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dimanche, 14 janvier 2018

Xavier Raufer : Délinquance - « Le minimum syndical n’est pas assuré dans ce pays. »

Xavier Raufer dénonce le mensonge éhonté que constitue la prétendue baisse de la délinquance affichée par l’Observatoire national de la délinquance.

Il cible les trois sources principales d’insécurité, sur lesquelles doivent se concentrer les actions pour lutter contre la criminalité.

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Avec Macron, le grand remplacement s' accélère et l' on note une hausse importante du nombre de demandeurs d'asile en 2017 !

Avec Macron, le grand remplacement s' accélère  :

"La France a enregistré un peu plus de 100.000 demandes d'asile en 2017, un niveau "historique", avec une forte hausse des dossiers déposés par des ressortissants d'Albanie et d'Afrique de l'Ouest, a indiqué lundi à l'AFP Pascal Brice, le directeur général de l'Ofpra (...) cela confirme que la France est dans les tout premiers pays de la demande d'asile en Europe", notamment derrière l'Allemagne qui s'attend à un peu moins de 200.000 dossiers cette année.

Sachant qu'il n'y a quasiment aucune expulsion des dossiers refusés (64%), la demande d'asile est donc bien une nouvelle filière d’immigration clandestine qui augmente de 100 000 la population étrangère en France chaque année. Ceux qui disent que le solde de l'immigration en France est nul sont des menteurs...

Notons aussi que le mythe des "migrants" venant de pays en guerre est également un énorme mensonge quant on regarde les pourcentages de demandes en fonction des pays : "L'an dernier, le premier pays d'origine des demandeurs d'asile a en effet été l'Albanie (...) forte progression des ressortissants de pays d'Afrique de l'Ouest, notamment des Ivoiriens dont le nombre a plus que doublé (...) Algériens (+24%)".

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Ce ne sont pas des réfugiés, mais une force d’invasion musulmane

À deux jours du début des négociations pour la formation d’un gouvernement en Allemagne, le Premier ministre national-conservateur Viktor Orbán s’est rendu en Bavière pour y rencontrer son allié Horst Seehofer, allié de Merkel et patron du CSU, le parti frère du CDU d’Angela Merkel, bien que beaucoup plus prudent et sceptique quant à l’immigration. Et cette visite n’a rien d’accidentelle : à travers la Bavière, bien plus proche historiquement et culturellement de l’Europe centrale représentée par le groupe de Visegrád que le nord de l’Allemagne, plus « prussien », Viktor Orbán, qui jouit d’une grande popularité dans l’opposition de droit en Allemagne, sait qu’il peut influencer la politique allemande de façon indirecte. Dans son discours à la presse donné à l’issue des discussions, Viktor Orbán a rappelé son opposition à l’immigration et son rôle pour protéger la Bavière de l’immigration illégale depuis 2015 et pour le respect du droit, « alors qu’ailleurs en Europe le chaos et l’illégalité étaient célébrés ».

« 2018 sera l’année de réaffirmation de la volonté du peuple [concernant l’immigration], » a ajouté le chef du gouvernement hongrois, grand favori des sondages en vue des élections d’avril 2018, pour briguer son 3e mandat consécutif – et quatrième de sa carrière. Selon Viktor Orbán, l’immigration est devenue « un problème pour la démocratie » car les gouvernants de nombreux pays ne font pas ce que les gens attendraient d’eux concernant l’immigration ». Le lien entre terrorisme et immigration est évident pour le Premier ministre hongrois, qui rajoute que la majorité des Européens ne veulent pas vivre avec des gens qui, comme il l’a déclaré dans un entretien accordé au grand journal allemand Bild, « ne sont pas des réfugiés mais une force d’invasion musulmane », ou encore des « gens qui traversent quatre pays sûrs, où leur vit n’est pas en danger, avant d’arriver en Hongrie, et continuer vers l’Allemagne ». Il s’agit « de migrants économiques, qui veulent une vie au niveau de celle des Allemands ».

La lutte contre Soros au cœur de la campagne électorale

Autre combat célèbre du Premier ministre hongrois, George Soros et ses réseaux. Interrogé par Bild sur sa campagne d’affichage contre George Soros, Viktor Orbán a expliqué que le soutien du spéculateur et financier milliardaire à environ 60 ONG pro-immigration constitue un risque pour la sécurité nationale. Le Premier ministre hongrois a également rappelé que la Hongrie n’était pas le seul pays à avoir une barrière anti-immigration (l’Espagne, la Bulgarie, la France ou encore la Lettonie en ont, par exemple) ni le seul pays à avoir refusé les quotas de migrants que Bruxelles cherchait à imposer (rappelant aussi que plus de 20 États membres n’ont pas rempli leurs obligations sur cette question).

Ce mardi 9 janvier, l’eurodéputé des Verts hollandais, Judith Sargentini, est arrivée en Hongrie afin « d’observer la situation » de l’État de droit dans le pays pour le compte du Parlement européen. Ceci malgré sa proximité affichée pour les ONG anti-gouvernementales, la direction de la CEU mise en cause au printemps dernier par le gouvernement de Viktor Orbán et George Soros lui-même, comme l’ont révélé les DC Leaks : malgré sa présence sur les listes des « alliés fiables » de George Soros, Judith Sargentini sera le rapporteur pour l’Union européenne sur ce dossier sensible. De quoi donner encore plus d’eau au moulin de Viktor Orbán, à trois mois des élections.

Article paru sur le site VPost.

Viktor Orban : les réfugiés sont plutôt des envahisseurs musulmans

 

4 w=993 q=high c=0.bildDans un entretien avec le journal allemand Bild le 7 janvier, Viktor Orban s'est livré sur les raisons du refus de Budapest d'accueillir des réfugiés. 

«Nous ne considérons pas ces gens comme des réfugiés musulmans», précisant les voir plutôt comme des «envahisseurs musulmans».

«Si quelqu'un veut venir dans votre maison, il frappe à votre porte et demande : "Pouvons-nous entrer, pouvons-nous rester ?" Ils ne font pas cela, ils ont franchi la frontière illégalement». 

Poursuivant son raisonnement, le Premier ministre de la Hongrie a qualifié le multiculturalisme d'«illusion», jugeant que les sociétés musulmane et chrétienne «ne s'unir[aient] jamais». Quant à l'arrivée d'un grand nombre de musulmans sur le Vieux continent, elle aurait résulté selon lui en l'apparition de «sociétés parallèles».

«Je n'ai jamais compris comment le chaos, l'anarchie et le franchissement illégal de frontières étaient considérés comme des choses positives dans un pays comme l'Allemagne, que nous considérons comme le meilleur exemple de discipline et de respect de la loi».

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400 € d'amende pour avoir brandi un exemplaire de Valeurs actuelles

 

6a00d83451619c69e201b8d2be042c970c-320wiNous avions relayé le harcèlement judiciaire subi par Claudine Dupond-Tingaud, militante historique de la droite nationale, pour avoir brandi un exemplaire de Valeurs actuelles le 11 novembre dernier à Quimper. Elle avait même subi 5 heures de garde à vue !

La justice a rendu son verdict et, en plus d'un rappel à la loi, elle a reçu une amende de 400 € pour "outrage à agent public". Voici la réaction de ses proches :

"Il est bien évident que le droit à la libre expression est une nouvelle fois bafoué car c’est bien le « rappel » à la vigilance de nos concitoyens, tous qu’ils le veulent ou non de culture chrétienne face à l’islam déjà omniprésent par des milliers de migrants en Europe, qu’elle voulait exprimer et qu’il s’agissait d’étouffer sous commandement du préfet du Finistère !

Ce jour-là, 11 Novembre, particulièrement cher à son cœur – puisqu’anniversaire de celui de 1940 où son père, Jacques Dupont, fut arrêté et emprisonné pour avoir, avec ses camarades monarchistes, participé à la première manifestation de résistance à l’occupant sous l’Arc de Triomphe à Paris – elle voulait donc rappeler, sous la protection sacrée des tombes des anciens combattants morts pour la patrie dont on évoquait le sacrifice, que d’autres « combats » devaient être menés par les futurs combattants présents ce jour-là et à l’écoute des interventions officielles appelant à une paix qui ne peut exister qu’après avoir gagné les guerres, celles passées comme celles à venir…

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En Marche infiltré par des islamistes et leurs idiots utiles

 

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La Nouvelle Revue d'Histoire disparaît

 

C'est par un message sobre qu'on l'apprend sur le site de la NRH :

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En  le dernier numéro est paru. La SARL éditrice Histoire et Mémoire a été liquidée le 14 décembre 2017.

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Toulouse : profs en grève et lycéens fichés S tentés par le djihad

 

Capture d’écran 2018-01-09 à 21.23.52Une soixantaine d’enseignants du lycée Joseph-Gallieni (sur 120) à Toulouse sont en grève, devant l’entrée de l’établissement qui accueille plus de 1 000 élèves du CAP au bac professionnel et technologique. Les cours ont été suspendus et remplacés par des ateliers pour que la parole s’exprime et atténue les maux d’un lycée qui est devenu un espace de non-droit. Les profs sont au bord de la crise de nerfs, certains pleurent en racontant leur quotidien fait d’incivilités et de violences. 

Agressions verbales et physiques « qui se généralisent et se banalisent », « intrusion d’élèves extérieurs qui viennent semer le trouble et commettent des infractions », vols en classe, à l’internat, généralisation de bagarres violentes dans l’enceinte de l’établissement, violences sexistes subies par les filles, élèves et parents qui viennent la peur au ventre, souffrance des enseignants, trafic de stupéfiants, etc.

Et puis les professeurs ont découvert que des lycéens sont fichés S. Virginie, professeur de lettres et histoire, raconte :

« À une prérentrée, un collègue a demandé à la police de connaître les élèves qui ont un casier judiciaire et le policier lui a répondu qu’il ne préférait pas lui donner ces informations, pensant qu’on aurait peur de rentrer dans certaines classes. On a eu, une année, des élèves partis pour tenter d’aller faire le jihad. Quand ils sont revenus, le rectorat nous a répondu de faire appel à notre bon sens pour gérer le problème ».

« Dans les 1 000 élèves du lycée, on a des profils très particuliers. Certains sont très volontaires, mais on a aussi une minorité qui relève de structures spécialisées, médicales, ou relatives à la justice : des élèves qui sortent de prison, qui viennent en cours avec le bracelet électronique, d’’autres qui ont un casier judiciaire assez fourni qu’on nous demande d’intégrer. On fait tout pour que la poudrière explose. »

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Publicité jugée raciste par les antiracistes : H&M présente ses excuses !

La marque suédoise de vêtements H&M exprime des excuses après avoir lancé une campagne de publicité dénoncée par certains bien-pensants comme raciste :

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L’anticomplotisme peut être aussi dangereux que le complotisme

La semaine dernière, Emmanuel Macron annonçait son intention de légiférer contre la diffusion des « fausses nouvelles », notamment en période électorale. Une enquête de la fondation Jean-Jaurès et du site Conspiracy Watch (l’Observatoire du conspirationnisme), réalisée avec l’IFOP, vient opportunément le soutenir en soulignant qu’un courant d’opinion complotiste se développe en France: 79 % des Français y seraient plus ou moins sensibles. Mais cette étude est-elle dénuée d’arrière-pensées ?

Selon Rudy Reichstadt, fondateur de Conspiracy Watch et membre de l’Observatoire des radicalités politiques à la fondation Jean-Jaurès, cette enquête démontre que le complotisme est un « phénomène social majeur » auquel moins d’un Français sur cinq échapperait. La plupart des théories du complot (portant sur la vaccination, le SIDA, l’État islamique, les pressions sur les médias, le nouvel ordre mondial… et, bien sûr, l’immigration et le Grand Remplacement) recueillent des niveaux d’approbation « préoccupants ». Les jeunes seraient les plus touchés, ainsi que l’électorat populiste « de gauche ou d’extrême droite ».

Tout ce qui vise à combattre l’obscurantisme est, a priori, bon à prendre – à condition, cependant, de ne pas tomber dans le travers dénoncé en empêchant de s’interroger, au nom d’une vérité toute faite.

On constate que cette enquête vient à point pour renforcer la volonté du gouvernement de lutter contre les « fausses nouvelles », les plus vulnérables étant les jeunes et les électeurs tentés par le « vote populiste », c’est-à-dire les sympathisants de Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen. Avec des conclusions implicites : formons les esprits des plus jeunes et méfions-nous des extrêmes !

Considérons, par exemple, le rapport des Français à l’immigration. On peut penser que la théorie du Grand Remplacement, conçu comme une stratégie volontaire de substitution de la population française de souche par des immigrés extra-européens, est excessive dans sa systématisation. Mais les problèmes posés par une immigration mal maîtrisée, par l’absence d’intégration, par le multiculturalisme, par les zones de non-droit sur le territoire français sont une réalité qu’on ne peut balayer d’un revers de la main.

 Il reste qu’en qualifiant pareillement de complotistes ceux qui fantasment par ignorance et ceux qui s’interrogent sérieusement, en mettant sur le même plan ceux qui contestent que la Terre est ronde et ceux qui critiquent les excès de l’immigration ou de la vaccination, cette étude tend à discréditer tous ceux qui ne partagent pas la pensée officielle sur des sujets qui font débat.

On ne peut, certes, réduire un phénomène qu’on réprouve à la volonté réfléchie de quelques-uns, dans le secret d’un cabinet. Il faut prendre en compte tous les facteurs qui peuvent intervenir, dont le plus important est, sans doute, l’extension d’une pensée unique, qui devient naturellement le seul mode de pensée.

Mais les anticomplotistes ont tendance à considérer que tout ce qui s’écarte de la norme intellectuelle qu’ils défendent est une forme de folie : au lieu d’examiner les faits et de réfuter les thèses de leurs adversaires par des arguments convaincants, au lieu de faire acte d’éducation en commençant par donner l’exemple, ils les rejettent d’emblée dans la déraison et se présentent comme des maîtres à penser irréprochables.

Cette diabolisation, non seulement alimente les comportements complotistes, mais contribue à créer un consensus artificiel: on élude tout débat sérieux, on abandonne tout jugement critique, on oublie cette qualité qu’Aristote et Platon considéraient comme le point de départ de la philosophie: l’étonnement.

Philippe Kerlouan

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Immigration et pape François : où est passée la prudence traditionnelle de l’Église ?

Malgré quelques références à ses prédécesseurs, il est évident que le souverain pontife accorde à la question des migrations une importance beaucoup plus grande qu’ils ne le faisaient, et surtout qu’il abandonne la position équilibrée du Saint-Siège pour développer une conception très favorable à l’immigration.

Le Compendium de la doctrine sociale de l’Église n’évoquait les immigrés qu’à six reprises en 330 pages et ne consacrait, en fait, que deux courts paragraphes au problème, essentiellement sous l’angle du travail.

« L’émigration peut être une ressource, plutôt qu’un obstacle », résume la pensée. L’idée que l’immigration était une nécessité pour les régions les moins favorisées et qu’elle répondait à une offre de travail non satisfaite conduisait à la considérer comme un phénomène bénéfique, mais à réglementer dans un souci d’équilibre et d’équité, en excluant l’exploitation des travailleurs, en respectant les liens familiaux et en encourageant le maintien dans les zones d’origine, grâce à l’aide au développement.

Même si l’on pouvait formuler des critiques techniques sur l’offre de travail non satisfaite ou sur le regroupement familial, l’inspiration morale du texte était clairement évangélique et, par ailleurs, prudente. On retrouve ce même souci d’équilibre dans les déclarations de Benoît XVI qui, dans son encyclique Caritas in veritate, met en regard « la sauvegarde des droits et des exigences des personnes et des familles émigrées » et « ceux des sociétés où arrivent les immigrés ».

Benoît XVI est européen. Il est informé d’un certain nombre de comportements et des réactions qu’ils entraînent chez les chrétiens.

Le Pape François a abandonné cette prudence et cet équilibre. Il a multiplié les gestes symboliques depuis son premier voyage pontifical le 8 juillet 2013 à Lampedusa. Depuis quelques mois, les déclarations se succèdent. Le jour de l’Assomption, il signe un texte destiné à la 104e Journée mondiale des migrants et réfugiés et formule vingt et une propositions. Celles-ci sont, sans retenue, un appel en faveur d’une politique d’ouverture à l’immigration. Les visas doivent être facilités. Un système d’immigration, des corridors doivent permettre de légaliser l’immigration illégale. Il ne faut pas recourir aux expulsions « non adéquates ». Il faut éviter les détentions. Il faut accorder le maximum de droits, de libertés et d’aides aux immigrés, en matière de justice et d’accès au travail notamment. Il faut respecter leur identité culturelle, mais leur offrir une citoyenneté dissociée du travail et de la pratique de la langue… C’est-à-dire sans intégration ni même insertion, pour ne pas évoquer l’assimilation qui ne respecterait pas l’identité culturelle des nouveaux arrivants !

 Ce texte politique, donc hors infaillibilité, dépasse de très loin le domaine où le pape doit être écouté par les catholiques avec respect et fidélité. Il s’agit d’un texte qui entend dicter leurs choix aux États et aux peuples au mépris de ce que les nations peuvent légitimement concevoir comme leur bien commun. Que les catholiques eux-mêmes s’inquiètent de la présence grandissante et parfois provocatrice d’une religion qui n’est ni proche du christianisme, ni « de paix et d’amour », devrait interpeller le successeur de saint Pierre. Que des décisions en matière de sécurité, de détention, d’octroi de visas et, plus encore, d’acquisition de la citoyenneté relèvent des États selon la volonté des peuples est une évidence criante qui semble échapper au souverain pontife.

Sa cinquième proposition est inacceptable : « Toujours faire passer la sécurité personnelle avant la sécurité nationale », autrement dit, la sécurité du migrant passe avant la sécurité de l’État qui accueille.

En novembre dernier, à l’occasion de la 5 1e Journée mondiale de prière pour la paix, le Saint-Père avait fixé quatre objectifs : accueillir, promouvoir, protéger, intégrer. Ce cadre s’accompagnait d’une critique de la suspicion dont témoigneraient les populations locales. Et il concluait en appelant les médias à démasquer les stéréotypes qui en seraient responsables.

Il est éprouvant, pour un catholique qui balance entre charité et responsabilité, de trouver dans les propos du pape non une source d’inspiration, mais exactement les mêmes arguments que ceux répandus par le mondialisme et la pensée unique. Le grand Autre n’est plus le prochain mais le lointain, sans souci du petit peuple. Les papes nous avaient habitués à plus de sagesse et à plus de lucidité.

Christian Vanneste

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Quimper : Claudine Dupont-Tingaud condamnée pour avoir dénoncé l'islamisation de la Bretagne...

 

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Source EuroLibertés cliquez ici

Pour avoir « outragé » le policier qui lui arrachait, dans le cimetière militaire de Quimper le 11 novembre 2017, la couverture éloquente de Valeurs Actuelles qui rappelait, sous l’effigie du Pape Jean-Paul II dont la statue est en passe d’être retirée d’une place publique de PLoërmel (56), ces mots de l’écrivain Chateaubriand « chassez le christianisme et vous aurez l’islam », Claudine Dupont-Tingaud, ancienne détenue politique pour avoir défendu l’Algérie Française, ancienne Conseillère Régionale de Bretagne, présidente de REAGIR, secrétaire de QUIMPER-RESISTANCE, comparaissait lundi 8 janvier 2018 à Quimper devant le Procureur de la République pour « rappel à la loi » alors qu’elle avait participé à toutes les manifestations de soutien à une police pas forcément aux ordres. Elle s’est vu imposer 400 euros d’amende !

Il est bien évident que le droit à la libre expression est une nouvelle fois bafoué car c’est bien le « rappel » à la vigilance de nos concitoyens, tous qu’ils le veulent ou non de culture chrétienne face à l’islam déjà omniprésent par des milliers de migrants en Europe, qu’elle voulait exprimer et qu’il s’agissait d’étouffer sous commandement du préfet du Finistère !

Ce jour-là ,11 Novembre, particulièrement cher à son cœur – puisqu’anniversaire de celui de 1940 où son père, Jacques Dupont, fut arrêté et emprisonné pour avoir, avec ses camarades monarchistes, participé à la première manifestation de résistance à l’occupant sous l’Arc de Triomphe à Paris – elle voulait donc rappeler, sous la protection sacrée des tombes des anciens combattants morts pour la patrie dont on évoquait le sacrifice, que d’autres « combats » devaient être menés par les futurs combattants présents ce jour-là et à l’écoute des interventions officielles appelant à une paix qui ne peut exister qu’après avoir gagné les guerres, celles passées comme celles à venir…

IMMIGRATION & DIVERSITÉ : TANDIS QUE GÉRARD COLLOMB VA PRÉSENTER SA LOI IMMIGRATION…

 

f682426fee04086bb84efa58fc9b3d8e.jpgMarc Rousset

Tandis que Gérard Collomb, en ce début année, va présenter son projet de loi Immigration – qui ne sera peut-être encore que de la poudre de perlimpinpin, pour reprendre l’expression du Président – et qu’il nous ressort la vieille rengaine usée de la politique de la ville, coûteuse, ruineuse, inefficace et complètement à côté de la plaque, Trump et Poutine, à la tête de deux hyperpuissances, agissent concrètement et nous montrent l’exemple.

Aux États-Unis, la chute d’admission des réfugiés au quatrième trimestre 2017 a été de 79 % : 5.323 au lieu de 25.671 réfugiés au quatrième trimestre 2016 (dont 13 % seulement de musulmans et 60 % de chrétiens). Les États-Unis, mais aussi Israël, la Hongrie, les pays de l’Europe de l’Est et l’Australie nous montrent donc l’exemple.

Poutine, lui, en ce début d’année 2018, a décidé de faire un cadeau aux jeunes parents russes. Une allocation supplémentaire de 3.700 euros sera accordée dès le premier enfant sur une période de dix-huit mois. La Russie est donc à l’antipode de la politique du socialiste Hollande et du grand-père par alliance sans enfants Macron qui s’attaque au principe de l’universalité des allocations familiales, sachant très bien qu’en faisant cela, c’est à la classe moyenne française qu’il s’attaque.

Les 220.000 avortements en France favorisés par une folle politique libertaire et laxiste et payés par nos impôts correspondent à l’immigration légale de 200.000 extra-Européens et celle de 20.000 clandestins par an. Ils devraient être limités et combattus par une loi nouvelle revue et corrigée beaucoup plus stricte qui reviendrait à l’esprit de la loi Veil. De Gaulle, devant l’Assemblée constituante en 1945, n’avait-il pas déclaré que « si le peuple français ne se multiplie plus, alors la France ne pourrait plus rien être qu’une grande lumière qui s’éteint ».

La France et l’Europe doivent donc à la fois arrêter l’immigration et favoriser la natalité, afin de survivre et de garder leur identité. L’Europe, avec son taux de fécondité de 1,6 enfant par femme, ne fait plus d’enfants et devient le seul endroit au monde qui appartient à tous les immigrés de la terre. Comme a pu le dire Frauke Petry, ancienne responsable de l’AfD en Allemagne : « L’Union européenne ne veut plus des peuples, mais des populations. »
 
Le nombre de naissances en France métropolitaine a baissé pour la sixième année consécutive, soit 747.000 naissances seulement en 2016. L’indice de fécondité est passé à 1,89 : en dessous du taux de reproduction minimum des populations à l’identique, qui est de 2,1 enfants par femme et ce, malgré l’apport significatif d’une population immigrée extra-européenne avec un taux de fécondité de 2,6 par femme (selon un ouvrage de l’INSEE publié en 2012) .

Il faut savoir que, même avec une immigration zéro, la population d’origine immigrée continuerait d’augmenter en France. La France, selon ses prévisions actuelles, devrait compter 74 millions d’habitants en 2050, dont 30 % de population d’origine immigrée. On n’intègre plus, on assimile encore moins, aujourd’hui dans notre pays. Alors, avec de telles perspectives statistiques, comment ne pas imaginer qu’on pourrait aller droit vers une guerre civile ? 2050, c’est dans 32 ans seulement, soit le temps pour un enfant de devenir un homme !

L’Allemagne, avec un taux de fécondité toutes origines par femme de 1,39, tout comme l’Italie, perdent 150.000 autochtones par an. L’Allemagne est morte et commence tout juste à le savoir sans avoir encore réagi. Selon Thilo Sarrazin, dans son ouvrage best-seller Deutschland schafft sich ab, si l’Allemagne du 8 mai 1945 avait connu le même taux de natalité que les Palestiniens, il y aurait aujourd’hui 600 millions d’Allemands…

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Immigration : nouvelle mise en garde d’un ancien chef du service de renseignement allemand

 

Allemagne – August Hanning, ancien chef du service de renseignement fédéral allemand (BND), met en garde le gouvernement au sujet de l’accueil laxiste des immigrés.

Dans une interview publiée par le journal Bild, August Hanning avertit :

« Comme l’ont montré les attaques terroristes et les tentatives d’attentats ces deux dernières années, la situation sécuritaire en Allemagne est très tendue. »

« Notre architecture sécuritaire doit être améliorée de toute urgence afin de relever les nouveaux défis. Sinon, cela risque de devenir très inconfortable pour nous en Allemagne. »

August Hanning critique depuis des années la politique migratoire de la chancelière Angela Merkel et souligne le « lien entre la sécurité intérieure et un contrôle efficace des frontières ».
 
« Tant que nous laisserons les gens entrer dans le pays sans papiers d’identité, sans des contrôles d’identité clairs, nous ferons face à un gros problème de sécurité. »
 

« En Europe, l’Allemagne est la terre promise pour les demandeurs d’asile et les migrants. Et je me demande combien de temps nous pouvons continuer dans cette voie sans affronter d’importants bouleversements sociaux. »

Des propos de simple bon sens.

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Le Danemark ne veut plus d’immigrés et vote une loi en ce sens !...

Le Danemark estime avoir fait sa part en matière d’accueil de « réfugiés » et de « migrants ». En 2017, environ 2 800 migrants avaient demandé l’asile au Danemark.

Le journal «taz» rapporte que le gouvernement danois a décidé de mettre fin à ses engagements conclus depuis 1978,dans le cadre du programme de l’ONU en matière de réinstallation de migrants.

Le parlement danois a adopté une loi mettant fin à l’accueil des immigrés. Selon le journal « taz », seuls les partis d’opposition de gauche ont voté contre cette mesure.

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Quand des musulmans convertis demandent au pape François de dénoncer les méfaits de l' Islam et de convoquer rapidement un synode sur les dangers de l’islam....

Le 25 décembre 2017, fête de la nativité du Sauveur, des anciens musulmans convertis au catholicisme ont publié une lettre ouverte au pape François au sujet de son attitude vis-à-vis de l’islam et de l’accueil de migrants musulmans.

Elle se termine par une pétition que tout un chacun peut signer. C’est une lettre courageuse qui déplore l’angélisme du pape argentin envers l’islam dont ces ex-musulmans connaissent la dangerosité et qu’il considèrent un « Antichrist ».

« Voici ci-après le texte d’une Lettre ouverte au Pape François que vous pouvez signer. Nous la lui présenterons dès qu’elle aura atteint un nombre significatif de signataires. Merci de la faire connaître. A toute fin utile, nous rappelons que : « Selon le savoir, la compétence et le prestige dont jouissent les fidèles, ils ont le droit et même parfois le devoir de donner aux Pasteurs sacrés leur opinion sur ce qui touche le bien de l’Église et de la faire connaître aux autres fidèles, restant sauves l’intégrité de la foi et des mœurs et la révérence due aux pasteurs, et en tenant compte de l’utilité commune et de la dignité des personnes. (Canon 212 § 3) » :

Des ex-musulmans devenus catholiques, et leurs amis,
à Sa Sainteté le pape François,
au sujet de son attitude vis-à-vis de l’islam.

 

 

Très Saint Père,

Plusieurs d’entre nous, à maintes reprises, et depuis plusieurs années, avons cherché à vous contacter, et nous n’avons jamais reçu le moindre accusé de réception de nos lettres ou demandes de rencontre. Vous n’aimez pas les mondanités, et nous non plus, aussi permettez-nous de vous dire très franchement que nous ne comprenons pas votre enseignement au sujet de l’islam, tel que nous le lisons par exemple dans les paragraphes 252 et 253 de Evangelii gaudium, parce qu’il ne rend pas compte du fait que l’islam venant APRÈS le Christ, est, et ne peut être qu’un Antichrist (Cf. 1 Jn 2.22), et l’un des plus dangereux qui soient du fait qu’il se présente comme l’accomplissement de la Révélation (dont Jésus n’aurait été qu’un prophète). Si l’islam est en lui-même une bonne religion, comme vous semblez l’enseigner, pourquoi sommes-nous devenus catholiques ? Vos propos ne remettent-ils pas en cause le bienfondé du choix que nous avons fait… au péril de notre vie ? L’islam prescrit le meurtre des apostats (Coran 4.89 ; 8.7-11), l’ignorez-vous ? Comment est-il possible de comparer la violence islamique et la prétendue violence chrétienne ?! « Quel rapport entre le Christ et Satan ? Quelle union entre la lumière et les ténèbres ? Quelle association entre le fidèle et l’infidèle ? (2 Co 6.14-17) » Conformément à Son enseignement (Lc 14.26), nous L’avons préféré, Lui, le Christ, à notre propre vie. Ne sommes-nous pas bien placés pour vous parler de l’islam ?

En réalité, du moment que l’islam veut que nous soyons son ennemi, nous le sommes, et toutes nos protestations d’amitié n’y pourront rien changer. En bon Antichrist, l’islam n’existe qu’en étant l’ennemi de tous : « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul ! (Coran 60.4) ». Pour le Coran, les chrétiens « ne sont qu’impureté (Coran 9.28) », « les pires de la Création (Coran 98.6) », tous condamnés à l’Enfer (Coran 4.48), aussi Allah doit-il les exterminer (Coran 9.30). Il ne faut pas se laisser abuser par les versets coraniques réputés tolérants, car ils ont tous été abrogés par le verset du Sabre (Coran 9.5). Alors que l’Évangile annonce la bonne nouvelle de Jésus mort et ressuscité pour le salut de tous, accomplissement de l’Alliance initiée dans le peuple hébreu, Allah n’a rien d’autre à proposer que la guerre et le meurtre des « infidèles » en échange de son paradis : « Ils combattent dans le chemin d’Allah, ils tuent et se font tuer. (Coran 9.111) ». Nous ne faisons pas d’amalgame entre islam et musulmans, mais si pour vous le « dialogue » est la voie de la paix, pour l’islam il est une autre façon de faire la guerre. Aussi, comme il l’a été face au nazisme et au communisme, l’angélisme face à l’islam est suicidaire et très dangereux. Comment parler de paix et cautionner l’islam, ainsi que vous semblez le faire : « Arracher de nos cœurs la maladie qui empoisonne nos vies (…) Que ceux qui sont chrétiens le fassent avec la Bible et que ceux qui sont musulmans le fassent avec le Coran. (Rome, 20 janvier 2014) » ? Que le Pape semble proposer le Coran comme voie de salut, n’est-ce pas inquiétant ? Devrions-nous retourner à l’islam ?

Nous vous supplions de ne pas chercher en l’islam un allié dans le combat que vous menez contre les puissances qui veulent dominer et asservir le monde, car ils sont tous en réalité dans une même logique totalitaire, fondée sur le rejet de la royauté du Christ (Lc 4.7). Nous savons que la Bête de l’Apocalypse cherchant à dévorer la Femme et son Enfant, a plusieurs têtes… Allah défend d’ailleurs de telles alliances (Coran 5.51) ! Et surtout, les prophètes ont toujours reproché à Israël sa volonté d’alliance avec les puissances étrangères, au détriment de la confiance absolue qu’il faut avoir en Dieu. Certes, la tentation est forte de penser que tenir un discours islamophile épargnera un surcroît de souffrances aux chrétiens en pays devenus musulmans, mais outre que Jésus ne nous a jamais indiqué d’autre chemin que celui de la Croix, en sorte que nous devons y trouver notre joie, et non la fuir avec tous les damnés, nous ne doutons pas que seule la proclamation de la Vérité apporte avec le salut, la liberté (Jn 8.32). Notre devoir est de rendre témoignage à la vérité « à temps et à contretemps (2 Tm 4.2) », et notre gloire est de pouvoir dire avec saint Paul : « Je n’ai rien voulu savoir parmi vous, sinon Jésus Christ, et Jésus Christ crucifié. (1 Co 2.2) ».

Corrélativement au discours de Votre Sainteté sur l’islam, et alors même que le Président Erdogan, entre autres, demande à ses compatriotes de ne pas s’intégrer dans leurs pays hôtes, que l’Arabie Saoudite et toutes les pétromonarchies n’accueillent aucun réfugié, expressions parmi d’autres du projet de conquête et d’islamisation de l’Europe, officiellement proclamé par l’OCI et d’autres organisations islamiques depuis des décennies, Très saint Père, vous prêchez l’accueil des migrants sans tenir compte du fait qu’ils sont musulmans, alors que le commandement apostolique l’interdit : « Si quelqu’un vient à vous en refusant l’Évangile, ne le recevez pas chez vous. Quiconque le salue participe à ses œuvres mauvaises. (2 Jn 10-11) » ; « Si quelqu’un vous annonce un évangile différent, qu’il soit maudit ! (Ga 1.8-9) ».

De même que « J’ai eu faim et vous ne M’avez pas donné à manger. (Mt 25.42) » ne peut pas signifier que Jésus aurait aimé avoir été un parasite, de même « J’étais un étranger et vous M’avez accueilli. » ne peut pas signifier « J’étais un envahisseur et vous M’avez accueilli. », mais « J’ai eu besoin de votre hospitalité, pour un temps, et vous Me l’avez accordée ». Le mot ξένος (Xénos) dans le Nouveau Testament ne renvoie pas seulement au sens d’étranger mais à celui d’hôte (Rm 16.23 ; 1 Co 16.5-6 ; Col 4.10 ; 3 Jn 1.5). Et lorsque YHWH dans l’Ancien Testament commande de bien traiter les étrangers parce que les Hébreux ont eux-mêmes été étrangers en Égypte, c’est à la condition que l’étranger s’assimile si bien au peuple élu qu’il en prenne la religion et en pratique le culte… Jamais il n’est question d’accueillir un étranger qui garderait sa religion et ses coutumes ! Aussi, nous ne comprenons pas que vous plaidiez pour que les musulmans pratiquent leur culte en Europe. Le sens de l’Écriture ne doit pas être donné par les tenants du mondialisme, mais dans la fidélité à la Tradition. Le Bon Berger chasse le loup, il ne le fait pas entrer dans la bergerie.

Le discours pro-islam de Votre Sainteté nous conduit à déplorer que les musulmans ne soient pas invités à quitter l’islam, que nombre d’ex-musulmans, tel Magdi Allam, quittent l’Église, écœurés par sa lâcheté, blessés par des gestes équivoques, confondus du manque d’évangélisation, scandalisés par l’éloge fait à l’islam… Ainsi les âmes ignorantes sont-elles égarées, et les chrétiens ne se préparent pas à la confrontation avec l’islam, à laquelle les a appelés saint Jean Paul II (Ecclesia in Europa, n°57). N’avez-vous jamais entendu votre confrère Mgr Emile Nona, archevêque catholique chaldéen, exilé, de Mossoul, nous crier : « Nos souffrances actuelles sont le prélude de celles que vous, Européens et chrétiens occidentaux, allez souffrir dans un proche avenir. J’ai perdu mon diocèse. Le siège de mon archevêché et de mon apostolat a été occupé par des islamistes radicaux qui veulent que nous nous convertissions ou que nous mourrions. (…) Vous accueillez dans votre pays un nombre toujours croissant de musulmans. Vous êtes aussi en danger. Vous devez prendre des décisions fortes et courageuses (…). Vous pensez que tous les hommes sont égaux, mais l’Islam ne dit pas que tous les hommes sont égaux. (…) Si vous ne comprenez pas ceci très vite, vous allez devenir les victimes de l’ennemi que vous avez accueilli chez vous. (9 août 2014) ». C’est une question de vie ou de mort, et toute complaisance face à l’islam est une trahison. Nous ne voulons pas que l’Occident continue à s’islamiser, ni que votre action y contribue. Où irions-nous à nouveau chercher refuge ?

Permettez-nous de demander à Votre Sainteté de convoquer rapidement un synode sur les dangers de l’islam. Que reste-t-il en effet de l’Église là où l’islam s’est installé ? Si elle y a encore droit de cité, c’est en dhimmitude, à condition qu’elle n’évangélise pas, qu’elle doive donc se renier elle-même… Dans un souci de justice et de vérité, l’Église doit montrer au grand jour pourquoi les arguments avancés par l’islam pour blasphémer la foi chrétienne sont faux. Si l’Église a le courage de faire cela, nous ne doutons pas que par millions, des musulmans, et d’autres hommes et femmes cherchant le vrai Dieu, se convertiront. Comme vous l’avez rappelé : « Celui qui ne prie pas le Christ, prie le Diable. (14.03.13) ». Si les gens savaient qu’ils vont en Enfer, ils donneraient leur vie au Christ (Cf. Coran 3.55).

Avec le plus profond amour pour le Christ qui, par vous, conduit Son Église, nous, chrétiens venus de l’islam, soutenus par nombre de nos frères dans la foi, notamment les chrétiens d’Orient, et par nos amis, nous demandons à Votre Sainteté de confirmer notre conversion à Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme, seul Sauveur, par un discours franc et droit sur l’islam, et, Vous assurant de nos prières dans le cœur de l’Immaculée, nous sollicitons votre bénédiction apostolique.

Liste des noms des signataires et de leur courriel (Certainement que tous les ex-musulmans ne signeront pas cette lettre par crainte de représailles possibles…). »

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Lydia Guirous : “On ne peut plus continuer attentats après attentats à dire que ça n’a rien à voir avec l’islam”

 

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Rayan Nezzar n’insulte pas, il parle comme les « jeunes de Montreuil ». Merci pour eux !

Parfois, on se prend soi-même à y croire. Macron n’est pas comme les autres. Il faut voir comme il a rivé son clou à tel chef d’État ! Comme il a mouché tel étudiant, tel journaliste – sacrément culotté, hein, pas un politique de droite n’aurait osé ! Il nous a même souhaité joyeux Noël le 25 décembre : cet homme est proprement époustouflant. Et ce pragmatisme ! Et cette façon qu’il a de passer en force ! Et il porte si bien le costume, ce qui ne gâte rien ! Et si on s’était trompé ? Si, finalement, il allait aider la France à se relever ?

Puis, le lendemain, c’est la douche froide. L’atterrissage. La gueule de bois. Et si Macron avait seulement compris que la phrase du Guépard s’appliquait désormais à leur vieux monde épuisé, démodé, menacé, commençant sérieusement à entendre siffler le vent du boulet ? Il faut que tout change pour que rien ne change. Pour durer, il faut muer. Il s’y emploie à la perfection : tout bouleverser sans, in fine, ne rien modifier. Ou presque. La preuve par Rayan Nezzar, nouveau porte-parole de LREM, dont des tweets édifiants viennent d’être exhumés : comme le rapporte Marianne, « Jean-François Copé, qualifié de “petite pute”, est invité à aller “niquer sa mère” ; Alain Juppé est traité de “fiotte”, Marine Le Pen de “pute”. Bruno Le Maire est désigné comme un “couilles molles”, tandis que Manuel Valls aurait, lui, “zéro couille”. » Sans parler de Valérie Pécresse, traitée de « poufiasse » ou encore Caroline Forest d’« épave ».

Comme on le voit, Rayan Nezzar n’a pas l’injure très sophistiquée ni le registre tellement varié.

Le ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a aussitôt volé à son secours, réclamant, sur un ton sympa de psychologue scolaire au collège Georges-Brassens, bienveillance et mansuétude : « Je pense que beaucoup de jeunes qui ont 18 ou 15 ans aujourd’hui, ils croient qu’ils sont dans une culture de l’immédiateté et quand ils tchatent ou quand ils font un tweet, ils croient que c’est pour tout de suite et que ça n’a pas beaucoup de valeur. »

Quant à Christophe Castaner, il aurait trouvé – selon des propos tenus en privé rapportés par la journaliste Pauline de Saint-Rémy – un responsable, et ce n’est pas Rayan Nezzar. La faute en revient à… son vocabulaire : « Son vocabulaire de jeune de Montreuil [qui] le rattrape. »

Sauf que les tweets datent de 2012 et de 2013, date à laquelle Rayan Nezzar était étudiant à l’ENA, donc plus tout à fait un ado prépubère qui se serait attardé plus que de raison au stade anal.

 Sauf qu’heureusement, il existe des « jeunes de Montreuil » (merci de leur rendre justice) qui s’expriment autrement que par l’insulte grossière et l’éructation vulgaire, et l’origine populaire n’est pas – quoi qu’en pensent les douairières de Downton Abbey et Christophe Castaner – une tare congénitale contre laquelle on ne peut rien et qui finit toujours par ressortir, malgré tous les subterfuges pour la planquer.

Sauf qu’alors que ce quinquennat, comme on nous l’a expliqué avec des trémolos dans la voix, est dédié à la lutte contre les violences faites aux femmes, nommer un porte-parole qui traite – ou traitait hier – sur la place publique les unes et les autres de pute, de poufiasse, d’épave… semble une entrée en matière assez baroque.

Sauf que cette piteuse affaire envoie, évidemment, aux jeunes Français un signal détestable : voilà donc un modèle de réussite sociale, de « talent », un prototype de « parcours génial », comme le dit Castaner ?

À quoi bon nommer un ministre de l’Éducation ambitionnant de renouer avec la méritocratie, le bon sens et la rigueur si l’on offre en même temps un Rayan Nezzar en exemple ?

Que tout change pour que rien ne change : enfin pas tout à fait. Ce qui change la donne, de façon radicale, est bien sûr l’avènement des réseaux sociaux, et le formidable, le redoutable, l’implacable porte-voix qu’ils constituent. J’apprends à l’instant que Rayan Nezzar, spontanément ou un peu poussé dans le dos, vient d’annoncer sa démission.

Gabrielle Cluzel

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Censure totalitaire en Allemagne

Encore une victime de la Censure totalitaire en Allemagne. À Cologne précisément, la ville des agresseurs sexuels musulmans.

Le journaliste Michael Sturzenberger, que la justice d’Etat avait déjà cherché à réduire au silence, mais sans succès car sur la base de motifs inventés, est la nouvelle victime de la loi Merkel-Maas, copiée sur les pratiques de Hitler-Goebbels et de Staline-Stasi. Il a osé critiquer les méthodes de la télévision d’Etat, qui à l’aide d’un reporter arabe a essayé de faire dire au porte-parole de la police de Cologne que celle-ci contrôlait particulièrement les mahométans, ce qui serait tout à fait normal, puisque ce sont ceux qui ont été en majorité responsables des agressions sexuelles de la Saint-Sylvestre en 2015/2016. Son compte Fecebook a été bloqué pour 30 jours.

(Claude Haenggli, 6.1.2018)

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Migrants et criminalité : ces chiffres qui tuent

Une « bonne » et une mauvaise nouvelle. La « bonne » : l’ancien ministre de la Justice de Basse-Saxe, un des « Länder » de l’Allemagne, affirme, au terme d’une enquête menée au nom du ministère fédéral de la Famille et de la Jeunesse, et avec le concours de deux autres criminologues, que « les demandeurs d’asile sont très souvent responsables d’infractions pénales ». La mauvaise, ce sont les solutions envisagées pour enrayer cette spirale de violence et les chiffres effrayants d’une autre enquête, celle du PKS, sur laquelle s’est penchée Inès Laufer.

Selon les auteurs, entre 2014 et 2016, le nombre de crimes violents – confirmé par les enquêtes policières – a augmenté de plus de 10 %, « 92,1 % de cette augmentation [étant] imputable aux réfugiés ». Plus de « padamalgam » qui tienne. Et ceux qui voient dans les réfugiés des familles toutes gentilles dans la détresse peuvent ravaler leur salive, les réfugiés étant souvent « des jeunes hommes dans la tranche d’âge où les gens seraient plus criminels », indique le rapport. Ils ont entre 14 et 30 ans, lit-on plus avant.

Mieux (ou pire) : les jeunes Nord-Africains – Marocains, Algériens, Tunisiens – sont « proportionnellement plus fréquents parmi les suspects ». Ces migrants ne viennent donc pas de pays en guerre. Mais ce n’est pas tellement de leur faute, sous-entend cette enquête, car, si ces jeunes hommes deviennent si agressifs, c’est parce qu’ils « font face à un certain rejet, alors que les réfugiés sont beaucoup mieux accueillis » et qu’ils découvrent « le manque de perspective socio-économique ». En outre, ces jeunes hommes pétant de santé libéreraient leur trop-plein d’hormones dans la violence en raison du manque de femmes !

Que préconisent donc ces éminents spécialistes pour recouvrer la paix dans leur pays ? De faire passer les Allemands à la caisse, à savoir « investir des sommes énormes pour un programme de retour » ainsi que, rapport à l’abstinence et l’absence de nounous, encourager le regroupement familial. En sus, des cours de langue, du sport ou des formations qui devraient les aider à se tenir tranquilles. On voit déjà ce que cela a donné…

Passons, maintenant, à l’enquête de la statistique policière sur la criminalité (PKS) décryptée par Inès Laufer. En 2016, les demandeurs d’asile autrement appelés « réfugiés », en termes de criminalité donc, étaient 600 % plus criminels que les Allemands, y compris les Allemands issus de l’immigration et les binationaux. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes :

 Dans une population de 100.000 Allemands, il y a 1.913 suspects.

Dans une population de 100.000 étrangers, il y a 6.847 suspects.
Dans une population de 100.000 « réfugiés », il y a 13.930 suspects (sans prendre en compte les délits concernant la loi sur l’immigration) : « Refugees welcome! – Flüchtlinge Willkommen! »

Ces enquêtes accablantes qui révèlent au grand jour une relation évidente entre violences en tous genres et des réfugiés devraient donner un coup d’arrêt immédiat à cette mortelle politique immigrationniste, et entraîner l’expulsion pure et simple des ressortissants incriminés. Mais non ! Les zélites continuent de parler de pognon à dépenser et de prévention. Pire : un obscur et apparemment impuissant petit commissaire politique européen, le Grec Dimítris Avramópoulos, nous prévient : « Nous ne pouvons pas, nous ne serons jamais capables d’arrêter les migrations. »

Rendez-vous dans un an pour d’autres chiffres aussi édifiants. Dans dix ans, eu égard aux desseins de l’Union européenne de transformer radicalement le continent, ce sera… une autre Histoire.

Caroline Artus

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Voitures brûlées, tirs, braquages et agressions : le bilan du nouvel an en Bretagne ...

La nuit du nouvel an a à nouveau été très animée, tant en Bretagne historique qu’en France. Nous nous sommes livrés à un recensement détaillé de la délinquance de voie publique dans les cinq départements bretons, d’Ouessant à Clisson, du 23 décembre au 2 janvier.

Sur l’ensemble de la France, le Ministère de l’Intérieur a avoué 1031 voitures brûlées, 510 gardes à vue, 8 policiers, 3 militaires de l’opération Sentinelle et 3 gendarmes blessés. En Bretagne, 55 voitures ont brûlé dont près de 40 à Nantes et son agglomération.

En Bretagne, l’année commençait par une bonne soufflante – ou une petite brise bretonne légère. La tempête Carmen, ses arbres arrachés, ses poteaux d’électricité tombés, le poulailler sur les quatre voies, des multiples interventions de pompiers un peu partout. En France, l’actualité était dominée par les multiples agressions des membres des forces de l’ordre.

En France, outre le lynchage d’une policière à Champigny qui a fait ressortir la ghettoïsation volontaire de bien des quartiers sensibles et l’échec au moins partiel de la politique de rénovation urbaine (ANRU), des policiers et gendarmes ont été agressés à plusieurs reprises. A Stains (93) le 30 décembre alors qu’ils venaient de sauver trois enfants des flammes, à Aulnay-sous-Bois (93) le 1er janvier à 18h, à Cailloux-sur-Fontaine (Rhône) le 1er janvier à 3h du matin. Et ce sans compter les multiples agressions de pompiers, notamment dans le sud de la France à Noël – à Bordeaux (les Aubiers) le 24 au soir, à Millau et Decazeville le 25, à Rillieux la Pape (69) le 27, à Toulouse (la Reynerie) le 31 à 18h30, à Saint-Jacques de la Landes, près de Rennes, le 1er janvier…

Du côté des voitures brûlées, là encore, ce sont des villes fort loin de la Bretagne qui se sont illustrées. Parfois bien avant le 31 comme Pont de Vaux (au moins 7 voitures brûlées le 27 décembre), Strasbourg et son Eurométropole (54 voitures incendiées du 24 au 30, encore 75 dans la soirée du 31), Paris et la petite couronne (163 voitures incendiées dans la soirée du 31), Mulhouse et ses environs (30 voitures brûlées dans la soirée du 31), Toulouse (40 voitures brûlées le soir du 31) etc.

Mais selon le sociologue Michel Wieviorka – qui a les moyens de planquer sa voiture au Réveillon visiblement – « c’est avant tout ludique ». Surtout pour les infortunés propriétaires des voitures! ...

Des tirs pour bien finir l’année

En Bretagne, la délinquance de fin d’année a été marquée par des tirs. D’abord à Châteaubriant, au nord de la Loire-Atlantique, le 23 décembre, vers 8h dans la rue Quenillet. Un jeune homme de 19 ans reçoit un plomb dans la cuisse; un homme de 32 ans est arrêté. Il avait déjà été condamné quatre fois pour violences.

Une dispute aurait éclaté sur fond d’alcool – elle fait réagir jusqu’au maire Alain Hunault dans les colonnes de nos confrères d’Ouest-France (24/12) : « On ne va pas admettre de recevoir tout un tas de gens qui n’ont rien à voir avec Châteaubriant et surtout rien à y faire ». C’est qu’elle se corrèle avec une augmentation de la délinquance et de la population d’origine immigrée dans le cœur historique de Châteaubriant, depuis plusieurs années – les HLM de Nantes y envoient certains de leurs locataires difficiles, comme Paimboeuf accueille ceux de Saint-Nazaire.

Très logiquement, l’association Solimée qui milite pour que Châteaubriant et ses environs accueillent massivement des migrants et des demandeurs d’asile monte au créneau contre le maire : «  Doit-on comprendre que M. le maire, au moment où l’humanité a besoin de fraternité, de solidarité et de bienveillance, voudrait instituer un droit d’entrer dans la ville et réduire le droit à circuler librement ? », tout en reconnaissant que le maire puisse être « excédé » par la délinquance récente « voitures brûlées ,vols, agressions ». Lesdites voitures ont brûlé à plusieurs reprises à la Ville aux Roses, en novembre et décembre 2017. Le maire ne s’est pas laissé faire et s’est montré remonté contre le « ridicule chantage moral » de l’association.

Loin de Châteaubriant, un nouvel épisode de règlements de comptes entre bandes de quartiers sensibles se déroule à Nantes le 25 décembre : un jeune homme poursuivi par deux autres, le 25/12 vers 14h30 rue Alain Colas, à quelques centaines de mètres du Conseil régional. Un des poursuivants est armé d’un pistolet; le jeune est blessé au pied. La victime a refusé de se faire opérer et de signer son PV d’audition – du reste, elle est défavorablement connue des forces de l’ordre, et de type nord-africain.

La suite

Les faux réfugiés, les traîtres et les Turcs

On se préoccupe en ce moment du retour des gens qui étaient partis en Irak et en Syrie, le plus souvent via la Turquie, rejoindre les doux humanistes de l’État islamique.

Les réactions divergent, y compris entre ministres du même gouvernement.

Ainsi Florence Parly, ministre macronienne des Armées, a dit tout haut ce que beaucoup de monde pense tout bas. Si ces gens meurent, de ce point de vue, l’opinion publique ne les pleurera pas.

À l’inverse Benjamin Griveaux, porte-parole du gouvernement macronien, invoque un désir de procès équitables. Or, cette préoccupation revient à souhaiter que ces gens qui, dans la plupart des cas ont trahi la France et combattu son armée, bénéficient de toutes les failles de notre système répressif judiciaire et pénitentiaire, inadapté à cette situation de guerre.

Les crimes qu’ils ont commis à l’Étranger, en toute connaissance de cause, relèvent légitimement des juridictions locales.

Dans sa lettre politique du 5 janvier, qu’il intitule “L’islam, encore et toujours” Laurent Joffrin, directeur de la rédaction et de la publication de Libération, déplore que, selon lui, “on oublie, en tout cas, de relever un paradoxe.”

En le citant ici nous espérons démontrer que l’expression “on oublie” ne s’applique pas à cette chronique.

Voici ce qu’il écrit :

“Ainsi ces terroristes qui n’avaient que haine et mépris envers la République française, jusqu’à prendre les armes contre elle, jusqu’à se faire les complices d’attentats ignobles perpétrés contre leurs compatriotes, découvrent soudain ses vertus. Vaincus, ils ont changé d’idée. On aurait pu penser, avec une pointe d’ironie, qu’ils auraient préféré comparaître devant un tribunal islamique… Bizarrement, ils s’en remettent maintenant à l’état de droit laïque et républicain qu’ils vouaient aux gémonies, à des tribunaux composés de mécréants, à un État français par ailleurs qualifié de raciste et de post-colonial. Cela tend à prouver que le courage des fanatiques a ses limites. Ou que la défaite est parfois mère de sagesse.”

Nous nous trouvons en présence de traîtres : ils doivent être traités comme tels.

Or ceci intervient au moment où l’Europe est en proie à la crise migratoire, celle-ci se trouvant aggravée par la même idéologie, les mêmes pétitions de principe qui cherchent à protéger les Français, ou plutôt les ex-Français qui se sont mis au service de l’ennemi.

Il ne faut certainement pas prendre cette simultanéité pour le fruit du hasard. Derrière les trafics de migrants et de faux réfugiés on retrouve les mêmes réseaux islamistes et, notamment, la mafia turque, qui mènent une guerre très logique pour affaiblir l’Europe.

Nos dirigeants hyper compétents, nos élites hyper informées, nos technocrates hyper arrogants sont vraiment seuls à ne pas l’avoir compris.

Ce 5 janvier, en conclusion d’entretiens fort ambigus avec le mégalomane Erdogan, Monsieur Macron présentait pour une immense découverte qu’il semble vouloir faire breveter au profit de sa propre politique, ce que tant d’autres avaient compris, proposé et expliqué avant lui. Bravo pour l’inventeur de l’eau tiède.

Monsieur Macron parle donc désormais d’un partenariat entre l’Europe et la Turquie : il en parle avec 10 ans de retard. On se demande aujourd’hui quel objet poursuivrait cette coopération sinon pour persister à permettre la manipulation par les dirigeants dictatoriaux et mafieux turcs des faux réfugiés et la protection des traîtres.

> Jean-Gilles Malliarakis anime le blog L’Insolent.

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La France et l'islam au fil de l'histoire: Quinze siècles de relations tumultueuses de Gerbert Rambaud

Parmi les nombreux ouvrages sortis en 2017 à propos de l’islam, celui de Gerbert Rambaud nous décrit la relation historique, multiséculaire, entre la France et l’islam.

On y découvre la France au cœur de cette relation. Affrontements, confrontations en vue de conquête territoriale, alliances puis cohabitations. Le livre captivant de Gerbert Rambaud nous fait revivre ses pages les plus violentes, les plus épiques, souvent ignorées ou oubliées. Ce livre est un livre d’Histoire mais il ne cède jamais au scientisme rébarbatif : on lit le style simple et vivant de Rambaud comme on le ferait du travail d’un grand journaliste d’investigation.

La France a, au cours des siècles, hésité et varié sur la stratégie à l’égard de l’islam. Ce dernier, profitant du vide créé à la chute de l’Empire romain d’Occident, en cent ans, conquiert presque tout son territoire et se confronte à nous avec les batailles de Toulouse, puis de Sens et finalement de Poitiers (732), tout en revenant encore, deux siècles plus tard, enlever le père abbé de Cluny en 963 et occuper une partie de la Provence qu’il conviendra de libérer…

Il y a aussi ces périodes extraordinaires, héroïques : la reconquête en Terre sainte aux XIIe et XIIIe siècles et son système féodal, au fond – ne fût-ce l’islam -, analogue à l’époque en Occident et en Orient, avec ses alliances, traités de paix, mariages mixtes, suzerains chrétiens et vassaux mahométans. Le très érudit et passionnant travail de Gerbert Rambaud, minutieux et rigoureusement sourcé, jamais lassant, ouvre bien des portes oubliées sur ce passé qui nous a fabriqués, chrétiens et musulmans.

Captivé, on le suit effeuillant les siècles et nous faisant découvrir ces épisodes souvent méconnus entre François Ier et Soliman le Magnifique (rappelant la protection, toujours diplomatiquement valide, de la France sur les lieux saints) ; le projet mûri par Louis XIII (un de nos plus grands rois) de reprendre Constantinople ; les résistances douloureuses de la Corse…

 Quelques fugitifs regrets, toutefois, à tempérer par l’immensité du sujet.

On aurait aimé lire plus sur la geste de la Terre sainte, Saint Louis et sa stratégie pour diviser le monde islamique, débarquant en Tunisie pour prendre les Turcs à revers, plan génial qui n’échoua qu’en raison du décès épidémique du roi. Autre regret, sur l’Algérie : le bilan économique de la colonisation française est peu évoqué, même si les causes de la prise d’Alger sont utilement rappelées eu égard à la piraterie.

Quel avenir souhaitable pour la France dans son rapport à l’islam ? Rambaud évoque des pistes : mais la réforme de l’islam est-elle possible ? N’avons-nous pas déjà raté l’assimilation ? La France finira-t-elle comme ont fini les civilisations pourtant majoritairement chrétiennes d’Irak, Syrie, Égypte ? Ne lit-on pas des scénarios passés dont nous sommes aujourd’hui les témoins aveugles ?

Ce livre demeurera une contribution indispensable à la compréhension de l’Histoire de France, elle-même issue de sa géographie, comme le disaient Michelet, Renan et Bainville. Selon nous, ce livre est le premier panorama d’un sujet redevenu central pour l’avenir de la France.

Henri Temple

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Xavier Raufer : « L’affaire de la note Kermiche, c’est une misérable petite guéguerre entre services »

Xavier Raufer, spécialiste du renseignement, revient sur la polémique soulevée par Mediapart. Par ailleurs, des « ratés » dans le monde du renseignement, il y en a sans cesse et c’est inévitable.

L'entretien

Policiers : ils n’en peuvent plus

Ils n’en peuvent plus d’être mis à toutes les sauces et de servir de cibles vivantes aux terroristes et à l’ultra-gauche. Ils n’en peuvent plus des cadences infernales et des heures supplémentaires qui se succèdent aux dépens de leur vie familiale. Ils n’en peuvent plus des réformes mises en place à chaque changement de gouvernement, pour la glorification d’un ministre de l’Intérieur qui ne fera que passer. Ils n’en peuvent plus d’être cloués au pilori à chaque interpellation qui dégénère. Ils n’en peuvent plus, enfin, d’une hiérarchie qui les envoie au casse-pipe, au seul bénéfice des chapeaux à plumes qui les commandent.

Sans doute le suicide de trois policiers, à Dunkerque, Quimper et Lambersart, en ce tout début d’année 2018 relève-t-il de facteurs complexes et multiples. Mais une chose est certaine : la police nationale est malade, et cette maladie touche tous les niveaux hiérarchiques. Elle est, tout d’abord, malade d’un suremploi né d’une menace terroriste qui dure maintenant depuis plusieurs années. Incapables de voir venir la menace, les gouvernements qui viennent de se succéder, alors qu’il aurait fallu renforcer notre dispositif sécuritaire, l’ont au contraire affaibli en procédant à des diminutions drastiques d’effectifs et en n’anticipant pas le renouvellement des moyens matériels indispensables aux missions de sécurité publique. Elle est malade, ensuite, d’un grave défaut d’organisation, qui a vu peu à peu la chaîne hiérarchique se disloquer au détriment d’une cohésion qui était pourtant indispensable dans le contexte de violence inégalée que notre pays connaît. Elle est malade, enfin, d’un manque de reconnaissance qui veut qu’une présomption de culpabilité systématique pèse sur les policiers lorsque, au péril de leur vie, ils interviennent dans des conditions toujours plus dangereuses.

Oui, c’est une grave crise d’identité qui secoue désormais la police nationale. Et nombreux sont les policiers qui ont de plus en plus de mal à comprendre l’environnement dans lequel ils évoluent. Entre menace terroriste et violences urbaines. Entre police du quotidien et chasse aux trafiquants de tous poils. Entre missions de police-secours et obligation de supporter les injures et les dénigrements, ils ont le sentiment de n’être plus que les laquais d’une société qui les marginalise et les fusibles de politiques qui les exploitent.

 L’année 2017 qui vient de s’achever avait vu le nombre des suicides dans la police augmenter de manière significative. 49 policiers – mais aussi 16 gendarmes – avaient mis fin à leurs jours, faisant des dizaines d’orphelins pour une cause à laquelle il leur devient de plus en plus difficile de croire. Que pèse, en effet, dans un monde d’indifférence et d’individualisme, le don de soi ? Pas grand-chose au regard de la destruction et du malheur d’une famille. Et pourtant, ils sont encore là, par milliers, pour continuer à se battre pour notre bien-être quotidien. Alors n’est-il pas grand temps, au lieu d’élaborer des projets ineptes et déconnectés de la réalité, telle cette police de sécurité du quotidien dont on sait à l’avance à qui elle profitera, d’entamer une vraie réflexion sur la nécessaire recomposition d’une institution à laquelle on demande toujours plus.

Entre 2005 et 2017, ce sont pas moins de 790 policiers qui se sont suicidés. Le plus souvent dans l’indifférence générale. C’est pourtant, par leur geste désespéré, un message fort qu’ils ont voulu faire entendre. Alors, allons-nous rester sourds encore longtemps ?

Olivier Damien

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Le soir de Noël, ils s’en sont même pris à une ambulance et aux pompiers !

Nous sommes tous bouleversés par le lynchage d’une policière par des « jeunes » désœuvrés qui ont la haine de la France que représentait probablement, pour eux, cette jeune femme, et nous n’avons qu’un souhait, relayé par notre ministre de l’Intérieur : retrouver les coupables qui se cachaient derrière leur capuche.

Mais, dans notre belle France, il ne se passe pas un jour sans qu’un homme ou une femme en uniforme ne soit attaqué. Avec, souvent, bien peu de conséquences judiciaires, tant nos juges sont laxistes dès lors qu’il s’agit de condamner l’un de ces jeunes issus de nos banlieues défavorisées. Quel merveilleux prétexte, pour un juge, de prendre comme excuse de sa décision la pauvreté ou la misère sociale ou familiale du criminel qui lui est présenté.

Nos gendarmes, nos policiers, nos militaires, nos pompiers, les personnels chargés de notre santé, parfois nos prêtres, tous sont la cible visible de ces jeunes hommes et souvent femmes qui, à travers l’uniforme, s’attaquent à notre République, à la France. Ils savent que la justice sera rarement rendue.

Nous l’avons encore vu lors de ces fêtes. Il n’y a eu « que » 1.031 véhicules incendiés, dont 163 à Paris même, « que » cinq policiers blessés et quelques pompiers… Tout cela pour que Gérard Collomb puisse en conclure que les « festivités se sont bien passées ».

Il faut lire la presse régionale pour connaître la réalité de ce que vivent, en France, ceux qui portent l’uniforme. Il faudrait, d’ailleurs, créer un observatoire des faits divers relatant tout ce que les lecteurs de la presse provinciale peuvent apprendre pour avoir une vraie vision de ce que la France doit endurer de ces guérilleros.

 Prenons l’exemple de l’Aveyron, un département de la France profonde, loin des banlieues de nos grande villes. Eh bien, le week-end dernier, une ambulance a été volée et retrouvée à l’état de ferraille. C’était à Millau. Des « jeunes » avaient simplement décidé de jouer aux pompiers. Ils avaient aperçu dans la rue une ambulance vide qui attendait sagement le retour des sapeurs venus chercher une malade pour la conduire à l’hôpital. Une façon comme une autre, pour la jeunesse, de célébrer l’arrivée du Petit Jésus puisque nous étions le 24 décembre au soir. Lorsqu’ils sont redescendus, plus de véhicule. « Après avoir pris soin d’appeler du renfort pour prendre en charge la personne âgée de 90 ans, ils sont partis à pied à la recherche de l’engin dans les rues voisines », raconte le journaliste de La Dépêche, sans d’ailleurs vraiment s’offusquer outre mesure… 

À Decazeville où, par ailleurs, une église est à vendre 50.000 euros, la nuit de Noël a été également très difficile pour les pompiers de la cité, dont deux ont été violemment agressés alors qu’ils avaient été appelés à venir secourir un homme blessé par une chute dans l’escalier. En réalité, ces pompiers se sont retrouvés face à des hommes fortement alcoolisés dont l’un n’a pas hésité à les frapper. Courageusement, leur hiérarchie les a aidés à porter plainte contre leur agresseur qui se verra recommander par la justice de ne plus recommencer ou de boire moins d’alcool…

Voilà, sans être exhaustif, le bilan de ce département peu peuplé. Je vous laisse faire le bilan de votre propre département et le publier si vous le pouvez.

Ce ne sont pas des fake news. Et cela en dit long sur l’état de la France périphérique…

Floris de Bonneville

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Pour le migrant, ils ont tout prévu : il aura sa carte bancaire, et les sous !

Nous en avions vaguement entendu parler puis, le fil de l’actualité déversant quotidiennement son lot de nouvelles insupportables, nous l’avions oublié. C’est Bernard Monot, FN, député européen pour la circonscription Massif-Central-Centre, qui, par l’intermédiaire de sa page Facebook, nous le rappelle. Depuis avril 2016, les demandeurs d’asile bénéficient d’une carte de retrait bancaire (via La Banque postale, la Caisse d’épargne et le Crédit agricole) leur permettant de profiter de l’ADA (allocation pour demandeur d’asile), délivrée par l’OFII (Office français de l’immigration et de l’intégration) et octroyée généreusement par l’État. Service-public.fr se fait un plaisir de donner la procédure à suivre pour l’obtenir.

On apprend, ainsi, que les étrangers de plus de 18 ans (entrés par effraction dans notre pays… un détail) en possession de leur attestation de demandeur d’asile y ont droit. Mais, attention : ils devront « avoir accepté les conditions matérielles qui [leur] ont été proposées par l’OFII ». Eh oui, après avoir vécu l’enfer sur terre en fuyant leur famille abandonnée dans un pays en guerre, certains ne trouvent pas leur hébergement gratuit à leur goût. Quant à leurs ressources mensuelles, elles ne devront pas dépasser l’équivalent du RSA. Mais quand on sait que la traversée de la Méditerranée coûte entre 4.000 et 6.000 dollars par personne (chiffre rapporté par le chef de mission à l’Organisation internationale des migrations, pour TV5 Monde), on s’interroge, pour débourser pareille somme, sur leurs revenus perçus dans leur pays d’origine…

Le montant, maintenant. 6,80 euros pour une personne seule et par jour, soit 204 euros mensuel. 10,20 euros pour deux, et ainsi de suite jusque 37,40 euros pour dix personnes. Service-public.fr ne s’aventure pas au-delà de ce chiffre. 5,40 euros supplémentaires si le demandeur d’asile n’est pas hébergé. Pas de quoi faire la noce, rétorqueront les indécrottables immigrationnistes. Sauf qu’il y a cumul. Quand vous touchez l’ADA, vous êtes non seulement hébergé, mais vous avez droit « au transport, aux soins médicaux et à l’éducation ». 80.000 personnes étaient enregistrées en tant que demandeurs d’asile en 2015, plus de 85.000 en 2016, 100.000 en 2017, souligne Bernard Monot. Une courbe exponentielle que le gouvernement n’a, de toute évidence, aucune intention d’inverser.

Il serait vain d’énumérer tout ce à quoi d’autres ont droit, les étrangers illégaux ou légaux, pendant que dix millions de Français (ou quelque chose d’approchant) tirent le diable par la queue. Pendant que la classe moyenne, chez nous, mais aussi en Europe, décline lentement mais sûrement (Le Figaro, 2 mars 2016). Pendant que nos étudiants peinent à financer leurs études ou que des milliers de familles modestes attendent des années un logement social alors que, chaque nuit, rien qu’à Paris, 35.000 migrants sont logés gratis, s’insurge Bernard Monot, parfois même depuis des années…

 Et après cette énième « insulte à la France qui travaille », comme s’émeut ce député, le gouvernement, pour qui l’argent ne manque jamais pour les immigrés, en même temps qu’il nous demande à nous de faire des « efforts », a prévu pour cette année 300 millions de plus pour en accueillir encore plus. De son côté, l’Union européenne se servira des fonds de la PAC pour en implanter encore davantage dans nos campagnes, ajoute-t-il. Nos paysans apprécieront…

Cette ADA, aucun de nous jamais ne l’aura. Que penserait-on de parents qui légueraient leur héritage à de parfaits inconnus ? On les dirait injustes, indignes, immoraux. On dirait qu’ils ont trahi leurs enfants. Nos gouvernants ne font pas autre chose.

Caroline Artus

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Jésus-Christ d’après Mahomet

« Sur différents points de l’Afrique, de l’Asie, de l’Océanie,
les messagers de l’Évangile rencontrent l’islam ;
beaucoup plus armé de science et de subtilité,
beaucoup plus théologique
qu’ils ne le croient pour la plupart »

Jésus-Christ d’après Mahomet ou les notions et les doctrines musulmanes sur le christianisme d’Édouard Sayous, éditions de L’Æncre

(propos sélectionnés par Fabrice Dutilleul auprès de l’éditeur).

Mahomet.

Mahomet.

Jésus Christ.

Jésus Christ.

Quel but a poursuivi l’auteur de ce livre ?

Il est d’un haut intérêt pour l’histoire de l’Église, et même pour l’histoire religieuse de l’humanité, de savoir quelle idée le dernier venu des fondateurs de religion se faisait de la grande religion qui était apparue six siècles avant lui dans le monde, quelle idée se faisait Mahomet du Christianisme et de Jésus-Christ.

Ses confusions et ses erreurs comme ses affirmations sont à la fois le résultat et le document du long travail obscur des sectes chrétiennes orientales en dehors même des frontières officielles du monde chrétien.

En même temps, l’adaptation assez systématique, malgré de nombreuses hésitations et contradictions de détail, de ces notions chrétiennes aux besoins et à la politique d’une religion nouvelle, présente un phénomène curieux pour l’histoire comparée des religions et pour l’étude psychologique du sentiment religieux et de la sincérité religieuse.

Quel crédit apporter à la sincérité de Mahomet ?

Nous ne croyons pas que la sincérité de Mahomet, violemment attaquée par le Moyen Âge chrétien et par le XIIe siècle, découverte avec joie par le XIIIe siècle à son aurore et habituellement soutenue depuis, vivement suspectée de nouveau par les auteurs les plus récents et les plus compétents, nous ne croyons pas, disons-nous, que la sincérité de Mahomet sorte intacte de certaines parties de cette étude.

Que peut-on savoir des rapports de Mahomet avec le christianisme ?

Ils n’intéressent pas seulement, à un point de vue purement théorique, l’historien de l’Église, l’historien des religions et de la philosophie ; ils intéressent tous les chrétiens qui sont appelés à soutenir, dans la vie pratique, des relations avec les musulmans, en particulier les missionnaires. Sur différents points de l’Afrique, de l’Asie, de l’Océanie, les messagers de l’Évangile rencontrent l’islam ; beaucoup plus armé de science et de subtilité, beaucoup plus théologique qu’ils ne le croient pour la plupart.

Quel est l’originalité du livre d’Édouard Sayous ?

Il n’est pas une comparaison générale et complète des deux religions, concerne seulement ce que Mahomet a connu, adopté, rejeté de la christologie de l’Église et pourra, précisément sur ce point, les préserver de certaines maladresses de début, plus dangereuses avec les Musulmans qu’avec les sectateurs d’aucune autre croyance.

Jésus-Christ d’après Mahomet ou les notions et les doctrines musulmanes sur le christianisme, Édouard Sayous, éditions de L’Æncre, collection « Patrimoine des religions », dirigée par Philippe Randa, 100 pages, 18 euros. Pour commander ce livre, cliquez ici.

Jésus-Christ d’après Mahomet ou les notions et les doctrines musulmanes sur le christianisme, Édouard Sayous, éditions de L’Æncre.

Jésus-Christ d’après Mahomet ou les notions et les doctrines musulmanes sur le christianisme, Édouard Sayous, éditions de L’Æncre.

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Il chute du 30ème étage et meurt, son propriétaire en garde à vue

Paris Vox – Un cinquantenaire est mort, vendredi 22 décembre, après avoir chuté de la fenêtre de son appartement. Les circonstances de sa chute restent à déterminer mais son propriétaire, présent dans l’appartement lors du drame, a été placé en garde à vue.


Les faits se sont déroulés vendredi 22 décembre. Un homme âgé de 57 ans est mort après avoir chuté de la fenêtre de son appartement. L’homme habitait au 30ème étage d’un immeuble d’Epinay-sur-Seine en Seine-Saint-Denis.

L’AFP rapporte les faits ainsi : “Avant la chute, il avait appelé la police pour dire : “mon propriétaire est en train de casser la porte car je n’ai pas payé mon loyer”. Pour autant, rien ne permet pour l’heure de savoir ce qui s’est réellement passé. S’agit-il d’un meurtre, d’un suicide, de menaces qui ont mal tournées ? Rien ne permet de répondre à la question pour l’instant.

C’est la police judiciaire qui est en charge de l’enquête en coordination avec le parquet de Bobigny (93). Le propriétaire du logement a été placé en garde à vue pour homicide volontaire.

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Des vélos retrouvés a Gagny

Paris Vox – Le commissariat de Gagny vient de découvrir pas moins de 75 vélos dans un pavillon de la ville de Seine-Saint-Denis. Les propriétaires de ces derniers sont appelés a se manifester.


On appelle cela une bonne prise. Les policiers du commissariat de Gagny (Seine-Saint-Denis) ont retrouvé 75 vélos dans un pavillon. L’enquête des policiers laissent penser que ceux-ci ont été volés alors que l’occupant de la maison indique ne pas connaitre leur provenance.

Selon l’enquête policière, ces vélos ont été dérobés dans Paris ou dans le 93. L’ensemble des cycles a été saisi par la police afin de pouvoir les rendre à leur propriétaire. Mais pour les restituer encore faut il réussir à identifier les propriétaires, et cela n’est pas tâche aisée.

Afin de retrouver les propriétaires des vélos, l’ensemble des pièces a été inventorié et est visible sur internet (cliquez ici). S’il s’avère que vous retrouvez votre bien volé, une adresse électronique a été mise en place afin de se signaler auprès du commissariat. L’adresse est appel.a.temoin.gagny@gmail.com. Il conviendra de joindre à son message les copies d’une pièce d’identité et de tout document justifiant de la propriété du vélo : facture – numéro de série – photographie…).

Au delà de cette découverte de vélos à quelques jours de Noël qui mettra du baume au cœur aux nombreux victimes de vols, la découverte de 75 pièces est malheureusement anecdotique. On dénombre en France plus de  500 000 vélos qui ont été déclarés volés en 2016. Ce qui correspond à plus de 1369 vélos par jour.

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