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samedi, 20 janvier 2018

Presque un tiers des naissances issues de familles composées d'au moins un parent immigré

 

B_1_q_0_p_0L'augmentation du nombre des demandeurs d'asile en 2017 est spectaculaire :

  • 20 000 en 1997,
  • 61 468 en 2012,
  • plus de 100 000 en 2017.

Un rapport de la Cour des Comptes d'octobre 2015 souligne que 96 % d'entre eux, même déboutés, ne repartent jamais.

La hausse de l'immigration régulière, mesurée par le nombre des «premiers titres de séjour» délivrés, explose également :

  • 125 000 en 1995 ;
  • 186 116 en 2002 ;
  • 183 893 en 2008 ;
  • 193 655 en 2012 ;
  • 210 940 en 2014 ;
  • 215 220 en 2015 ;
  • 230 353 en 2016 ;
  • 262 000 en 2017.

Le pourcentage des naissances dans les familles composées d'au moins un parent immigré est passé de 26,3 % en 2007 à 30,4 % en 2016 (Ined). En Île-de-France, 38 % des femmes ayant eu un enfant en 2015 sont immigrées (Insee). Mais à part cela, il n'y a pas de grand remplacement...

Dans la loi de finances de 2017, l'aide médicale d'État (la gratuité des soins dont bénéficient 300 000 migrants en situation irrégulière) est en augmentation, passant de 812 millions à 882 millions d'euros.

La politique de Macron est ridicule : sa mesure phare, la prolongation de la rétention administrative de 45 à 90 jours, n'aura qu'un impact limité dès lors que le pouvoir de décision est laissé au juge des libertés, dont le réflexe naturel est souvent de refuser une prolongation de la rétention après 48 heures. La réforme prévue ne suffira pas à améliorer de manière significative un dispositif d'éloignement paralysé par sa lourdeur (6 600 reconduites hors de l'Union européenne en 2017).

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