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dimanche, 14 janvier 2018

Un nouveau né décédé retrouvé dans un parc

Paris Vox – Macabre découverte… Des jeunes gens ont retrouvé un nouveau né dans un sac poubelle déposé dans un parc des Yvelines, ce samedi 23 décembre. 


Il est des découvertes particulièrement atroces, surtout à la veille de Noël Celle faite par des adolescents ce samedi 23 décembre en fait partie. Alors que tout le monde s’agite en cette période de Noël et des vacances scolaires, ces jeunes ont retrouvé dans le parc Aubert de la ville du Chesnay un nourrisson décédé dans un sac poubelle. Ce parc est situé non loin du centre hospitalier de Versailles André-Mignot.

Dans le sac où se trouvait le bébé qui venait certainement de naître, était  également présent le placenta selon des sources policières. On ne sait pas encore si le bébé était mort-né, une autopsie va être pratiquée sur l’enfant afin de connaître les causes de sa mort.

L’enquête a été confiée à la sûreté départementale des Yvelines qui sera chargée de comprendre à qui est ce nouveau-né retrouvé décédé et ce qu’il s’est exactement passé.

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Romans: il importune des françaises, hurle « Allah akbar » dans la collégiale et dégrade la façade

Lu dans Le Dauphiné du 13 janvier 2018:

Mercredi matin, la visite d’une classe du lycée du Dauphiné à la collégiale Saint-Barnard avait été perturbée par un homme de 34 ans (notre édition d’hier). Il aurait reproché aux jeunes filles leur manière de s’habiller, avant de crier « Allah Akbar ». Il aurait également dégradé la façade de la collégiale. Interpellé, l’homme a finalement été hospitalisé dans un établissement spécialisé suite à un examen psychiatrique. »

Il conviendrait mieux d’examiner le Coran et ses 250 versets appelant à la violence afin de comprendre les déséquilibrés. 

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16 janvier au Pecq : conférence sur Eglise et immigration

 

Affiche Eglise et Immigration

De violents agresseurs de policiers laissés libres

Le couple avait été sauvagement agressé sous les yeux de ses enfants...

 

La Video

Détenus islamistes : l’inquiétude des surveillants de prison

Les gardiens de prison expriment leur malaise après l’agression de trois d’entre eux jeudi 11 janvier à Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais). L’auteur des faits est un détenu considéré comme le cerveau des attentats de Djerba (Tunisie) :

La video en cliquant ici

Agression à la prison Vendin-le-Vieil : plus que des moyens, il faut de la volonté !

Un terroriste emprisonné à Vendin-le-Vieil, dans le Pas-de-Calais, a poignardé trois surveillants en se jetant sur eux au cri d’« Allah Akbar ». Les gardiens n’ont heureusement été que blessés. Mais cette agression souligne, une fois encore, la tragique déficience de la Justice dans notre pays.

Son auteur n’est pas un petit délinquant. Il s’agit d’un « converti » allemand d’origine polonaise, Christian Ganczarski – Ibrahim l’Allemand, sous son nom de « guerre ». Il fait partie de la première génération, celle d’Al-Qaïda, dont l’État islamique est une scission. Ce n’est pas une recrue de second ordre, car il a été le spécialiste de la communication et du cryptage de l’organisation. On le voit, notamment, en photo à côté d’Oussama ben Laden et de Mohammed Atta, le meneur des attentats du 11 septembre 2001. Il a, lui-même, été le cerveau des attentats de Djerba le 11 avril 2002 qui ont coûté la vie à 21 personnes. Arrêté en 2003 à Roissy, il a été condamné à 18 ans de réclusion en 2009. Il devait être libéré prochainement grâce au jeu des remises de peine.

Il y a, en effet, des magistrats pour considérer qu’un assassin de masse, certes indirect, mais plus coupable encore puisqu’il a participé à leur mise en œuvre comme « cerveau », puisse n’être condamné qu’à dix-huit ans de prison et puisse même bénéficier d’une réduction de la durée de son incarcération. Les actes terroristes sont des actes de guerre, et d’une guerre en dehors de toute loi. Un prisonnier de guerre se respecte. Un assassin qui prétend faire la guerre devrait être traité comme un « pirate » et pendu haut et court… Bien sûr, les juges diront qu’ils se contentent d’appliquer la loi, elle-même soumise à la Constitution et aux traités internationaux qui ont, en France, plus de poids que la volonté du peuple.

Cette contradiction entre notre volonté de respecter l’État de droit et la hiérarchie des normes, même à l’égard de gens dont l’inhumanité n’a rien à envier à celle des nazis, est aujourd’hui mise en lumière au travers des djihadistes « français » capturés en Irak ou en Syrie que certains, au nom du « sacro-saint » droit, souhaiteraient voir rentrer dans « leur » pays. Ils ont trahi leur pays en rejoignant un groupe islamiste auteur des massacres qui ont touché la France. À moins d’obtenir d’eux des renseignements utiles à la sécurité des Français, leur sort devrait nous être totalement indifférent. Revenus en France, ils auraient droit, eux aussi, aux égards de notre Justice.

 Salah Abdeslam, le « survivant » des tueries de novembre 2015, va rejoindre la prison de Vendin-le-Vieil où l’agression s’est déroulée, afin de lui permettre de répondre, cette fois, à la Justice belge. Sans insister sur le coût dispendieux de sa rétention confortable et de son tourisme judiciaire, il faut souligner que cet individu utilise sans vergogne son « droit au silence ».

Ibrahim l’Allemand connaissait très bien Khalid Cheikh Mohammed, l’auteur du premier attentat contre le World Trade Center, toujours et heureusement retenu à Guantánamo par l’armée américaine. La crainte d’être extradé vers les États-Unis pour y être jugé a sans doute suscité l’attaque à l’arme blanche de Vendin-le-Vieil. Mieux vaut rester quelques années de plus dans les sympathiques prisons française, où ce sont les surveillants qui ont peur, que d’aller dans l’univers pénitentiaire américain, beaucoup moins accueillant…

Deux prises d’otages, en septembre 2015 et juillet 2016, et le meurtre d’un détenu par un autre pensionnaire en janvier 2017, ont déjà eu lieu à Vendin-le-Vieil. L’insuffisance du nombre de places dans nos prisons, l’inefficacité des peines alternatives qu’avait soulignée l’assassinat du père Hamel, l’inapplication des peines prononcées et, plus généralement, le laxisme judiciaire témoignent d’une société par trop compatissante avec le mal, quand elle n’est pas fascinée par lui. Des écoutes avaient permis à l’administration de la prison de prévoir le passage à l’acte d’Ibrahim l’Allemand. Il avait été mis à l’isolement, mais cela lui avait permis de préparer deux armes. L’impuissance n’est pas tant due à une insuffisance de moyens qu’à une insupportable déficience de la volonté.

Christian Vanneste

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Chevènement refondateur de l’islam ? Une généreuse illusion

Jean-Pierre Chevènement a accordé un long entretien à Valeurs actuelles pour expliquer sa doctrine pour « un islam de France ». L’homme est intelligent, respecté, son patriotisme républicain n’est pas en cause. Il n’est pas, pour autant, infaillible : sa culture classique inhibe sa compréhension de l’islam ; il commet des erreurs qu’il faut dénoncer car le sujet est si grave qu’aucun relâchement n’est acceptable.

Jean-Pierre Chevènement parle des « importations arabes dans notre culture (sic) » (algèbre, découvertes fondamentales en astronomie, médecine…). Jean-Pierre Chevènement confond arabe et musulman et, il y a 1.200 ans, les musulmans étaient minoritaires dans les terres conquises. Il est incontesté que les sciences ont été fondées par les Grecs il y a 2.500 ans et transmises, y compris au monde musulman, par Byzance (La Gloire des Grecs, de Sylvain Gouguenheim); l’islam initial déclare la terre plate ; les Indiens, les Perses ont créé les chiffres modernes et l’algèbre.

Jean-Pierre Chevènement veut « tenter de faire émerger un islam cultivé. Mais la réponse religieuse ne nous appartient pas. C’est l’affaire des musulmans d’opposer à la théologie salafiste, simpliste et violente, une théologie plus conforme à l’esprit de miséricorde qui est celui de l’islam. » Même si on espère que ce projet se réalise un jour, Jean-Pierre Chevènement commet plusieurs erreurs. Déjà, le terme condescendant de « cultivé ».

Plus grave, l’erreur de croire que l’islam relève d’un esprit de miséricorde (voir les travaux de deux islamologues : Jean-Jacques Walter, Les 2 islams ; Marie-Thérèse Urvoy, La Conquête au cœur de l’islam). Pire, encore, l’erreur de penser que, face aux égorgeurs, on pourra retirer sans risques quoi que ce soit du Coran, de surcroît à l’initiative d’infidèles : le Coran est supposé être incréé, dicté par Allah à Mahomet. Certe, on a pensé inverser l’ordre arbitraire des chapitres (fixé par les khalifes au Xe siècle), replaçant à la fin les plus pacifiques, une sorte de désuétude implicite des sourates violentes. Celui qui a proposé cela au Soudan (Mahmoud Mohamed Taha), héros de l’indépendance et théologien, a été pendu pour apostasie… Aucun chef d’État musulman n’a osé rééditer pareille initiative, anticipant les réactions des masses. Jean-Pierre Chevènement croit-il sérieusement que la France saura, elle, l’imposer au CFCM, à rebrousse-poil des États arabes ? C’est une vision purement énarchique ; seule une démarche de type napoléonien sur les juifs pourrait fonctionner (décrets de 1806/1808, abandon des règles religieuses contraires à l’ordre public français, Consistoire). Mais les méthodes de Napoléon sont inimaginables à présent. De plus, le judaïsme – comme le christianisme – avait beaucoup évolué durant tout le Moyen Âge et les 400.000 juifs de 1800 étaient prêts à cette mutation. Qu’en serait-il pour cinq ou six millions de musulmans, en 2018 ?

 Jean-Pierre Chevènement est, aussi, en faveur d’une « formation profane des imams ». Formation, certes (comme en Algérie, au Maroc), mais profane ? Et y aura-t-il un délit d’exercice illégal de la conduite de la prière ou du prêche dans les caves des banlieues ? L’école (dont il fut ministre) est, certes, bienvenue pour enseigner la laïcité, mais il en méconnaît l’état de délitement et de stress socio-culturel. Il oublie que la laïcité est antinomique de l’islam textuel : qui s’en écarte est puni. Dans ces conditions, c’est naïf de soutenir que la laïcité « fait le pari qu’il y a un espace commun de rationalité à tous les citoyens [qui] peuvent, à la lumière de la raison naturelle, s’entendre sur une définition de l’intérêt général… Mais dans l’espace commun, ils ne mettent pas en avant leurs croyances religieuses ». Beaucoup de musulmans sont prêts à s’associer à cette démarche, mais ce n’est pas le cas des « territoires perdus de la République » (voir l’enquête d’un collectif d’enseignants et chercheurs en 2002).

Trois regrets : Jean-Pierre Chevènement ne parle pas de la poursuite de l’immigration de masse qui rend de plus en plus impossible l’intégration rêvée. Il pense (en socialiste) que tout est affaire d’explication, de pédagogie (manie socialiste) : « Pour peu qu’on veuille bien expliquer le sens de la laïcité, indissociable de l’héritage des Lumières ». Personne n’y avait pensé avant lui ? Enfin (naïveté ou opportunisme qui torpille sa précédente opinion), il encense Emmanuel Macron « qui a raison de raréfier sa parole sur ce sujet [de la laïcité] ». Ultime erreur : « L’élection d’Emmanuel Macron peut et doit créer un nouvel état d’esprit comparable à celui qu’avait su créer Charles de Gaulle au début de la Ve République. La France croit nouveau en elle même (sic). » Personne n’en croira un mot.

Chevènement refondateur de l’islam en France ? Une généreuse mais dangereuse illusion : une analyse et une méthode approximatives. Un grave échec en vue.

Henri Temple

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Entretien - Retour en France des djihadistes

 

L'entretien et le texte

Tollé international après le triste «pays de merde»

Trump et l'immigration54 ambassadeurs de pays du groupe africain à l'ONU ont exigé des excuses après les propos injurieux de Donald Trump.

«Racistes», «abjects» et «blessants», les propos de Donald Trump sur l'immigration en provenance de «pays de merde» ont provoqué un torrent d'indignation à travers le monde qui ne tarissait pas dans la nuit de vendredi à samedi, l'Afrique entière réclamant des excuses.

D'une même voix, dans un langage d'une rare dureté, les 54 ambassadeurs du groupe africain à l'ONU ont exigé une «rétractation» au président américain, condamnant des «remarques scandaleuses, racistes et xénophobes». Ils se sont dit préoccupés par la tendance «grandissante» de l'administration Trump «à dénigrer le continent, et les gens de couleur».

 
Le Sénégal et le Bostwana ont convoqué chacun l'ambassadeur américain. Le gouvernement haïtien a lui dénoncé des propos «odieux et abjects» qui, s'ils étaient avérés, seraient à tous égards «inacceptables car ils reflèteraient une vision simpliste et raciste».
 

Comme souvent, c'est via Twitter que le président américain a réagi à cette nouvelle polémique qu'il a lui-même suscitée et qui le met en difficulté au moment où il tente de trouver un compromis au Congrès sur le dossier sensible de l'immigration.

«Le langage que j'ai utilisé lors de la réunion était dur mais ce ne sont pas les mots utilisés», a affirmé le milliardaire dans une formule alambiquée.

Quelques minutes plus tard, le sénateur démocrate Dick Durbin, présent lors de la réunion, assurait pourtant que le président avait bien utilisé «plusieurs fois» l'expression injurieuse.

«Les mots utilisés par le président tels qu'ils m'ont été rapportés directement par ceux qui ont participé à la rencontre n'étaient pas durs , ils étaient abjects et répugnants», a ajouté en écho le sénateur républicain Jeff Flake, un conservateur opposé à Donald Trump.

Sollicitée jeudi soir sur ces propos, la Maison Blanche n'avait pas contesté ou démenti, se bornant à souligner que M. Trump se battrait «toujours pour le peuple américain».

Louanges pour Martin Luther King

Dans un étrange télescopage, le président américain a signé vendredi en milieu de journée une déclaration en l'honneur de Martin Luther King, qui sera célébré à travers les Etats-Unis lundi, jour férié.

Au cours d'une brève cérémonie, il a a loué «le rêve d'égalité, de liberté, de justice et de paix» du militant noir des droits civiques. Saluant un homme qui a «changé le cours de l'histoire», il a ignoré les questions qui lui ont été posées à l'issue de son allocution. Presque simultanément, à quelques kilomètres de là, le chef de la diplomatie américaine Rex Tillerson faisait l'éloge de la «diversité» et défendait les «valeurs américaines» lors d'un discours sur le «respect».

Au coeur des débats de la réunion désormais célèbre de jeudi à la Maison Blanche: la régularisation de centaines de milliers de clandestins arrivés jeunes aux Etats-Unis, et dont le statut temporaire accordé sous Barack Obama a été supprimé en septembre. Quand M. Trump a abrogé le programme Daca, qui a permis à 690'000 jeunes sans-papiers de travailler et d'étudier en toute légalité, il avait donné jusqu'à mars au Congrès pour trouver une solution pérenne pour ces clandestins connus sous le nom de «Dreamers» (Rêveurs).

Mais il a lié toute régularisation à son projet de mur à la frontière avec le Mexique, auquel les démocrates se sont jusqu'à présent opposés fermement.

«Agression»

Outre la réalisation de cette promesse de campagne, M. Trump exige aussi la suppression de la loterie annuelle de cartes vertes et une réforme de l'immigration légale pour réduire le rapprochement familial.

«Pourquoi est-ce que toutes ces personnes issues de pays de merde viennent ici ?», a demandé le président Trump lors des discussions jeudi, selon le Washington Post, qui cite plusieurs sources anonymes.

Selon elles, M. Trump faisait référence à des pays d'Afrique ainsi qu'à Haïti et au Salvador, expliquant que les Etats-Unis devraient plutôt accueillir des ressortissants de la Norvège.

«Pourquoi avons-nous besoin de plus d'Haïtiens ?», aurait encore demandé le président.

Vendredi, il a tenté de donner une version différente de ses propos. «Je n'ai jamais dit quelque chose d'insultant sur les Haïtiens outre le fait que, et c'est une évidence, Haïti était un pays très pauvre et en difficulté», a-t-il lancé.

«Choquant et honteux»

Le Haut commissariat de l'ONU pour les réfugiés a déploré des propos «racistes», «choquants et honteux».

L'ancien vice-président démocrate Joe Biden a lui aussi donné de la voix. «Ce n'est pas comme cela qu'un président devrait parler et se comporter. Mais surtout, ce n'est pas comme cela qu'un président devrait penser».

Cuba aussi

Cuba a aussi condamné vendredi «fermement les déclarations racistes, dénigrantes et grossières des Etats-Unis sur Haïti, le Salvador, les états africains et les autres continents», a déclaré lors d'un journal télévisé le ministère cubain des Affaires étrangères.

«Ces déclarations pleines de haine et de mépris suscitent l'indignation du peuple cubain», a-t-il ajouté, rappelant notamment l'importance du rôle joué par les Africains et les Haïtiens dans l'histoire de Cuba.

Le président vénézuelien, Nicolas Maduro, a demandé de son côté, vendredi, à l'Alliance bolivarienne pour les peuples de notre Amérique (Alba) d'exprimer sa solidarité avec les pays «agressés» par le président américain Donald Trump qui les a qualifiés de «pays de merde».

«C'est important que l'Alba exprime sa solidarité avec les peuples agressés par Trump: Haiti, Le Salvador et l'Amérique centrale. Dans un premier temps vient le mot de mépris, puis les menaces et ensuite les actes», a déclaré M. Maduro, lors d'un conseil politique de l'Alba à Caracas.

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