droits des femmes.

Édouard Philippe, dont le sens de l’humour est bien connu, n’a pas hésité, en donnant le coup d’envoi de l’épreuve, à évoquer la « petite reine ». Évidemment, il ne pensait pas à Mme Schiappa, le secrétaire d’État ad hoc et nouvelle madone des plateaux télé. Elle, c’est pour ainsi dire la Christian Prudhomme de ce Tour. Alors, entendons-nous bien, dans ce Tour de France, pas de contre-la-montre, d’escalades de cols, d’échappées, d’abandons…

Non, mais des ateliers. Très à la mode, les ateliers. Depuis que la France a délocalisé à travers le monde une grande partie de sa production, le mot « atelier » a pris un tout autre sens. Moins salissant, si vous voulez. Pour participer à ce genre d’atelier, pas besoin d’enfiler une salopette bleue et de se coiffer d’un casque de Playmobil®. Non, non, venez comme vous êtes.

Le dossier de presse réalisé par le secrétariat d’État chargé de l’Égalité entre les femmes et les hommes donne des chiffres clés : 18 déplacements de ministres, pas moins. Plus de 300 ateliers. Un objectif : plus de 50.000 participants. Une consultation des internautes a même été lancée. Là, pour le coup, ça pédale un peu dans la semoule : 23.000 réponses. Va falloir changer de braquet et mordre dans le guidon, Marlène ! D’autant que le Président a décidé d’ériger l’égalité entre les femmes et les hommes au rang de « grande cause nationale ». Une érection qui vient fort à propos, il faut bien le reconnaître, dans cette ambiance « post-weinsteinienne ».

23.000 réponses, donc. Et des choses intéressantes dans la synthèse des réponses. D’abord, 85,3 % ont été données par des femmes et 13,9 % par des hommes. Faites le compte : ça fait 99,2 %. Une erreur ? Pas du tout. Car Marlène, elle qui n’a que le mot « droit » dans la bouche, a pensé à tout et avait prévu une troisième catégorie, appelée « autre ». Donc, cela signifie qu’un questionnaire, estampillé du logo de la République française, reconnaît un troisième sexe ou genre. C’est peut-être un détail pour vous, comme chantait France Gall… mais ça veut dire beaucoup.

 Ensuite, une réponse qui « interpelle » : seulement 32,9 % considèrent l’égalité des salaires comme une priorité. Qu’est-ce à dire ? Que ce sujet est un faux problème, que les Français ont d’autres soucis ? Allez savoir.

Mais revenons au Tour de France. Je vous épargne la liste et les intitulés de ces fameux ateliers. Vous les trouverez sur le site du secrétariat d’État avec celle des villes-étapes, des fois que… On ne nous dit pas si Cochonou est partenaire et fait partie de la caravane publicitaire. Donc, ne commencez pas à en parler à vos enfants.

Or, donc, vendredi 12 janvier, la caravane passait par le Vaucluse. À Pernes-les-Fontaines, charmante petite ville, voisine de Carpentras. Au peloton s’est jointe à Mme Schiappa Mme Poirson, secrétaire d’État auprès de M. Hulot. Une conseillère municipale et départementale Front national, Marie Thomas de Maleville, a fait remarquer, dans un communiqué repris par la presse locale, que cela n’aurait pas manqué de sel que Carpentras soit ville-étape. En effet, sachant qu’un des thèmes abordés dans ces ateliers est « la parole des femmes victimes de violence » et que M. Adolphe, le maire de Carpentras, ardent soutien de M. Macron et de Mme Poirson, a par ailleurs été condamné en appel pour violence conjugale (il est dans l’attente du résultat de son pourvoi).

Cette élue a aussi regretté que ce Tour de France ne passe pas « par ces lieux où l’islamisme prospère en Vaucluse, où l’égalité femmes/hommes est bafouée quotidiennement » . Un passage qui a échappé, comme par hasard, à la presse locale. Heureusement que Boulevard Voltaire est là pour faire la voiture-balai…

Georges Michel

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Nous réclamons plus de moyens pour nos forces de l’ordre !

Ils ont veillé sur notre réveillon de la Saint-Sylvestre, nous comptons sur vous pour soutenir aujourd’hui nos militaires engagés héroïquement contre le terrorisme islamiste, que ce soit au sein de l’opération Sentinelle, en Syrie, au Mali ou en Centrafrique. Ils se battent pour nous contre les barbares et sont pourtant logés dans des conditions indignes.

Les militaires sont parqués dans ce qui ressemble tout juste à de petits enclos à bestiaux, insalubres, infestés de nuisibles, sorte d’enfer pour les héros. Chaque soldat qui se suicide nous rappelle cette triste réalité !

Et elle nous est insupportable !

Les migrants illégaux, qui enfreignent toutes les lois de la souveraineté nationale, dégradent les terrains agricoles du Calaisis ou les rues de Paris, font l’objet de multiples signalements pour vols, viols et agressions portant atteinte, pour certains, à la sécurité des français, sont souvent logés confortablement à l’hôtel et vivent de subsides publics.

Les héros, qui souffrent silencieusement au quotidien pour défendre les Français des barbares islamistes qui les assaillent, sont systématiquement relégués dans la fange et le froid.

C’est inadmissible !

Les militaires ont été humiliés par le Président Emmanuel Macron, qui a agi en enfant boudeur et s’est montré indigne de la fonction suprême.

 Dès lors que leur chef les méprise, c’est à nous, Français, de réclamer justice pour nos forces de l’ordre !

Ce ne sont pas des animaux pestiférés qu’il faut cacher ! Ils sont, au contraire, les vibrants héritiers de ces héros qui ont porté jadis nos couleurs à travers le monde, ceux qui ont libéré la Provence, protégé le Liban, sauvé Sarajevo, le Kosovo et Kolwezi. Quelle honte, aujourd’hui, de les voir ainsi abandonnés dans des caves humides ! Nous comptons sur vous pour rétablir la justice !

Nous demandons à ce que les hôtels et autres hébergements d’urgence soient prioritairement utilisés, dans le cadre de leur mission Vigipirate, pour loger ces militaires et ces CRS qui protègent jour après jour les Français!

Nous demandons à ce que nos forces de sécurité aient globalement plus de moyens afin de combattre, que ce soit en France ou à l’étranger, les fanatiques islamistes et tout ennemi qui, demain, se présentera à nous !

À signer et partager de toute urgence, il s’agit désormais d’une question d’honneur national !

Déjà 20.000 signatures, et nous comptons sur vous pour rapidement atteindre les 50.000 !

Guillaume Sevin

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L’insécurité grandit en France

Il y a quelque 48 heures, une fusillade à la kalachnikov, sur fond de trafic de stupéfiants, faisait un mort et un blessé grave dans un quartier animé du centre de Marseille. Dans le même temps, à Clermont-Ferrand, paisible ville de province, un jeune homme était sauvagement poignardé pour avoir voulu s’interposer dans une bagarre. Son pronostic vital était engagé. Au centre pénitentiaire de Vendin-le-Vieil, des surveillants de l’administration pénitentiaire, quant à eux, étaient agressés au couteau et blessés par un djihadiste fanatique, ancien dirigeant d’Al-Qaïda et coresponsable d’un attentat commis en Tunisie en 2002 qui avait fait 21 morts. Ces faits, survenus dans des endroits très différents, mais dans le même laps de temps, démontrent combien la sécurité se dégrade dans notre pays. En effet, sur fond d’augmentation du nombre des homicides survenus en 2016 – notamment du fait des attentats commis sur notre sol -, il apparaît que l’insécurité s’impose peu à peu dans nos villes, dans nos villages, dans nos commissariats et nos gendarmerie (cf. attaques de Limoges, Grenoble et Meylan) et même, aujourd’hui, dans nos prisons.

À l’extérieur, la même violence touche nos soldats. Engagés sur différents fronts, trois de nos militaires viennent ainsi d’être blessés, dont un grièvement, au Mali. Ils vont s’ajouter à la déjà trop longue liste des 154 tués et des 620 blessés en opérations extérieures depuis 2007. Même le très prudent Haut Comité d’évaluation de la condition militaire, dans l’un de ses derniers rapports, jugeait ce nombre « élevé ».

Et face à ce déferlement de violence et d’actes criminels, que font nos gouvernants ? Ils discutent, ils tergiversent, ils temporisent mais n’agissent pas. Ils ont laissé, au cours de ces dernières décennies, au nom d’un angélisme coupable, la situation sécuritaire de notre pays se détériorer comme jamais. Les effectifs dans la police, la gendarmerie et l’administration pénitentiaire ont fondu comme neige au soleil. Les matériels n’ont pas été remplacés, laissant nos forces de l’ordre et nos militaires intervenir dans les pires conditions. Et comme si cela ne suffisait pas, ils ont sanctionné ceux qui, conscients de leurs responsabilités, tiraient la sonnette d’alarme. Le général Pierre de Villiers en est l’exemple le plus récent et le plus emblématique.

Aujourd’hui, tous les Français sont gravement en danger. Nos banlieues sont sous pression, susceptibles d’exploser à la moindre étincelle. Nos prisons peuvent, à tout moment, connaître des émeutes. Nos militaires, nos policiers et, d’une façon plus générale, tous ceux qui, en uniforme ou non, représentent l’État peuvent être agressés et assassinés à tout moment au nom d’une idéologie mais aussi à cause d’un laxisme que l’on a laissés se développer sans aucun discernement.

 Ainsi, la seule question qui vaille, désormais, n’est pas de savoir où et comment interviendra l’événement qui mettra le feu aux poudres, mais bien de savoir quand. En effet, malgré l’engagement sans faille de celles et ceux qui assurent notre sécurité intérieure et extérieure, il est maintenant acquis qu’ils ne peuvent plus que contenir le vaste mouvement d’envahissement qui menace notre pays. Trop peu de personnels, trop peu de moyens, mais surtout trop peu d’envie et un manque de vision globale de la part de politiques qui ont eu, jusqu’ici, plus à cœur de préserver leurs positions et leurs mandats que de se battre pour rétablir la paix sur notre sol.

Face à ce renoncement, c’est donc à nos forces de l’ordre de se faire entendre par tous les moyens légaux dont ils disposent. À eux d’exiger les moyens d’exercer leurs missions, et de mettre nos politiques au pied du mur.

Olivier Damien

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Les migrants gentiment accueillis se révoltent ! Et vous savez pourquoi ?

Parfois me reviennent en tête certaines phrases : « Femmes, soyez soumises à vos maris et vous, maris, aimez vos femmes. » Les incultes, les féministes et Raphaël Enthoven monteront immédiatement sur leurs grands chevaux pour galoper jusque sur Twitter et dénoncer ces paroles inqualifiables, me traîneront devant les tribunaux et, si j’ai de la chance, la Cour de cassation rappellera à tout ce petit monde que je n’ai fait que citer ce pauvre saint Paul (Éphésiens 5,25) et me remémorer les paroles entendues lors de mon mariage. Avant d’en arriver là, ils auraient pu prendre la peine de consulter quelques bons théologiens leur faire une petite exégèse du célèbre texte paulinien.

Quoi qu’il en soit, n’étant pas théologien, mais simplement marié, j’ai toujours entendu ce texte, malgré l’inacceptable inégalité et la choquante « soumission » pour nos pures oreilles du XXIe siècle, comme un exemple parfait d’amour et d’engagement réciproques. À tel point que, dans ma mémoire approximative, j’entends souvent, traduit dans mon jargon intérieur : « Hey, mec, sois soumis à ta femme, arrête tes c…, respecte-la et toi, aime ton mari, il n’attend que ça. » Mais foin de mes exégèses perso !

Car c’est curieusement en pensant au pape et aux migrants, à toutes nos belles âmes pro-migrants aussi, que je me répétais ces phrases, cette petite théologie du « en même temps » de la charité dont ils me semblent, l’un et les autres, singulièrement manquer. Il serait en effet plus qu’urgent que toutes ces grandes voix qui ne cessent de prêcher l’accueil « inconditionnel » assortissent leur discours à destination des migrants d’un appel tout aussi « inconditionnel » à l’intégration, au respect et à l’amour du pays d’accueil et à sa culture.

Or, que vois-je, ces jours-ci ? En Italie, dans un centre d’accueil de Bolzano, dans le Haut-Adige, des migrants se sont révoltés, ce qui a exigé l’intervention de la police. Et pourquoi ? Parce que leurs yaourts affichaient des dates proches de la péremption ou périmées. En Suisse, à Kriens, toujours dans un centre d’accueil, des migrants se sont rebellés violemment pour protester contre la baisse de leur allocation, programmée en compensation de repas supplémentaires qui leur sont servis. En France aussi, on a constaté de tels comportements.

On a l’impression que la seule culture d’accueil qui leur a été dispensée, avec logement, repas, loisirs, carte bancaire et autres, c’est la culture de la « réclamation », façon revendication syndicale musclée. D’ailleurs, à voir le degré d’amour de la France chez certains immigrés ou descendants d’immigrés, on voit bien que la réclamation haineuse et violente fut trop souvent leur seul acquis culturel…

 Peut-être qu’un enseignement intense de charité équilibrée, réciproque, aurait été et serait « en même temps » nécessaire, non ?

Alors, certes, on ne demandera pas aux migrants d’aller s’engager ou se faire tuer pour la France comme certains de leurs devanciers, des héros, l’avaient fait (Georges Michel le rappelait ici même). Mais l’on pourrait au moins leur raconter ces histoires-là une fois qu’on leur aura expliqué qu’un yaourt, même périmé, est consommable. Et qu’on ne frappe pas son prochain.

En tout cas, exiger d’eux un peu d’amour et de respect du pays d’accueil, ce ne serait pas du luxe, mais une vraie charité.

Mais qui le leur dira ?

Dominique Monthus

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