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vendredi, 02 février 2018

Le Procureur Aude Duret main dans la main avec le Mrap pour bâillonner Christine Tasin

C’est un joli pas-de-deux que nos avocats n’ont de cesse de dénoncer.

Une association prétendument anti-raciste ( ici le Mrap ) signale au Procureur de la République ( ici Aude Duret ) un écrit ou un acte incitant selon elle à la haine, la discrimination, la violence… et patati, et patata.

Le Procureur, complice, instruit l’affaire, porte plainte contre le présumé auteur de faits prétendument délictueux, dispensant  la dite association de déposer une consignation.  Ensuite l’association et les autres vautours du même genre n’ont plus qu’à se porter partie civile…et réclamer des dédommagements pour les très imaginaires dommages subis. Le pas-de-deux initial se transforme ainsi en pas-de-trois, voire en pas-de-quatre et même plus, tant il y a de l’argent à se faire facilement grâce à la loi Pleven et aux procureurs complices.

La séquence est parfaitement réglée.

S’appelle-t-elle toujours  Aude DURET-MONTPEYROUX ou seulement Duret ? Aucune importance. Toujours est-il que c’est ce magistrat, qui, sur dénonciation du Mrap, a trouvé bon d’instruire deux plaintes contre moi, Résistance républicaine et aussi contre Riposte laïque.  Quand on aime, on ne compte pas.

J’étais donc convoquée hier à la Brigade de répression de la délinquance à la personne ( quelle périphrase pompeuse pour parler du service de la censure d’Etat…) pour deux fautes majeures :

La publication et mise à disposition du public de l’autocollant Islam assassin et du tract ( datant de 2016 mais le Mrap n’hésite pas à faire les poubelles quand il s’agit d’épuration. Ethnique et politique. N’ayons pas peur des mots). Le Mrap a dénoncé une distribution du tract faite à Nantes en juillet 2017, près d’un an après la mise à disposition de ce dernier 

Je suis donc accusée de provocation à la discrimination, la haine, la violence… et patati-patata.

J’ai une fois de plus expliqué au capitaine de police qui m’interrogeait que, l’islam n’étant pas une race ni une personne je ne peux pas être accusée d’inciter à la haine contre des personnes ; que l’islam est une doctrine, que le délit de blasphème a été aboli en France il y a longtemps, que l’islam tue, que les policiers de Magnanville, Laura et Maurane, de Marseille et des centaines d’autres ne sont plus là à cause de l’islam…. J’ai naturellement rappelé qu’il était légitime de s’opposer au remplacement de population, de s’indigner de voir des clandestins imposés partout, sans que le peuple ait été consulté…

Le capitaine a noté. J’ai signé. Le tout va repartir sur le bureau du Procureur Duret qui considèrera sans doute, comme nombre de ses collègues, que ce sont là paroles que le vent emporte et que l’essentiel est d’imposer le silence à tous, l’interdiction de la critique de l’islam et de l’immigration.

Quel que soit le prix à payer pour ceux qui, comme moi, disent simplement la réalité de notre monde, pour ceux qui disent la vérité.

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